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Bergoglio, le prétendu pape François, est-il « l’évêque vêtu de blanc » de Fatima ? Nouvelle interprétation sur les traces du pape Ratzinger

Par Andea Cionci, le 24 janvier 2022, publié en français par Homelie.biz

Écrit par Andrea Cionci (24/01/2022) – Traduction française autorisée : père Walter Covens

Vous essayez d’interpréter le troisième secret de Fatima ? Ne soyez pas choqué, d’autres journalistes, laïcs ou catholiques, l’ont déjà fait, avançant diverses hypothèses. Ainsi, étant donné que depuis quelques années, dans un isolement béat, nous sommes les seuls à vous fournir dans les médias un scénario complètement nouveau et différent de ce qui se passe dans l’Église, essayons également de hasarder une hypothèse actualisée à l’heure actuelle. En effet, nous n’avons pu nous empêcher de constater de POSSIBLES superpositions symboliques de tous les détails du Message avec la réalité des faits.

Comme vous le savez maintenant, le pape Benoît XVI n’a jamais abdiqué, mais s’est exilé in sede impedita (canon 412). Par conséquent, le conclave de 2013 était invalide et Bergoglio est un pape illégitime, comme nous l’avons démontré dans l’enquête rapportée ICI en bas. L’attaque médiatico-judiciaire subie par le pape Ratzinger ces derniers jours, qui s’est révélée être un fiasco retentissant (même le Corriere s’est retiré (ICI), en a apporté la dernière confirmation.

Lorsque le Siège empêché de Benoît XVI sera reconnu, l’anti-papauté de Bergoglio s’évanouira et il y aura, très probablement, un schisme purificateur : la fausse Église hérétique sera séparée de la vraie, comme le recommandait le pape Ratzinger avec cette phrase adressée au Herder Korrespondenz : « Séparer les croyants des non-croyants » (ICI).

Le Saint-Père Benoît avait également déclaré en 2010 :

« Ils se feraient des illusions, ceux qui pensent que la mission prophétique de Fatima est terminée« .

Par conséquent, selon ses dires, elle ne s’est pas du tout réalisée avec l’attaque contre Jean-Paul II, comme le croit surtout cette église moderniste qui a toujours essayé d’effacer le Troisième Secret comme ayant « déjà eu lieu ». En outre, à part la scène de la « fusillade du Saint-Père », qui est à peine comparable aux coups de pistolet d’Ali Agcà, tous les autres détails de la Vision n’ont aucune signification correspondante. Même Sœur Lucie elle-même, auteur du texte, n’a fait aucune mention de la tentative d’assassinat de Jean-Paul II, un an après qu’elle se soit produite, dans cette lettre ICI .

Le cardinal Angelo Sodano a précisé que le langage du Message est SYMBOLIQUE et que, par conséquent, si nous devons accepter qu’il provient réellement de la Vierge Marie, chaque détail doit trouver sa place. (on imagine difficilement la Reine du Ciel insérer des bizarreries oniriques aléatoires dans le message).

Après tout, le pape Benoît XVI, avec les amphibologies de son Ratzinger Code ICI, nous a appris à changer de point de vue face aux mystères, en essayant de voir les choses d’une manière nouvelle et radicalement différente de ce qui APPARAÎT superficiellement.

L’idée initiale de cette nouvelle interprétation nous est venue d’un lecteur, Marco Da Prato, qui affirme que le « Saint Père » de la deuxième partie du message n’est, en réalité, pas un vrai pape, mais toujours le même évêque vêtu de blanc mentionné au début, le faux pape qui doit être SYMBOLIQUEMENT « tué ».

Mais voici le texte du troisième message écrit par Sœur Lucie et rendu public par l’Église en 2000.

« Après les deux parties que j’ai déjà exposées, nous avons vu sur le côté gauche de Notre-Dame, un peu plus en hauteur, un Ange avec une épée de feu dans la main gauche; elle scintillait et émettait des flammes qui, semblait-il, devaient incendier le monde; mais elles s’éteignaient au contact de la splendeur qui émanait de la main droite de Notre-Dame en direction de lui; l’Ange, indiquant la terre avec sa main droite, dit d’une voix forte: Pénitence! Pénitence! Pénitence! Et nous vîmes dans une lumière immense qui est Dieu: “Quelque chose de semblable à la manière dont se voient les personnes dans un miroir quand elles passent devant” un Évêque vêtu de Blanc, “nous avons eu le pressentiment que c’était le Saint-Père”. Divers autres Évêques, Prêtres, religieux et religieuses monter sur une montagne escarpée, au sommet de laquelle il y avait une grande Croix en troncs bruts, comme s’ils étaient en chêne-liège avec leur écorce; avant d’y arriver, le Saint-Père traversa une grande ville à moitié en ruine et, à moitié tremblant, d’un pas vacillant, affligé de souffrance et de peine, il priait pour les âmes des cadavres qu’il trouvait sur son chemin; parvenu au sommet de la montagne, prosterné à genoux au pied de la grande Croix, il fut tué par un groupe de soldats qui tirèrent plusieurs coups avec une arme à feu et des flèches; et de la même manière moururent les uns après les autres les Évêques, les Prêtres, les religieux et religieuses et divers laïcs, hommes et femmes de classes et de catégories sociales différentes. Sous les deux bras de la Croix, il y avait deux Anges, chacun avec un arrosoir de cristal à la main, dans lequel ils recueillaient le sang des Martyrs et avec lequel ils irriguaient les âmes qui s’approchaient de Dieu. »

