Effets indésirables,  Graphène,  Nanotechnologies,  Transhumanisme,  Vaccins

Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés

Par Gabriel Baumgartner, docteur en physique EPFL, auteur de :

Introduction

Le présent document constitue une synthèse des découvertes de l’année 2021 concernant l’inoculation contre la Covid-19. Il est rédigé dans l’idée de relever les aspects scientifiques et diffuser les questions ouvertes.

Il faut tout d’abord mesurer à quel point certains effets secondaires rapportés sont littéralement extraordinaires.

Ainsi, l’attraction entre certaines parties du corps et des aimants ou des parties métalliques suite à l’inoculation interpelle. Ce phénomène est si déconcertant qu’il est bien difficile de se convaincre de son existence. En tant que scientifique, j’ai cherché à comprendre ce phénomène qui dépasse l’entendement.

Au fil des découvertes, il apparaît que ce phénomène de magnétisme humain n’est qu’une pièce dans un gigantesque puzzle. Ainsi, au cœur de l’été est tombée une nouvelle stupéfiante concernant la composition de ces inoculations : la première analyse au microscope d’un vaccin Pfizer a détecté des particules identifiées comme un composé du carbone, plus précisément des nanoparticules de graphène. Cette nouvelle est particulièrement alarmante car aux nanoparticules est associée une nanotoxicité et celle du graphène a été étudiée depuis des années. La détection de graphène a été confirmée. Le 2 novembre 2021, le docteur en chimie Pablo Campra de l’Université d’Almeria a publié son rapport intitulé :

Détection de graphène dans les vaccins Covid-19 par spectroscopie microRaman

Voici en 3 minutes, la présentation de ce rapport final par le Dr. Campra (en anglais) :

Source : https://odysee.com/@laquintacolumna:8/PRESENTACI%C3%93NINFORMET%C3%89CNICODR.CAMPRAENGLISHVERSON:b

La détection de particules de graphène ouvre la voie à des recherches sur la composition des vaccins et soulève de graves questions. Comment expliquer la présence d’ingrédients potentiellement toxiques, non déclarés par les fabricants ? Quels peuvent être les effets de ces nanoparticules sur l’organisme ?

Ce document, destiné au plus grand nombre, fait la présentation de ces découvertes scientifiques qui modifient radicalement la compréhension de l’actualité.

Remerciements :

Je remercie chaleureusement le trio de laquintacolumna qui a initié en Espagne un travail d’analyse exceptionnel :

Grâce leur rigueur scientifique et à leurs intuitions, ce trio a ouvert des réflexions qui méritent d’être diffusées dans le grand public.

Effets biomagnétiques

Depuis le début de la campagne de vaccination, la population du monde entier observe un phénomène inédit dans l’histoire de l’humanité. Des personnes ont testé une attraction de type magnétique sur leur corps. Des pièces de monnaie et objets métalliques en tout genre restent collés au point d’injection du vaccin contre le virus Covid-19.

Cette information est tellement stupéfiante qu’elle ne paraît même pas croyable. Surtout après avoir tellement entendu de la part de nos autorités que le vaccin est sûr et efficace. Il paraît vraiment impossible de voir un tel phénomène se produire. A contrario, dans un monde normal, si phénomène aussi irréel venait à se produite, c’est tout le mythe vaccinal qui viendrait à s’effondrer.

Voici un témoignage, daté du 30 mai, du médecin Pedro Chavez au Mexique qui a fait des observations sur ses propres patients (voir sous son interview).

D’autres témoignages, issus de partout dans le monde, ont rapporté ce phénomène invraisemblable. On voit l’adhérence d’objets de masse variable. De plus, le magnétisme s’étend souvent à partir du bras sur tout le tronc.

L’histoire devient encore plus irrationnelle lorsque l’on voit comment cette information a été niée, notamment sur internet. Une recherche ne propose que des sites qui démontent ces observations :

Ainsi, il apparaît d’emblée que nous vivons une guerre de la connaissance et de l’information.

[…]

À ce jour, aucune institution n’a relevé l’existence du biomagnétisme.

