
Covid, libre arbitre et conscience : le grand virage selon Philippe Guillemant
Publié par France Soir le 27 mars 2025
Dans un monde où l’information et les dirigeants semblent souvent privilégier le contrôle et la peur, entendre une voix comme celle de Philippe Guillemant, ingénieur physicien et chercheur au CNRS, apporte une bouffée d’espoir. Lors de la conférence « Quel nouveau futur pour l’humanité », organisée par le Cera le 20 novembre 2024, il a livré une analyse audacieuse de la crise COVID, mêlant science et vision d’avenir. Loin des discours alarmistes, il voit dans cette période un tournant décisif, porté par une physique au seuil de la conscience et un éveil collectif. « On ne peut pas revenir en arrière sur cet éveil de l’humanité, à la véritable nature humaine, et surtout depuis qu’ont eu lieu les années COVID, où on s’est aperçu qu’il y avait eu un attentat au libre arbitre », a-t-il affirmé.
Pour Guillemant, les années COVID ont marqué un réveil massif face à une atteinte profonde à notre liberté. « Tout le monde a compris qu’on a été victime d’un attentat au libre arbitre, d’un attentat à notre véritable nature, d’un attentat à l’âme », a-t-il lancé, soulignant une prise de conscience qu’il juge irréversible. Loin de s’en tenir à une critique, il propose une lecture optimiste des absurdités et échecs vécus lors de cette crise et qui perdurent encore aujourd’hui à travers la guerre et la crise économique. Comme il l’écrit dans son livre Le Grand Virage, nous avons basculé vers un « futur lumineux » qu’il oppose à un projet transhumaniste. Pour Guillemant, le Covid n’était pas une simple crise sanitaire, mais un catalyseur révélant deux futurs possibles : Un « futur » transhumaniste c’est à dire une dystopie marquée par une société de contrôle numérique, une croissance énergivore et la perte de libertés, où l’humain est réduit à une « machine biologique », ou un « futur lumineux » : un avenir positif basé sur un éveil collectif de la conscience, une solidarité retrouvée et une reconnexion à la « véritable nature de l’humain ».
Philippe Guillemant ingénieur physicien & chercheur au CNRS, au sujet de la crise #covid « On a été victimes d’un attentat au libre arbitre, d’un attentat à notre véritable nature »👏 Excellente conférence intitulée « Quel nouveau futur pour l’humanité » 📽Certa 20/11/2024 pic.twitter.com/b3pZUbP1o2
— LE GÉNÉRAL 💎 (@LE_GENERAL_FR) March 20, 2025
Et face à une mondialisation qu’il qualifie de « fausse » et qui s’effrite depuis 2020, Guillemant voit un signe d’espoir. « On ne peut pas unifier les peuples sur la base de croyances erronées, ça ne peut pas fonctionner. C’est ça qui fait que je suis très optimiste », explique-t-il, ravi par l’échec des plans d’uniformisation de nos gouvernements qu’il qualifie d’élites matérialistes qui ne réfléchissent pas. Il évoque une lutte entre l’ancien et le nouveau futur, marquée par ce qu’il appelle « la loi de l’emmerdement maximum de tout ce qui cherche à nous ramener vers le transhumanisme », une formule percutante pour décrire les obstacles à ce retour en arrière. Cette transition, prévient-il, ne sera pas sans heurts : « Un abîme, ça se traverse en descendant et en remontant. En descendant, on va avoir affaire à des tas de révélations absolument effroyables et en remontant, à des tas de révélations absolument extraordinaires », prédit-il avec une assurance pleine d’enthousiasme.
À l’heure où les discours officiels instillent souvent l’angoisse, l’intervention de Guillemant détonne par sa foi en un renouveau. Contre vents et marées, cet esprit brillant invite à voir dans les crises actuelles une chance de retrouver notre essence, loin des dérives d’un monde sous contrôle. Un message qui, dans le climat actuel, résonne comme une promesse bienvenue.