Eh bien, « de grandes flammes qui semblaient embraser le monde entier » : le Covid et ses épidémies ? Si vous voulez, « de la main gauche« , c’est-à-dire du point de vue des gouvernements progressistes du monde, cette pandémie est perçue avec une grande appréhension, et les mesures d’endiguement sévères sont justifiées par des « étincelles médiatiques » qui font « croire » que le coronavirus va mettre le feu au monde entier. Au contraire, du côté de la « main droite« , c’est-à-dire du point de vue des gouvernements nationaux-conservateurs, une certaine tendance à minimiser le problème a été constatée.

Ainsi, toujours à partir des cercles catholiques conservateurs, c’est-à-dire de la « main droite » – cette fois de l’ange – le Covid a été interprété théologiquement comme une punition ou, du moins, une permission divine pour l’homme de se repentir de ses péchés. C’est pourquoi l’ange désigne le monde de la main droite et répète « Pénitence« . (Il convient toutefois de noter que le clergé moderniste-gauchiste-bergoglien a pris exactement la direction opposée, en croyant de manière déiste que le Seigneur est étranger à la crise sanitaire).

Eh bien, au moment même de l’histoire où sévit la pandémie étincelante qui « semble mettre le feu au monde entier », nous apprenons qu’il existe un « évêque vêtu de blanc » : exactement ce qu’est l’antipape Bergoglio. Après tout, la question de son invalidité en tant que pontife est apparue précisément au cours des deux dernières années.

L’étrange définition de l’ « évêque vêtu de blanc » est extrêmement significative et opportune : en effet, en accédant à la fois à la papauté et à l’antipape, un cardinal perd automatiquement le cardinalat, qui n’est qu’une dignité, et non une fonction sacramentelle. (Le nouveau pape ou antipape, en effet, devient titulaire de toute l’Église et pas seulement d’une église particulière, ce qui se produit avec le titre de cardinal).

Et pourtant, la figure de cet évêque blanc est confuse, enveloppée d’une lumière « immense », éblouissante, qui est Dieu : le dessein insondable du Seigneur ? En fait, cette situation ne pouvait être comprise que petit à petit, en plissant les yeux comme devant le soleil, en habituant ses yeux, en faisant un « regard subtil » pour mieux voir.

L’évêque vêtu de blanc, en outre, est vu par les petits bergers « à la manière dont se voient les personnes dans un miroir quand elles passent devant« , autre détail fondamental. Déjà dans cet article ICI nous avions spéculé comment le miroir était la base de toute la stratégie anti-usurpation du soi-disant « Plan B » du Pape Ratzinger-Jean Paul II.

En fait, François est vraiment le « reflet » d’un pape, une image illusoire vue dans un miroir. Le pape Benoît XVI semble également y faire allusion dans « Dernières Conversations » (2016) :  » … il est certainement aussi un pape qui réfléchit « . Quand je lis ses écrits, Evangelii gaudium, ou même des interviews, je vois que c’est un homme réfléchi... ».

En fait, Bergoglio ne possède que le ministerium, l’exercice pratique du pouvoir, qui est l’effet, le « reflet » du munus, le titre de pape, d’origine divine, conservé par Benoît XVI. La preuve en est que, s’il peut y avoir un pape empêché qui conserve le munus, mais de fait sans ministerium, (comme Benoît XVI), il ne peut y avoir un vrai pape doté du ministerium, mais sans le munus : dans ce cas nous avons, précisément, seulement un ÉVÊQUE HABILLÉ DE BLANC. Pour parler clairement : un objet devant un miroir existe même sans son reflet, mais l’inverse ne peut se produire, vous comprenez ?

C’est aussi dans ce sens qu’il y a un « ministère élargi » , comme le dit Mgr Gänswein ICI avec un vrai pape dans le siège empêché, (Benoît), et son reflet, l’antipape François au gouvernement.

