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Corps étrangers vivants, structures artificielles… que contiennent les vaccins anti-COVID ?

Source : lepointcritique.fr

Le 1er juin 2022, la journaliste Clémence Houdiakova1 recevait le pharmacien clinicien suisse Jacques Bauer dans l’émission Ligne Droite (Radio Courtoisie). Il y relate les découvertes qu’il a faites en analysant le contenu des vaccins contre le COVID-19 avec un microscope dernière génération. Son récit est glaçant et soulève une question cruciale : que contiennent réellement les injections pratiquées aujourd’hui à l’échelle planétaire et quel est l’objectif de la vaccination contre le COVID ?

Les vidéos diffusées par des chercheurs indépendants sur les réseaux sociaux montrant des clichés du contenu des injections anti-COVID ou du sang des personnes vaccinées se multiplient depuis plusieurs mois. Elles révèlent toutes la même chose : des corps étrangers mystérieux dont personne ne comprend l’origine ni la nature. Aucun média n’a relayé ces images tant elles sont perturbantes.

Une journaliste a pour la première fois accepté de donner la parole à l’un de ces scientifiques, Jacques Bauer, pour lui permettre de décrire les observations qu’il a faites en laboratoire et qu’il a présentées il y a quelques mois dans un film. Elle s’est assurée pour cela en amont de la fiabilité incontestable de ces clichés, notamment de leurs conditions de captation. Nous relatons ici le contenu de cette interview réalisée par Clémence Houdiakova pour le média indépendant Radio Courtoisie dans le cadre de l’émission Ligne Droite. Nous retranscrivons également en appui un extrait du film Hold Out où Jacques Baueur commente, images à l’appui, le contenu des injections.

Ces images sont à ce point intrigantes, voire choquantes, qu’il est nécessaire de préciser en amont le contexte dans lequel elles ont été réalisées.

L’origine de ces images peut-elle être contestée ?

Il est difficilement concevable que l’auteur de ces captations ne soit pas considéré officiellement comme « complotiste » puisque c’est ainsi que sont désignés tous les scientifiques qui se contentent de rappeler que les vaccins anti-COVID n’empêchent ni d’être contaminé ni de transmettre le virus, comme le montrent aujourd’hui des centaines d’études et les données d’observation.

Le curriculum vitae de Jacques Bauer est pourtant difficilement contestable. Pharmacien clinicien, associé en recherche clinique, spécialiste en santé environnementale et en immunologie nutritionnelle, il a travaillé pendant plusieurs années au sein de la multinationale britannique GlaxoSmithKline, classée parmi les dix acteurs les plus puissants de l’industrie pharmaceutique mondiale où il a occupé successivement quatre postes : responsable de l’information médicale et pharmaceutique, responsable du traitement des effets secondaires, pharmacien clinicien, associé en recherche clinique (RCA). Il a coordonné à ce titre plus de 27 études cliniques, en lien étroit avec les autorités de la santé en charge de l’approbation de nouvelles molécules.

Il est aujourd’hui consultant, enseignant et thérapeute au sein du Centre de prévention et de santé de Colombier (Suisse), un centre médical de référence qui héberge un laboratoire dit « de nouvelle génération », équipé notamment d’un microscope de type vital field fluorescence (VVF) qu’il a accepté de mettre à la disposition de Jacques Bauer. Cette technologie unique en son genre permet de réaliser des observations inédites, avec un degré de précision qui n’avait jamais été atteint jusqu’à présent, notamment d’analyser du sang vivant et de distinguer, grâce à des colorants spécifiques, ses composants ARN et ADN.

C’est cette technique qui a été utilisée pour étudier la composition des vaccins, à partir d’une simple goutte de sérum. Jacques Bauer a réalisé des tests sur plus d’une dizaine d’échantillons de vaccins, à différents moments pendant trois mois. Les expériences ont été filmées en permanence, en présence de six témoins qui ont attesté par écrit, en amont de l’émission, avec des certificats issus de l’industrie, de toutes les images recueillies.

