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Les USA ont testé des poisons sur leur propre population

Publié par kla.tv le 27 février 2024 – Partagé par Nouveau-monde.ca

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Transcription

L’un des principaux arguments des partisans actuels de la vaccination est que les gouvernements de ce monde ne nous feraient jamais de mal intentionnellement. Malheureusement, il existe de nombreux faits et preuves qui démontrent exactement le contraire. Un ancien reportage de 1994 du magazine Spiegel TV révèle précisément cette intention. Il prend pour exemple les expériences à grande échelle menées dans la plupart des grandes métropoles américaines. Les sujets de test involontaires étaient ici des citoyens américains. Ils ont été empoisonnés parce que l’armée voulait voir ce qui se passerait — puisque les substances de combat doivent être testées avant d’être utilisées chez « l’ennemi ». Par exemple, une école primaire a été bombardée chaque jour pendant trois mois, comme pseudo « ennemi », avec du sulfure de zinc et de cadmium. Chaque jour, les enfants étaient contrôlés pour détecter des résidus, sans que les parents ne sachent pourquoi. Les conséquences ont été cruelles. Une ancienne élève a raconté qu’elle était l’une des rares à être encore en vie. La moitié de ses anciens camarades de classe sont morts, les autres sont confrontés à des maladies très graves, à la stérilité ou au handicap de leurs enfants. Elle-même a donné naissance à trois enfants lourdement handicapés. Son crime : être allée sagement à l’école. Voici le reportage encore non censuré de Spiegel TV de 1994 :

14 août 1994. Reportage du magazine Spiegel TV : Essais toxiques sur des citoyens américains :

« Des centaines de milliers de citoyens américains sont devenus des cobayes involontaires. Des produits chimiques prétendument inoffensifs ont été pulvérisés à grande échelle depuis des avions sur des villes américaines dont les conditions climatiques correspondaient à celles des villes soviétiques. Comme, par exemple, Minneapolis, où il fait presque aussi froid en hiver qu’à Moscou. C’est pourquoi l’armée a bombardé pendant trois mois cette ville de plusieurs millions d’habitants avec du sulfure de zinc et de cadmium. »

Pendant trois mois, la population a donc été aspergée d’une substance toxique extrêmement dangereuse, à son insu.

Leonard Cole :

« On voulait savoir comment les bactéries se propagent, comment elles survivent et jusqu’où elles sont poussées par le vent. Le sulfure de zinc et de cadmium a été utilisé parce qu’il se comporte de la même manière que les agents biologiques et chimiques qui devaient être utilisés en cas de guerre. »

Inimaginable : un gouvernement s’en prend secrètement à la vie de ses propres concitoyens pendant 40 ans…

« Pendant plus de quatre décennies, l’armée a bombardé de manière généralisée son propre pays avec des poisons dont elle-même ne connaissait pas exactement la dangerosité. »

Cette action du gouvernement est tout à fait comparable à l’injection anti COVID. Par exemple, Pfizer savait tout à fait que l’injection était nocive et l’a consciemment accepté. Consultez nos émissions en allemand sur le sujet. (www.kla.tv/27838 : « Ralf Ludwig : Une attaque contre les droits de l’homme individuels montre que la vie n’a pas de valeur » et www.kla.tv/27814 : « Grande manifestation à Karlsruhe — Best-of de tous les rassemblements »)

Les métropoles à forte densité de population ont été privilégiées. On voulait en effet savoir s’il était possible de contaminer des villes entières avec des virus ou des produits chimiques sans que personne ne le remarque. Chaque détail a été saisi, enregistré et répertorié.

Intéressant : on peut établir un parallèle avec le test Covid.

« C’est ainsi que leur propre population est devenue un sujet de test pour les “docteurs bizarres” des laboratoires de recherche de l’armée et des services secrets et leurs conseillers allemands, qui avaient appris leur métier à l’époque du Zyklon B. »

Ici aussi, nous voyons des similitudes avec les actions du RKI (institut Robert Koch) et de Drosten et Cie.

« À l’époque, on n’avait guère idée des dégâts possibles. En 1953, le gouvernement des États-Unis était encore considéré comme exempt de tout péché. Si le gouvernement disait quelque chose au peuple, on lui répondait que cela devait être vrai, car le gouvernement est omniscient ! »

En comparaison, les similitudes avec la pandémie de Covid ne peuvent être niées : une confiance aveugle de la population qui ne peut pas imaginer être délibérément lésée par le gouvernement.

Le passé montre de manière factuelle, par le biais de ce rapport, que les gouvernements causent des dommages à leur population de manière tout à fait intentionnelle, sans se soucier des conséquences ̶ comme cela a été le cas récemment et actuellement par le biais de l’injection antiCovid. L’histoire se répète jusqu’à ce que chacun de ces crimes méprisables soit finalement mis en lumière et que justice soit rendue.

Brisons ce karma et faisons en sorte que les répétitions prennent fin rapidement !

Sources/Liens :

USA —Essais de poison sur sa propre population :

Source originale : https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=28308&date=2024-02-27

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