Maintenant, lorsque quelqu’un marche devant un miroir, s’il va de droite à gauche, le miroir est montré comme allant de gauche à droite. C’est pourquoi l’évêque vêtu de blanc, tel qu’il est décrit, DOIT ÊTRE INTERPRÉTÉ À L’INVERSE DE LA MANIÈRE DONT IL APPARAÎT. Ainsi, ce « Saint Père » qui gravit la montagne parmi les cadavres, pour atteindre la croix, ne doit pas être lu comme un vrai pape, bon et souffrant, priant pour les morts, montant vers un Crucifix et mourant finalement injustement, sauvagement massacré, mais est L’EXACT OPPOSÉ.

Nous avons donc un faux pape qui gravit une montagne, un exploit difficile, celui d’arriver à une unique religion mondiale représentée par une « une grande Croix en troncs bruts, comme s’ils étaient en chêne-liège avec leur écorce » : le symbole d’une foi énormément répandue, mais brute, bon marché, légère et, surtout, « commerciale » comme l’est le liège au Portugal, le pays qui en est le premier producteur mondial.

L’écorce du chêne-liège a également la caractéristique typique de se détacher en gros morceaux, ICI , et peut parfaitement SIMULER un véritable tronc d’arbre, même s’il est CREUX. Nous nous trouvons donc devant une fausse croix-religion, creuse, d’écorce friable, certainement pas apte à supporter le poids d’un homme cloué dessus : une croix qui REJETTE donc, de par sa constitution, le Fils de Dieu qui s’est fait crucifié pour l’humanité. Nous savons, en effet, que dans la nouvelle religion mondiale à laquelle travaille Bergoglio, la transsubstantiation, c’est-à-dire le Sacrifice perpétuel, doit être abolie.

Ensuite, nous avons le faux pape qui « traverse » une grande ville. Dans quelle ville peut-il y avoir un pape ou un antipape si ce n’est à Rome ? Ainsi, Bergoglio, avant d’arriver au sommet de son objectif (la nouvelle religion mondiale) traverse, c’est-à-dire « COUPE EN DEUX » la papauté en produisant un schisme de fait et non déclaré qui divise l’Église elle-même en deux, envoyant « la moitié en ruine » : la partie détruite est celle de la véritable Église catholique, orthodoxe et traditionnelle. Il suffit de penser aux décombres produits par le pseudo-motu proprio Traditiones Custodes, qui a démoli l’antique messe en latin.    

L’antipape François marche donc d’un pas chancelant, symboliquement « affligé de douleur et de chagrin », car son ascension vers la religion mondialiste se fait avec fatigue et difficulté ; il est de plus en plus instable, « à moitié tremblant » sur le trône usurpé.

L’évêque vêtu de blanc « prie pour les âmes des cadavres » qu’il rencontre sur son chemin. Attention : cette phrase ne peut en aucun cas être interprétée comme le geste pieux de prier pour les âmes des morts, car nous parlons de CADAVRES, qui sont par définition des corps sans âme.

L’ « âme d’un cadavre » est un oxymore, à moins que l’on veuille interpréter l’expression symboliquement, mais littéralement, de cette façon : le faux pape rencontre publiquement des personnes « mortes dans la foi », « spirituellement cadavériques ». Il peut s’agir de chefs d’État, de VIP ou de personnalités laïques, athées, anti-catholiques, faussement catholiques, non catholiques (Biden, Scalfari, Bonino, Thunberg, Macron, Sanchez, Zuckerberg, Cook, Di Caprio, Bourla, etc.) Bergoglio prie pour leurs « âmes », c’est-à-dire qu’il s’adresse à ses divinités personnelles ou au monde pour satisfaire la VOLONTÉ INTÉRIEURE de ces personnages, leur partie la plus profonde, intime, cachée, essentielle. Bergoglio prie le monde d’accepter, par exemple, leur immigrationnisme, leur écologisme, leur bonté, les buts et objectifs cachés de tous ces personnages « morts à l’intérieur ».

Arrivé au sommet de la réalisation de son projet de nouvelle religion mondiale, c’est-à-dire au sommet de cette difficile entreprise, au moment où il s’apprête à couronner son rêve en se prosternant devant la fausse croix de liège, le faux pape est « tué » SYMBOLIQUEMENT, c’est-à-dire démasqué, délégitimé par un « groupe de soldats », c’est-à-dire de combattants, de militants catholiques qui lui tirent des coups de feu et des flèches métaphoriques : des révélations, des vérités, des découvertes, des témoignages, avec des armes « à feu », qui génèrent des foyers de vérité et enflamment l’opinion publique.