Il faudra donc se tourner vers des chercheurs indépendants et notamment le trio de laquintacolumna pour commencer à comprendre ce qui nous arrive.

Détection d’un composé non déclaré

En Espagne, bien avant la crise du Covid 19, Ricardo Delgado, le fondateur du site la quintacolumna, avait constaté un lien entre des décès dans des maisons de retraite et un vaccin particulier contre la grippe. En collaboration avec le docteur José-Luis Sevillano, ils ont cherché quel pourrait être le composé du vaccin qui expliquerait cet excès de décès. Ils ont pensé à un matériau : le graphène. Dès lors, ils ont entrepris d’analyser la composition de divers vaccins pour comprendre cette anomalie.

Ils ont réussi à détourner une fiole de vaccin Pfizer contre Covid-19 et ils ont demandé une analyse à l’Université d’Almeria.

Un premier rapport, dit préliminaire, est sorti fin juin. Il a montré, pour la première fois, que des nanoparticules étaient visibles au microscope optique et elles ont été également détectées avec d’autres méthodes (spectromètres et microscopie électronique).

Le docteur en chimie Campra, qui est l’auteur du rapport, a conclu qu’il s’agissait probablement de nanoparticules de graphène. Pour comprendre les graves questions qui se sont posées suite à la découverte d’une nanoparticule toxique pour l’organisme, nous allons commencer par voir en quoi consiste ce matériau et quelles sont ses caractéristiques.

En quoi consiste le graphène ?

Pour comprendre ce qu’est le graphène, partons du graphite qui est le matériau qui constitue une simple mine de crayon. Le graphite est uniquement constitué d’atomes de carbone, liés les uns aux autres. Sa structure montre des plans de carbone superposés. À partir de cette structure, il suffit de détacher un seul plan pour obtenir le graphène.

Atomes de carbone liés formant un plan de graphène

Le graphène est donc un composé qui n’a qu’une seule couche atomique, comme il s’apparente à une feuille et non à un volume, on parle d’un matériau bidimensionnel. Sa hauteur, avec une seule couche d’atomes, est la plus petite que l’on puisse créer. Il faut cependant préciser qu’il existe beaucoup de variantes de graphène. Ainsi, on parle de graphène même s’il comporte plusieurs couches (jusqu’à 10 couches).

À cette échelle de grandeur, on a affaire à un nanomatériau. Si nous prenons 1 mm que nous le divisons par 1000 nous obtenons 1 micromètre et c’est presque la limite observable au microscope optique. Divisons encore par 1000 et obtenons un nanomètre (nm). A cette échelle, on utilise des microscopes électroniques qui envoient des électrons sur l’échantillon à analyser.

Une nanoparticule de graphène est un petit bout de ce plan. C’est comme si l’on prend un kleenex et qu’on le déchire pour faire des confettis.

Le graphène est extraordinaire à bien des égards. Rendez-vous compte qu’un hamac imaginaire de 1 mètre carré de surface ne pèserait que 0,77 milligrammes, soit moins qu’une unique moustache de chat. Un tel hamac pourrait cependant supporter le poids d’un chat de 4 kilos !

Si un tel hamac était constitué d’une feuille d’acier mesurant la même épaisseur, il ne supporterait que 40 grammes, soit 100 fois moins que le graphène.

En lui attachant des molécules, on peut modifier le graphène. Cette fonctionnalisation chimique va permettre de le rendre soluble dans un fluide ou même magnétique. Grâce à cette capacité de fonctionnaliser ce matériau, il existe toute une chimie et une physique propre au graphène.

C’est bien sûr sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique qui focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans connexion filaire.

Quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène :

  • Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant ( 100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique
  • La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.
  • Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène est au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans connexion filaire.

Pour la synthèse du graphène en partant du graphite, il y a diverses méthodes, on passe par une phase intermédiaire d’oxyde de graphène qui est le précurseur du graphène.

Dans le rapport, l’oxyde de graphène de référence représenté ci-dessous a été comparé aux particules présentes dans le vaccin.

Si l’on déchire ce plan de graphène pour en faire des confettis, on obtient des nanoparticules de taille et de forme variable.