Ses observations ont été publiées dans le film Hold Out, réalisé par Pierre Barnerias et porté par un collectif de journalistes.

Que montrent ces images ?

Au micro de Clémence Houdiakova, Jacques Bauer explique avoir « vu énormément de choses différentes » au cours de ces trois mois et avoir observé plusieurs anomalies d’origine inconnue, notamment lors de l’analyse des échantillons de sang de personnes vaccinées réalisée en complément de celle des vaccins : structures carrées retrouvées dans les hématies, agglomérats se formant autour de certaines cellules, présence de champignon Candida auris également retrouvé également dans le sang des personnes ayant subi des tests PCR ou ayant porté un masque.

L’émission, dont nous indiquons le lien en fin d’article, diffuse en appui un court extrait du film Hold Out où l’on entend simplement Jacques Bauer commenter ces images, en l’occurrence celles d’un échantillon de vaccin Moderna observé au fil du temps. Nous en proposons ici cinq extraits dont nous avons également retranscrit la voix off qui les accompagne.

Extrait no 1 – Présence de particules vivantes et de structures non naturelles qui s’agencent de manière organisée

Après quelques secondes d’observation, on découvre des millions de petites particules qui reflètent la lumière bleue qui est installée dans le microscope, on voit qu’elles bougent, il y a comme des mouvements browniens. Elles sont, on peut dire, « vivantes ». Vous voyez aussi des organisations. On voit aussi ici par exemple quelque chose qui est de l’ordre de l’arrangement linéaire. On commence aussi à voir des structures en anneaux. Qu’est-ce qui fait qu’une telle organisation se crée et quelles sont les raisons qui sont derrière ? C’est-à-dire, je peux bien imaginer que ce n’est pas par hasard que toutes ces structures se mettent en place. Vous commencez à observer ces alignements qui deviennent de plus en plus conséquents, comme s’il y avait, en quelque sorte, une force directrice qui les organisait et qui faisait en sorte qu’ils se structurent de plus en plus au fur et à mesure du temps qui passe. Ça, c’est quelque chose qui nous a beaucoup impressionnés.
Le même échantillon, donc une goutte du vaccin Moderna qu’on a prélevée et puis, cette fois-ci, on a ajouté des colorants spécifiques qui permettent de distinguer des structures d’ADN des structures d’ARN. Nous avons également mis un anesthésiant pour toutes les particules vivantes cellulaires. Vous constatez effectivement que tout est figé, ça c’est assez impressionnant. Ce qui veut dire que tout est bien vivant, donc il y a bien du vivant qui est introduit dans ces vaccins.

Extrait no 2 – Découverte de champignons, potentiellement des Candida auris

Ceci explique peut-être pourquoi il y avait originellement des recommandations de les conserver à très basse température, recommandations qui semblent avoir disparu maintenant, on peut se demander pourquoi. Quoi qu’il en soit, on peut voir vraiment – j’ai mis un prisme – des couleurs rouges […], il y a beaucoup de rouge autour, et c’est une structure qui a été identifiée comme un champignon. On parle actuellement probablement de Candida auris, mais ça reste à déterminer et à confirmer.
[Pierre Barnérias : Ce beau champignon affecterait la circulation sanguine, le système nerveux et divers organes internes. Nous voilà bien !]
Ces champignons de couleur rouge, très caractéristique, étaient présents à l’intérieur des vaccins avant même qu’on ait ouvert la fiole. Donc c’est tout à fait intéressant de constater leur présence et de se demander si vraiment leur présence va vraiment aider à la réaction immunitaire ou si au contraire ça va la perturber dans un sens négatif. Je serais très intéressé d’avoir l’avis des industriels. Voilà, là on en trouve un particulièrement significatif. Vous voyez là, on en trouve une autre plus petite ici. Donc ça nous interpelle, c’est à peu près la première fois dans le monde que l’on peut présenter des vidéos pareilles. On est là strictement avec le contenu de ces vaccins.

