Je ne me bats pas pour la liberté
Je ne me bats pas pour la liberté. Non. Pourtant, j’y tiens à la liberté. Comme à l’égalité, la fraternité, la justice. Mais ce n’est pas pour ça que je me bats.
Je ne me bats même pas pour ma santé. Pourtant, j’y tiens encore plus à ma santé. C’est un bien précieux. Sans doute l’un des plus précieux. Mais ce n’est même pas pour ma santé que je me bats. Pas seulement en tout cas.
Je me bats pour quelque chose de plus grand. Quelque chose de viscéral, que tout mon être crie. C’est au fond de moi, une certitude au-delà des mots, une conviction au-delà du rationnel, bien qu’étayée par des mois de recherche et de réflexion. Bien qu’étayée par la science. Étayée par la morale. Étayée par la vérité. Étayée même par le bon sens le plus commun. Ce dont il s’agit, c’est de mon intégrité physique. De ce qui fait de moi un être humain. Un être humain créé à l’image et à la ressemblance de Dieu.
Dans les manifestations, on croise des pancartes : « Mon corps, mon choix. Mon corps m’appartient ! ». Et bien non, je ne suis pas d’accord. Justement, non, mon corps ne m’appartient pas. Mais il appartient encore moins aux gouvernements, aux ministres, aux députés ou sénateurs qui ont voté cette loi, au Pape qui la soutient, aux journalistes haineux, ou à mon médecin traitant qui, terrassé par le virus de la peur, a viré pro-vaxx. Mon corps ne m’appartient pas parce qu’il appartient à Dieu.
« Ne le savez-vous pas ? Votre corps est un sanctuaire de l’Esprit Saint, lui qui est en vous et que vous avez reçu de Dieu ; vous ne vous appartenez plus à vous-mêmes, car vous avez été achetés à grand prix. Rendez donc gloire à Dieu dans votre corps. » 1 Corinthiens 6:19-20
Mon corps est un Temple de l’Esprit Saint. Un Temple de Dieu. Je ne suis que l’usufruitier ce corps et c’est pour ça que je ne peux pas en faire n’importe quoi. C’est pour ça que je ne peux pas sciemment le mettre en danger en lui inoculant un produit génique expérimental. C’est pour ça que je ne peux pas accepter de recevoir une injection fabriquée en utilisant des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés. Je ne peux pas utiliser mon corps pour violer les lois de Dieu. Quoiqu’en dise la loi des hommes. Quoiqu’en disent les responsables politiques, les médias, les bien-pensants, les endoctrinés, les terrifiés, les endormis. Quoiqu’en disent le Pape et la Conférence des Évêques de France !
« Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. » Ac. 5:29
C’est pour ça que je me bats. Et que je me battrai jusqu’à la mort. Pour l’inviolabilité de ce corps. Parce que c’est mon devoir de le protéger au péril de ma vie.
« Ne craignez pas ceux qui tuent le corps sans pouvoir tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr dans la géhenne l’âme aussi bien que le corps. » Mt 10:28
C’est pour cela que je me bats. Quelle importance peuvent bien avoir mon confort, mon bien-être, ma tranquillité, mes loisirs, mes plaisirs à côté de cela ? Je me bats au détriment de l’accessoire mais même au détriment du nécessaire. Parce que je me bats pour l’essentiel.
« Cherchez d’abord le royaume de Dieu et sa justice, et tout le reste vous sera donné par surcroît. » Mt 6:33
La liberté sera donnée en surcroît. Car « la vérité vous rendra libres » Jn 8:32.