[…]

L’importance de ce rapport

Omettre de mentionner un composé toxique dans l’injection contre la Covid 19 est un délit contre la santé publique. La quintacolumna avait déjà formé un réseau qui avait alerté les préfets en envoyant les résultats du rapport préliminaire.

Désormais, l’intention est de relancer les plaintes dans toute l’Espagne sur la base des conclusions du dernier rapport du Dr. Campra. Porter cette affaire en justice va de pair avec une opération de diffusion des conclusions scientifiques de ce rapport.

En principe, l’inoculation est le fruit d’un choix conscient. A défaut d’information sur la présence de graphène et de sa toxicité, il est clair qu’il n’est pas possible de donner un consentement éclairé.

Dans la prochaine section nous allons découvrir les divers aspects de la toxicité du graphène.

Auparavant, il faut savoir que la présence de graphène dans les vaccins se confirme en consultant des brevets et des patentes.

[…]

Études sur le sang

Le sang des personnes vaccinées a montré des modifications impressionnantes.

Plusieurs documents montrent une modification des globules rouges qui s’empilent pour former des rouleaux.

Dr. Zandre Botha a été choquée de ce qu’elle a découvert en étudiant le sang de patients vaccinés qui venaient consulter pour des maladies graves déclarées après avoir été injectés par les « vaccins covid ».

https://gloria.tv/post/CYb3Qraejiiy2SRLNkusqEjaC

Comparaison du sang chez la même patiente avant et après vaccination :

[…]

La portée de ces découvertes

La prise en compte du biomagnétisme et la découverte de nanoparticules dans les vaccins sont 2 découvertes fondamentales.

De graves questions se posent :

Comment expliquer qu’un élément toxique se trouve présent dans des injections biologiques ?

Pourquoi ces informations sur les nanoparticules non déclarées ne sont-elles pas relayées et diffusées au plus grand nombre ?

Lorsque l’on voit que le grand public ignore tout ce qui découle de ces 2 découvertes, on prend réellement la mesure du lavage de cerveau qui opère dans notre monde.

Qui réalise vraiment ce que cela signifie ?

Les découvertes fondamentales sont susceptibles de provoquer une révolution dans la manière de penser. Comme lorsque Galilée a pointé une lunette astronomique vers Jupiter et a observé, pour la première fois, des lunes qui lui tournaient autour. Il a compris que tout ne tournait pas autour de la Terre et une révolution copernicienne était en marche. Après plusieurs années de combat, notamment contre l’Eglise, la révolution copernicienne a vu le jour et les planètes ont tourné autour du Soleil.

Au vu de ce qui précède, c’est bien quelque chose de fondamental qui s’est dévoilé cet été avec l’observation du biomagnétisme et les diverses nanoparticules qui n’ont rien à faire dans ce qui a été nommé ¨vaccin¨ .

Depuis longtemps, on sait que les microparticules sont des corps étrangers qui vont provoquer des maladies de dégénérescence et que l’organisme va les combattre.

A présent, il faudra prendre en compte les risques liés aux nanoparticules. Le docteur José Luis Sevillano de laquintacolumna a présenté une comparaison entre les divers effets produits par la Covid 19 et les divers effets possibles provoqués par une intoxication au graphène :

Face à une agression de type chimique par des nanoparticules d’oxyde de graphène, le système immunitaire va tenter de s’attaquer à ces particules et provoquer une réponse immunitaire très semblable, voire identique, à la réaction face à un pathogène type viral.

Le Dr. Sevillano a d’ailleurs soulevé une question intéressante. Comment un virus peut-il développer une pneumonie bilatérale ? N’est-il pas établi qu’un virus va affecter les tissus à partir d’un foyer et qu’il ne va pas affecter les 2 poumons simultanément ? Autrement dit, est-il cohérent d’attribuer à un virus une pneumonie bilatérale ?

Pour celui qui voit là une incohérence, il faut bien chercher une autre explication.

[…]

Source et article complet : https://nouveau-monde.ca/vaccins-covid-19-effets-secondaires-alarmants-decouverte-de-constituants-non-declares/