Il est ainsi révélé que Bergoglio n’est pas le vrai pape et que son faux pontificat est donc annulé.

De cette façon, l’évêque vêtu de blanc est symboliquement anéanti et avec lui « meurent les uns après les autres », c’est-à-dire que non seulement tous ses prélats et prêtres, mais aussi de nombreux laïcs : politiciens, intellectuels, journalistes qui ont suivi et parrainé le faux pape, sont automatiquement schismatiques et/ou perdent leur pouvoir, leur réputation, leurs fonctions. 

Ainsi, les âmes qui s’approchent vraiment de Dieu, les vrais catholiques ou les personnes qui ont trouvé ou redécouvert la foi, peuvent être nourries, rafraîchies spirituellement par les sacrifices VISIBLES des nouveaux martyrs, c’est-à-dire « irriguées » par le « sang » des prêtres et des intellectuels qui se sont fait excommunier, suspendre ou marginaliser en payant cher leur attaque contre l’évêque vêtu de blanc. Les « arrosoirs de CRISTAL » permettent ainsi la VISION TRANSPARENTE, pure, cristalline du « sang » versé par ce groupe de nouveaux martyrs : rien d’autre que les possibilités médiatiques d’aujourd’hui, grâce auxquelles tout le monde peut connaître les sacrifices de ces religieux-héros qui interviennent librement sur leurs petits réseaux sociaux et sont ainsi clairement visibles pour les gens de foi. Les anges, cependant, se trouvent « sous les bras » de la fausse croix parce que la vision médiatique du sacrifice des martyrs, aussi cristalline soit-elle, est encore dans les catacombes, clandestine, souterraine par rapport à la pensée unique dominante qui continue à parrainer la religion mondialiste. Avez-vous, en fait, déjà vu de tels prêtres « rebelles » prêcher sur une chaîne généraliste ?

Les martyrs, vus dans le miroir, ne sont donc pas ceux qui sont « tués » par les soldats, adeptes du faux pape, mais les religieux qui paient de leur personne pour « l’opération vérité ».

Nous sommes conscients qu’il s’agit d’une interprétation choquante, mais pas moins que la réalité réelle. Il est important de préciser que nous ne cherchons pas à tout prix la confirmation de « notre vérité » dans le troisième secret de Fatima : c’est exactement le contraire. C’est la vérité factuelle, objective, qui nous fait rechercher le troisième secret. On peut accepter ou non cette interprétation symbolique, mais il faut reconnaître que chaque détail a sa place. Ensuite, on peut en discuter, pour l’amour du ciel, tout est perfectible : écrivez à codiceratzinger@libero.it pour des suggestions et des propositions.

Cela expliquerait pourquoi l’interprétation du troisième secret, que l’Église connaît, n’a pas encore été divulguée (elle est considérée comme « indicible ») : certains commentateurs faisant autorité pensent qu’elle se réfère au moment de l’apostasie de l’Église et aux très graves problèmes à son sommet, et ils ont raison ICI . On comprend aussi pourquoi Bergoglio n’aime pas du tout cette prophétie et a même critiqué Notre-Dame de Fatima comme « une Marie esquissée par des sensibilités subjectives qui la voient tenir le bras justificateur de Dieu prêt à punir », à laquelle il préfère la Marie des Évangiles ICI .

Il est frappant, enfin, de voir comment le même anti-pape François, stratégiquement ou freudien, s’est décrit comme un « évêque habillé de blanc » ICI à la minute 1.20.

Maintenant, de manière prévisible, quelque bergoglien, avec sa lucidité habituelle, pourra nous traiter de « fous mystiques qui prétendent interpréter les prophéties ». Peut-être diront-ils que nous voulons nous ériger superbement en protagonistes du troisième secret de Fatima, que nous croyons parler à la Vierge, ou que nous sommes les instigateurs d’une attaque physique contre le « pape François ». Préparez-vous. Voyons s’ils peuvent nous fournir une explication alternative et convaincante, en attendant que le vrai pape, ou l’histoire, nous éclairent définitivement. Bon travail.

Source en italien : https://www.liberoquotidiano.it/articolo_blog/blog/andrea-cionci/30204283/bergoglio-presunto-papa-francesco-e-il-vescovo-vestito-di-bianco-di-fatima-nuova-interpretazione-sulle-orme-di-papa-rat.html

Traduction française : https://www.homelie.biz/2022/01/bergoglio-le-pretendu-pape-francois-est-il-l-eveque-vetu-de-blanc-de-fatima-nouvelle-interpretation-sur-les-traces-du-pape-ratzinger