Plus grand camp militaire depuis la 2nde guerre mondiale, mise en cage de Paris, coalition de militaires de plusieurs pays … Pour les JO, vraiment ??
NDLR : sous prétexte de JO, nous assistons à des événements pour le moins assez étonnants : le plus grand camp militaire depuis la seconde guerre mondiale construit dans Paris ; la capitale mise en cage par des milliers de barrières ; une coalition militaire de plusieurs pays sollicitée pour renforcer la sécurité … Vu les temps que nous vivons, on peut légitimement se demander s’il s’agit vraiment de Jeux Olympiques ou … de tout autre chose. Comme par exemple, des militaires White Hats – la fameuse alliance mondiale qui lutte contre l’État Profond – qui prendraient possession de la capitale ??
Il est tout à fait envisageable que ce camp militaire ne soit pas enlevé après les JO et que la capitale reste discrètement sous le contrôle militaire de l’alliance des White Hats.
Vidéo du 13 juillet 2024 – Le Parisien – (durée 1:28 min) – JO Paris 2024 : des blindés qataris dans les rues de la capitale surprennent passants et internautes
Vidéo « Paris mis en cage » (durée 1:39 min) :
Publié par RMC Sport le 27 mai 2024
« C’EST COLOSSAL » : AUX PORTES DE PARIS, UN CAMP MILITAIRE DE 30 000 M2 EN COURS DE MONTAGE POUR LES JEUX OLYMPIQUES
L’objectif est de faire sortir de terre un camp capable d’accueillir 4.500 personnes en l’espace de 65 jours. Une prouesse inédite pour les militaires, qui y seront logés pendant la période des Jeux olympiques.
Une ville dans la ville. Sur la pelouse de Reuilly, dans le bois de Vincennes, le chantier du camp militaire d’envergure bat son plein avant le début du mois de juillet. C’est dans cet endroit, aux portes de Paris et plus précisément du 12e arrondissement, que vont s’installer 4.500 militaires, déployés pour les Jeux olympiques 2024.
D’une taille de 30.000 m2, le chantier mené par le ministère des Armées est inédit: monter un camp immense en seulement 65 jours.
« C’est absolument colossal », admet le commandant Laure, cheffe de projet de l’armée pour les JO de Paris au micro de BFMTV.
Dortoirs, cuisines, espaces détentes…
Les soldats, essentiellement de l’armée de terre, seront logés dans des chalets posés sur cet espace qui accueille habituellement la foire du trône. Pour les moyens des travaux, qui ont démarré en avril, la célèbre fête foraine parisienne a été avancée dans le temps.
« Cette zone a été identifiée très vite et nous a été concédée par les efforts de la mairie de Paris et les forains. Depuis le 29 avril nous sommes en train de construire un camp en 65 jours, qui est un véritable défi opérationnel », explique le général Eric Chasboeuf, adjoint du gouverneur militaire de Paris.
D’autant que l’endroit était fortement plébiscité par l’armée française. « Nous avons ressenti le besoin opérationnel de nous installer au plus près du cœur de la capitale », ajoute-t-il.
Plusieurs dizaines de bâtiments ont déjà vu le jour: des dortoirs, des cuisines et des espaces de détentes.
Une livraison prévue début juillet
Mais le chantier est loin d’être terminé et les équipes, qui ont la lourde tâche de réaliser la prouesse, travaillent 24h sur 24h.
« Le camp sera inauguré normalement aux alentours du 5 juillet en présence du ministre des Armées (Sébastien Lecornu, NDLR) et de madame Hidalgo », précise le général Eric Chasboeuf au micro de BFMTV.
Pour les militaires habitués des camps opérationnel ailleurs qu’en France, « ce chantier est inédit par la taille ».
« Un camp capable d’accueillir 4.500 personnes, c’est quelque chose que ma génération de soldat n’a jamais fait et même la génération d’avant aussi », admet le commandant Laure, cheffe de projet de l’armée pour les JO de Paris au micro de BFMTV.
La dernière fois qu’un tel camp avait été installé, c’était lors de la Seconde Guerre mondiale. L’endroit a été nommé « Camp Alain Mimoun », ancien caporal blessé au combat et reconverti en athlète olympique.
Publié par France Bleu le 29 mars 2024
JO Paris 2024 : plusieurs pays étrangers vont envoyer des militaires et policiers pour renforcer la sécurité
Alors que la France a relevé dimanche son plan Vigipirate au niveau le plus élevé, face à la menace terroriste, le gouvernement annonce ce 28 mars [2024] que plusieurs pays étrangers enverront des militaires et policiers dans l’hexagone durant les Jeux olympiques.
À quatre mois du coup d’envoi des Jeux olympiques de Paris, le gouvernement a indiqué jeudi 28 mars [2024] que plusieurs nations étrangères, dont la Pologne, allaient envoyer des renforts militaires et policiers pour sécuriser les événements. La France est en alerte maximale face à la menace d’attentats, notamment après l’attaque qui a touché Moscou, le 22 mars 2024.
Durant les deux semaines des JO, 35.000 policiers et gendarmes français seront mobilisés, auxquels s’ajouteront 18.000 militaires tricolores. Pour la cérémonie d’ouverture inédite sur la Seine, le 26 juillet [2024], près de 45.000 policiers et gendarmes seront mobilisés en Ile-de-France.
Des chiens renifleurs polonais
Des hommes et des femmes qui accueilleront dans leurs rangs des forces de l’ordre venues d’autres pays. « Plusieurs nations étrangères vont nous renforcer dans certains domaines critiques, comme les capacités cynophiles, où les besoins sont énormes », a indiqué le ministère français des Armées, sans détailler quels pays étaient concernés. Un peu plus tôt dans la journée, la Pologne avait annoncé son implication dans le dispositif.
Sur X (ex-Twitter), Wladyslaw Kosiniak-Kamysz, le ministre de la Défense polonais a indiqué que des chiens renifleurs seront notamment déployés, avec pour mission « des opérations de détection d’explosifs et de lutte contre le terrorisme ».
46 partenaires étrangers sollicités
Le ministère de l’Intérieur français indique que la Pologne a proposé 40 policiers et 13 équipages cynophiles. Début janvier, la France a sollicité « 46 partenaires étrangers » pour « près de 2.185 renforts de forces de sécurité intérieure », poursuit la place Beauvau.
Lors de la dernière Coupe du Monde de rugby, des policiers britanniques étaient notamment venus en France, et au total 160 officiers européens avait participé à l’évènement. L’Allemagne a déjà indiqué qu’elle enverrait des policiers pour les JO.
La police, la gendarmerie et les renseignements français « seront prêts » pour assurer la sécurité aux Jeux olympiques à Paris cet été, a dit Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, lundi, après l’attentat de Moscou. Au nom des impératifs de sécurité, la cérémonie d’ouverture des JO inédite sur la Seine a été considérablement reconfigurée, avec moitié moins de spectateurs autorisés que prévu initialement et des invités passés au crible par les autorités.
