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Extrait du Grand Jury Jour 4 : Antonietta Gatti expose le contenu nanotechnologique de ces vaccins

Antonietta Gatti : Je me présente. Tout d’abord, je suis physicienne et bio-ingénieur et j’ai affronté le problème de cette pandémie d’un point de vue original. En effet, j’ai directement étudié les vaxxins, parce que j’ai de l’expérience dans l’analyse innovatrice au moyen d’un microscope électronique à balayage couplé à une spectrométrie par énergie dispersée et j’ai vérifié la composition chimique et la contamination de 42 vaxxins standard.

Bien entendu, j’ai aussi appliqué ces nouvelles techniques aux nouveaux produits de thérapie génique. Bien sûr, ils sont complètement différents des vaxxins standard. Je ne vais pas vous parler de
spike ni d’ADN, car vous êtes de grands experts, bien plus que moi. Je voudrais discuter du contenu
nanotechnologique de ces vaxxins, pardon, de ces produits, car ce ne sont pas des vaccins selon moi.

Vous savez probablement que Big Pharma a développé une nouvelle technique de nanomédecine
pour ces produits et qu’elle voulait introduire l’ARNm dans la cellule
. Tous les biologistes savent
que l’ARNm est reconnu par le capteur de la membrane et qu’il est rejeté.

Pour cela, ils utilisent un cheval de Troie. Cela signifie qu’ils remplissent d’étroits liposomes avec de
l’ARNm, car ces nanoparticules ne sont pas reconnues par le capteur de la membrane
. La
personne qui a créé le corps humain ne savait probablement pas qu’il contenait aussi des
nanoparticules. Il n’y a donc pas de mécanisme de défense efficace contre les nanoparticules.

Elles sont donc phagocytées par les cellules et lorsqu’elles sont à l’intérieur, le revêtement des
composants lipidiques est dégradé et l’ARNm est libéré à l’intérieur.
Big Pharma n’a publié aucune
note ni aucune information sur le mécanisme de dégradation de ces liposomes. J’ignore si ce
mécanisme est lié à la basse température. La basse température initiale de moins 70 degrés
n’était probablement pas liée au stockage des liposomes. Nous ne le savons pas, mais nous
pensons qu’il y a un lien. Le problème, c’est que personne n’a contrôlé ni le mécanisme ni ces nano-
entités.
Quand je dis personne, je parle du CDC, de la FDA, de l’EMA et d’autres organisations nationales. Il n’y a donc pas de contrôle de qualité sur ces produits et mes recherches révèlent que ces produits
contiennent également autre chose
.

Par autre chose, j’entends des nano-entités étranges qui sont probablement dues à un processus technologique étroit très étrange. Ces nano-entités n’ont rien à faire dans les vaxxins. Il y a des agrégats de nanoparticules d’acier inoxydable et nous en ignorons la raison : ils sont sûrement issus d’une nanotechnologie ajoutée intentionnellement au produit. Pas à tous les produits. Je pense qu’ils ne se trouvent que dans certains lots et probablement que dans certains coffres-forts de Pfizer.
Il existe donc une liste des bons et des mauvais lots de vaxxins.

Si vous voulez, je peux vous montrer. […]

Ces particules blanches n’appartiennent pas exactement au vaxxin, mais elles y sont liées : ce sont
des débris métalliques insérés dans l’aiguille de la seringue et ce sont des débris d’usure de la paroi en
étain de l’aiguille, mais quand ils injectent le liquide du vaxxin, ces débris d’usure sont aussi injectés dans
le corps. Vous comprenez le problème.


Vous voyez ici quelques débris blancs très denses atomiquement. Ces débris sont composés de
chrome. Ces entités plus molles sont probablement une agglomération de liposomes ou d’autre chose,
du graphène par exemple. Mais c’est très intéressant parce qu’il s’agit d’une micro-aiguille et d’un produit nanotechnologique.

On voit très bien par les trous réguliers qui sont créés que c’est une micro-aiguille et qu’elle est sans
doute remplie d’un produit qui est libéré quand on injecte le vaxxin dans le corps.

Mais passons à ces entités : elles sont un mélange de matière organique et de nanoparticules de silicate
d’aluminium et toutes ces particules sont thrombogènes. Elles ne sont pas biocompatibles.

Elles peuvent donc non seulement érafler les vaisseaux sanguins internes, mais aussi déclencher une cascade de coagulation.

Certains effets secondaires que nous observons peuvent donc probablement avoir ces particules
comme agent déclencheur. Dans ce cas, cette sphère contient plus de sept microns de silice : je ne sais pas ce que ça fait là.

Il y a d’autres petites particules d’acier inoxydable. L’acier inoxydable est du fer, chrome, etc.

Mais je veux vous montrer une petite particule qui est très intéressante dans AstraZeneca

Quand vous la grossissez, vous voyez une ellipse pleine de nanoparticules métalliques composées de
fer, de chrome, de cuivre, de nickel, d’étain.

C’est un produit nanotechnologique, mais nous ne savons pas quelle est la mission de cette entité non biocompatible à l’intérieur du vaxxin.

J’ai aussi trouvé des particules d’argent, mais dans Moderna. Ces étranges entités de plus de soixante-
dix microns sont pleines de trous.

Ces derniers pourraient aussi être remplis de quelque chose : ils sont à l’intérieur du vaxxin et ils sont
ajoutés au vaxxin avec quelque chose de spécial que nous ne connaissons pas.
Ces petites particules sont composées de silicium, de plomb, de cadmium, de sélénium. Le séléniure de cadmium est une
nanoparticule très intéressante : c’est un produit issu de la nanotechnologie qui est thrombogène.
Mais
nous ne savons pas quelle est la portée de ces autres matériaux à l’intérieur du produit et des autres
particules composées d’acier inoxydable qui est un composé organique inorganique.

Cela signifie que les liposomes ARN ont probablement collé ensemble ces particules métalliques. Vous avez probablement vu que de nombreux patients avaient des effets magnétiques au niveau de leur point d’injection.

Ces entités peuvent entraîner ces effets. S’il y a un champ magnétique important, ces particules
peuvent réagir à l’intérieur d’un champ électromagnétique.

Il y a d’autres petites particules d’acier inoxydable. L’acier inoxydable est du fer, chrome, etc.

J’ai trouvé beaucoup de choses différentes à l’intérieur de Janssen : des particules d’aluminium, de
silicium et de titane. Il y a sans doute un problème de contrôle de qualité non effectué par le fabricant,
mais aussi par les organismes de contrôle parce tout cela est clairement visible au microscope
électronique à balayage.

Donc, je pense que… attendez… Je vais m’arrêter là parce que je veux parler avec vous, notamment
avec Mike Yeadon parce que j’ai aussi vu des contaminations dans les anciens vaccins, mais dans
les nouveaux, il y a des composés nano-technologiques, des particules à l’intérieur et l’effet
dans le corps est inconnu.

J’étudie la biocompatibilité des matériaux depuis de nombreuses années. J’ai donc de l’expérience à ce
sujet. C’est la première fois de ma vie que je vois des produits nanotechnologiques dans un fluide. J’ai
coordonné un projet de recherche de la commission européenne sur la nanotoxicité. Je sais très bien quel est l’effet des nanoparticules à l’intérieur des cellules : j’ai de belles images d’une interaction biologique directe de ces nanoparticules avec l’ADN et aussi de mitochondries, d’organismes et d’ADN.
Je pense donc que ces nouveaux produits sont dangereux au final. Je ne vois pas comment le corps
pourrait s’opposer à ces stimuli.

Source : Grand Jury Jour 4Transcript réalisé par Jeanne Traduction.