Extrait no 3 –  4 heures plus tard : l’analyse révèle la présence d’un corps étranger vivant évoquant un ver

Nous avons observé des structures de plus en plus organisées, de plus en plus de cercles, de ronds ou d’anneaux dont on avait déjà commencé à voir les ébauches lors de la première vidéo. On va observer quelque chose qui est tout à fait intéressant qui ne manque pas de nous étonner non plus, ce sont ces structures rectangulaires qu’on voit ici. On sait très bien que la nature n’est pas capable de produire des structures de type rectangulaire, carré ou autre, ce n’est pas le principe même du fractal. Or nous observons dans ces vaccins des structures qui sont vraiment parfaitement angulées, si je peux dire, comme c’est le cas ici, on dirait presque un petit monolithe ou bien un rectangle dont on va regarder avec intérêt l’évolution au fil de la vidéo, et on va voir que certains vont refléter la lumière de manière différente, vont bouger. On va voir si on en trouve d’autres tout à l’heure, ce qui est le cas, on voit de nouveau cette structure en anneau, comme un trou noir en quelque sorte, et puis on voit toutes ces microstructures qui bougent, et qui commencent à s’assembler et s’organiser, on le voit très bien ici, en des sortes d’autoroutes. Regardez ici, c’est très très impressionnant. Nous arrivons à des choses beaucoup plus complexes. Certains chercheurs parlaient d’une hydre, et voilà ce que nous avons trouvé. Et il est possible. Là au contraste, on voit qu’il y a des points lumineux en ADN, ça veut dire que c’est quelque chose de vivant. Et on pense que ça pourrait être les traces d’un vers qui s’appelle le Dirofilaria.

Extrait no 4 –  L’assemblage des structures se poursuit au fil du temps, elles commencent à former des sortes d’autoroutes

C’est un némerte que l’on trouve principalement chez les chats et les chiens, et dont on se demande comment se fait-il qu’il se trouve dans un échantillon dont je rappelle que c’est une fiole tout à fait commercialisée. On voit là aussi une organisation qui est absolument impressionnante, et qui va très loin. On voit très très clairement que c’est comme une autoroute, et on voit bien que ces structures qui s’assemblent ne le font pas par hasard. Et là, tout d’un coup, vous avez un croisement autoroutier, maintenant ça part sur la droite et là maintenant ça part en diagonale, c’est vraiment très impressionnant et on voit bien à quel point… voilà de nouveau une autre structure dont on ignore totalement son identité, et on voit que les choses s’organisent et se structurent au fil du temps, et puis vous voyez aussi ces bulles qui sont comme des nanoparticules lipidiques qui suivent elles aussi une ligne bien particulière, un peu à la manière d’un champ comme s’il y avait un champ qui soit magnétique, électrique, je ne sais, en fait on se rend compte que ces structures qui sont organisées, ont un point de départ qui se trouve être une structure ronde, qui ressemblerait à un cerveau. Bien sûr je parle d’une analogie évidemment. C’est intéressant de voir que ces structures font qu’il y a des nœuds de communication à partir desquels ces autoroutes de l’information commencent à se développer et à se structurer. En plus d’être pharmacien, je suis associé en recherche clinique, c’est-à-dire que j’ai travaillé principalement pendant plusieurs années sur les phases 3 et les phases 4 de développement de médicaments, de vaccins et autres, et donc, il convient tout de même de rappeler, et c’est extrêmement important, qu’un vaccin « normal », je veux dire un vaccin traditionnel tel qu’on le concevait pendant près d’un siècle met environ dix ans pour être développé à partir du moment où il est conçu jusqu’au moment où il peut être appliqué en toute sécurité au patient dans le monde réel.

Extrait no 5 –  Y a-t-il une intelligence qui structure le contenu des vaccins ? S’agit-il réellement de vaccins ?

Regardez-moi cette structure. C’est quand même… Excusez-moi de m’interrompre, comment voulez-vous ne pas vous poser de questions quand on voit des structures pareilles, c’est quand même quelque chose d’assez extraordinaire. On voit des triangles presque équilatéraux qui se forment autour, c’est quand même très impressionnant et on serait très intéressé et très reconnaissant de savoir ce que c’est. Là tout à coup, on nous a vendu un vaccin qu’il a fallu à peu près six à neuf mois pour développer et mettre à la disposition du public, et quand on voit à quel point le contenu est totalement différent de celui qu’on observe dans des vaccins traditionnels, on voit à quel point il semble y avoir une intelligence derrière qui structure tout ça d’une manière qu’on ne peut absolument pas envisager, même une seconde, qu’elle relève du pur hasard, ça veut dire qu’il aura fallu beaucoup plus de temps pour arriver à créer des structures d’une telle complexité, et donc forcément on se dit : est-ce qu’il n’y avait pas une préparation qui était faite depuis longtemps, avant ou en anticipation de l’apparition du coronavirus ? Et personnellement, lorsque je vois des images comme ça, je suis bien évidemment enclin à le penser.
[Pierre Barnérias : Et partout dans le monde des labos, même constat, mêmes interrogations devant ces objets non identifiés et non déclarés par l’industrie pharmaceutique. Et pourtant c’est bien dans nos veines.]

Est-il trop tôt ou tard pour-il s’inquiéter ?

Structures artificielles carrées, s’alignant à la manière d’autoroutes géantes, se créant au fil du temps et s’agençant de manière intelligente, organismes vivants (ver, champignon) introduits dans les vaccins commercialisés (autrement dit, qui ne sont pas issus d’une altération ou d’une contamination environnementale), anomalies sanguines d’origine inconnue… ces découvertes inquiètent pour deux raisons : à quoi servent ces « objets non identifiés » et ces microorganismes, quelle est leur nature, et pourquoi ne figurent-ils pas dans la liste officielle des ingrédients jalousement gardée, au contraire, par les laboratoires ?

On se souvient notamment des efforts de Pfizer, soutenu dans cette démarche par le régulateur américain pour préserver la confidentialité des données issues des essais cliniques et du contenu des injections pendant 75 ans, soit le même délai que celui du secret-défense sous le sceau duquel Emmanuel Macron a fait placer l’ensemble des données relatives à la gestion du COVID.

Aucune agence sanitaire, aucun homme politique n’a réagi pour l’instant à la diffusion de ces images. Aucun laboratoire n’a répondu aux sollicitations de Jacques Bauer comme à celle des scientifiques qui demeurent profondément perplexes et dont les découvertes se multiplient pourtant de manière concordante dans le monde. Le Courrier des Stratèges a publié plusieurs articles mettant en lumière ces découvertes, notamment :

Le journal relaie également les déclarations du Pr Alphandery, auteur d’un article paru en février 2022 dans le Journal of Materials Chemistry B dans lequel il justifiait « l’utilité de nanomatériaux métalliques et d’oxyde de graphène dans les vaccins contre COVID », suggérant donc leur présence dans les injections actuellement administrées. Voici ce qu’il écrivait :

« Les vaccins proposés (sur le marché) contiennent plusieurs principes actifs vaccinaux différents (VAP), tels que le virus inactivé, l’antigène, l’ARNm et l’ADN, qui sont associés à des adjuvants standard ou à des nanomatériaux (NM) […] composés par exemple d’oxyde de graphène, de nanotubes de carbone, de micelles, d’exosomes, de vésicules membranaires, de polymères ou de NM (nanomatériaux) métalliques, en s’inspirant des nanovaccins anticancéreux, dont les adjuvants peuvent partager certaines de leurs propriétés avec celles des vaccins viraux. »

Alphandery É. Nano-dimensions/adjuvants in COVID-19 vaccines. Journal of Materials Chemistry B. 2022;10(10).

Est-ce la présence de ces nanomatériaux qui explique le volume stratosphérique d’effets indésirables graves recensés dans les bases mondiales de pharmacovigilance (voir notre dernier recensement ici) et l’explosion de la surmortalité dans tous les pays qui ont vacciné et pas dans ceux qui n’ont pas vacciné ?

Or de deux choses l’une : ou ces adjuvants innovants ont une finalité positive, sont sûrs et efficaces, et chaque personne vaccinée serait sans doute heureuse de savoir qu’ils lui ont été injectés en toute sécurité, soit ce n’est pas le cas et nous devrions rapidement voir s’abattre une pluie de plaintes sur les laboratoires, émanant de l’ensemble des autorités sanitaires et des Gouvernements puisqu’ils ont accepté d’endosser à la place des fabricants la responsabilité juridique intégrale en cas de dommages consécutifs aux injections.

L’autre solution à laquelle nous nous refusons de penser serait bien évidemment que ces nanomatériaux remplissent un objectif plus politique, tel qu’il est énoncé (dénoncé, diront les plus optimistes) aujourd’hui par le World Economic Forum (WEF) à la table duquel dînent la plupart des chefs d’État et des ministres, plus communément dénommés Young Leaaders : contrôler ce qui se passe sous la peau. C’est en substance ce que déclarait l’historien Yuval Noah Harari, auteur des best-sellers Homo deus et Sapiens et considéré aujourd’hui comme une sorte de gourou, adulé par Barack Obama, Mark Zuckerberg, Bill Gates ou encore Emmanuel Macron et accessoirement conseiller personnel du directeur du WEF, Klaus Schwab, le 20 mars 2022 dans le Financial Times :

« Une transition spectaculaire est en train de s’opérer vers une surveillance “sous-cutanée”. […] Les États ont aujourd’hui à leur disposition les outils les plus sophistiqués qui aient jamais existé pour surveiller les citoyens – “des capteurs omniprésents et des algorithmes superpuissants” – et portent leur intérêt non plus sur le lien sur lequel votre doigt vient de cliquer, mais veulent “désormais connaître de votre doigt sa température, ainsi que votre pression artérielle”. »

Y. Harari, cité par A. Laurent, « COVID-19 : Yuval Harari anticipe les dérapages de la crise et appelle à un sursaut »

Peut-on imaginer que le « progrès » s’accomplisse aujourd’hui à l’insu des peuples auquel il prétend être destiné, voire qu’ils en soient les cobayes ignorants ?

On se souvient des déclarations de Stefan Oelrich, le PDG du laboratoire Bayer, se félicitant lors du World Helath Summit 2021 de la performance des gouvernements d’avoir réussi à faire accepter des injections géniques à l’ensemble de la population mondiale :

« Si nous avions demandé aux gens s’ils voulaient se faire injecter dans le corps un produit de thérapie génique ou cellulaire, nous aurions obtenu 99,5 % de refus. »

Stefan Oelrich, World Helath Summit 2021 (8’45“)

Sans doute aurait-il d’ailleurs eu le même taux d’échec à déclarer si les personnes vaccinées avaient conscience qu’aucun essai clinique n’est à ce jour terminé, contrairement à ce qu’affirmait encore le 26 mars 2022, soit quelques jours avant l’élection présidentielle, l’ancien ministre de la Santé, Olivier Véran, sur le plateau de l’émission On est en direct.

Ce qui est ennuyeux, c’est que si les actuelles injections de « vaccin génique », et plus spécifiquement les vaccins Pfizer-BioNTech (p. 23) et Moderna (p. 70) sont « considérés comme un produit de thérapie génique par la Food Drug Administration », on sait aujourd’hui qu’elles ne remplissent en aucun cas leur rôle présumé de « vaccin » dont Jacques Bauer rappelle à la fin de son interview pour Ligne Droite (15’ 30”) la définition classique et la modification qui lui a été apportée en 2021 :

« Il faut savoir que depuis plus d’un siècle, dans le passé, la définition du vaccin était “une substance pathogène atténuée, qui, inoculée à un individu, lui confère l’immunité contre une maladie”…, lui confère l’immunité contre une maladie… alors qu’actuellement, depuis septembre 2021 et tout à fait en sous-jacence, sans que personne n’ait vraiment pointé le doigt dessus, on voit “substance d’origine microbienne ou de synthèse, de microorganismes vivants, atténués ou tués, substance soluble, toxine atténuée, ARN messager – et hop !, on l’a glissé dedans – qui administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égad de l’infection déterminée par les microorganismes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections”. Or, force est de constater, et c’est pas de nouveau de la polémique mais simplement de l’observation que vous avez énormément, mais énormément de doubles ou de triples vaccinés qui attrapent le coronavirus et la maladie qui va avec. Donc on peut quand même, qu’on nous permette, si on est encore un tout petit en démocratie, de se poser la question de savoir comment une telle chose est possible puisque la définition même du vaccin, c’est de nous protéger du microorganisme qui nous attaque. »

Jacques Bauer, « Les inquiétantes découvertes de Jacques Bauer, pharmacien clinicien » (Ligne Droite, Radio courtoisie, 1er juin 2022)

Quelque chose d’inavouable se cache-t-il derrière le programme planétaire de vaccination ? Le Dr Michelle Perro, pédiatre, s’interroge aujourd’hui à voix haute, comme des millions de médecins :

« Il y a un programme plus important ici, car il est clair que ces vaccins sont dangereux pour les enfants. Il n’y a pas de doute. Les données sont irréfutables, et pourtant nous avons continué. Donc, nous avons affaire à d’autres agendas ici… Je pense que les parents doivent se lever et protéger leurs enfants, car cela ne va pas disparaître. Quoi que ce soit, ça monte en puissance. »

Dr Michelle Perro

C’est à chacun de décider de ce qu’il veut aujourd’hui faire de son corps, mais ce que l’on peut affirmer à la lueur des observations de Jacques Bauer et de nombreux scientifiques, c’est que le contenu des vaccins n’est pas conforme à ce que les laboratoires ont déclaré. Mais c’est probablement pour notre bien, nous ne sommes après tout que d’enfants inaptes à décider de ce qui est bon pour nous ou des animaux formant un vaste cheptel, comme le rappelait il y a quelques jours Emmanuel sans même mesurer la gravité de ce lapsus ni réaliser que la France entière sait que les injections n’ont de vaccin que le nom :

« Il faut vacciner tout ce qui peut être vacciné, parce qu’on évite les virus, on va continuer d’agir sur ce volet » a dit le prés. Macron. Il confirme bien que les Français sont des moutons. Et le mouton d’élevage finit toujours à l’abattoir. Le 04-06, CNews confirme la reprise pic.twitter.com/FNBLW3fx4r— Louis Canac (@louis_canac) June 4, 2022

Lien vers l’interview « Les inquiétantes découvertes de Jacques Bauer, pharmacien clinicien » (Ligne Droite, Radio courtoisie, 1er juin 2022) : https://www.youtube.com/watch?v=N1PvaQwl73w.

Lien vers l’extrait complet de l’intervention de Jacques Bauer dans le film Hold Out :

Source vidéo Odyssée : https://odysee.com/@Tyb:c/Jacques-Bauer:0

Le site lepointcritique.fr ne se fixe pour mission que d’informer le public. Il n’a donc en aucun cas vocation à se substituer ni à un avis ni à un diagnostic médical, encore moins à conseiller ses lecteurs sur l’usage ou le non-usage d’un médicament.

Source : https://lepointcritique.fr/2022/06/10/corps-etrangers-vivants-structures-artificielles-que-contiennent-les-vaccins-anti-covid/


Notes :

1 : Voir l’article sur l’émission de Ligne Droite (Radio Courtoisie) où Clémence Houdiakova reçoit le pharmacien clinicien suisse Jacques Bauer : https://la-verite-vous-rendra-libres.org/vaccin-les-inquietantes-decouvertes-de-jacques-bauer-pharmacien-clinicien/