
Elles ont rejoint Vérity France : nouveaux témoignages de victimes du vaccin Covid
Sandrine, 48 ans, paralysie du visage, douleurs et hyperacousie

J’ai 48 ans et ma vie a basculé le 05/01/2022, suite à ma dose de rappel avec moderna, dans le cadre de la vaccination obligatoire, étant infirmière dans les Pyrénées Atlantiques. Je croyais être tranquille pour ma vaccination, ayant eu 1 infection à la covid en service et ayant reçu 1 dose de vaccin avant l’obligation vaccinale. Mais, un nouveau décret instaure une dose de rappel obligatoire au schéma vaccinal. Je me rends donc, contrainte et forcée, dans un centre de vaccination pour recevoir cette fameuse injection. Peu de temps après, j’ai des céphalées accompagnées de vomissements, qui se sont majorées le lendemain. 48h après cette vaccination, en plus des céphalées, une vive douleur dans l’oreille s’installe, irradiant derrière l’œil, avec des sensations bizarres. Je pars quand même travailler (poste de nuit) et ça était très compliqué tellement j’avais mal. En rentrant le matin, je n’ai réussi à dormir que 3 petites heures, réveillée par la douleur, et je m’aperçois que j’ai le côté gauche du visage paralysé. Paniquée, je me rends aux urgences où l’urgentiste m’annonce que j’ai une paralysie faciale périphérique idiopathique probablement due au vaccin, à confirmer avec les différents examens à réaliser les jours suivants. Les examens ne retrouveront rien d’anormal, sauf une sérologie positive montrant une réactivation du virus zona, sans syndrome inflammatoire biologique, et n’ayant jamais eu de vésicule, improbable pour certains médecins. Le diagnostic est donc confirmé : »paralysie faciale périphérique a frigore » post vaccination, que je déclare à la pharmacovigilance.
Et là, mon parcours du combattant commence tant dans ma prise en charge médicale que dans ma prise en charge administrative. Je sentais certains médecins frileux sur le sujet du vaccin. Même le médecin vaccinateur refusait de faire la déclaration à la pharmacovigilance. Après avoir lourdement insisté, elle a fini par le faire mais mal, ayant inscrit : « guérison avec séquelles « , alors que je venais de récidiver et étais de nouveau en arrêt de travail. J’ai été envoyée comme une « patate chaude » d’un médecin à un autre, d’un spécialiste à un autre, surtout ayant récidivé à 2 reprises, avec parfois plus de 3 mois d’attente entre les rendez-vous. Mais pendant ce temps là, je souffre, je ne comprends pas ce qu’il m’arrive. Ma tête me fait trop mal, le bruit m’est insupportable. Je dois scotcher mon œil la nuit car il ne se ferme plus, je bave quand je mange, j’ai du mal à parler… Pendant ce temps là, les médias continuent à nous marteler en boucle les bienfaits de cette vaccination, clivant la population et rendant les soignants non vaccinés irresponsables. Ces mêmes soignants qui ont été applaudis le soir à 20h après avoir été envoyés au front avec comme seules protections des sacs poubelles et des masques périmés ! Pendant ce temps là, l’État continue de nier et refuse l’existence d’effets indésirables graves de ces vaccins et pourtant qui ne cessent d’augmenter. Mais à force de taire cette réalité, de sanctionner les médecins qui osent en parler, rien n’a été prévu pour faciliter la prise en charge des milliers de victimes que nous sommes, en mettant en place un parcours de soins, comme pour le covid long, évitant ainsi ces longs mois d’attente entre les rendez-vous. Il a fallu 6 mois, après avoir consulté dans un CHU à 150km de chez moi, pour avoir le bon diagnostic : »paralysie faciale périphérique zosterienne » (zona), sans vésicule, ce qui arrive très rarement, due à une réactivation du virus zona par le vaccin. Ce qui explique enfin mes douleurs et l’atteinte de l’oreille interne (le filtre contre les bruits ne fonctionne plus bien) avec mon hyperacousie douloureuse sequellaire. Quel temps perdu, où je me suis entendue dire : » Vous avez mal! Je ne comprends pas, ça ne correspond pas… Je ne peux rien faire de plus… De toute façon, on ne sait rien sur ces vaccins, mais estimez vous heureuse de ne pas avoir de tumeur cérébrale !!! ».
J’ai cumulé de nombreux arrêts de travail et me suis retrouvée en demi salaire. Je me suis battue, épaulée par mon ancienne cheffe, pour être reconnue et prise en charge en accident du travail. Je n’ai eu que des portes closes : pour la CPAM, ça ne donne pas droit à une prise en charge en accident du travail, ni en maladie professionnelle. La médecine du travail confirme en disant que je me suis faite vacciner dans un centre de vaccination, donc en dehors de sa responsabilité! La DRH me demande de prouver que je ne me serais pas faite vacciner de ma propre initiative ! Mon combat a payé 5 mois plus tard. J’ai obtenu une expertise médicale où l’expert reconnaît mon problème de santé consécutif à la vaccination, et après commission de réforme, je suis reconnue et prise en charge en accident du travail. Malheureusement, ça n’a pas duré. Mon employeur a mis fin à cette prise en charge suite à ma 2ème récidive, alors que j’avais repris le travail à mi-temps thérapeutique de nuit (pour me protéger du bruit), sans me prévenir, m’en étant rendue compte après avoir perçu un demi salaire, une fois de plus. Nouveau combat, nouvelle expertise, nouvelle commission et je suis de nouveau prise en charge en accident du travail.
En parallèle, j’avais déposé un dossier de demande d’indemnisation auprès de L’ONIAM en février 2022, dont je n’ai plus jamais eu de nouvelles, après avoir eu confirmation que ma paralysie faciale était causée par le vaccin. Mais, apparemment, ça ne suffit pas. J’ai demandé l’assistance d’un avocat, tellement les démarches sont fastidieuses, mais aussi pour demander une expertise judiciaire. Malheureusement, ma requête a été rejetée par le tribunal administratif dont je dépends. J’ai du faire appel de cette décision, m’étant aperçue du dossier que l’ONIAM a présenté. Ce dernier ayant bloqué mon dossier en refusant de le traiter en « vaccination obligatoire « , ayant reçu ma 1ère dose avant l’obligation vaccinale des soignants. Or, mon problème est survenu avec la dose de rappel qui a été décrétée ultérieurement. Ma demande d’expertise judiciaire a été rejetée en 1ère instance. J’ai obtenu gain de cause en appel et serai également expertisée prochainement.
Mon état de santé ne fait que s’aggraver, et je ne suis plus en capacité de travailler, alors que j’ai reçu cette dose de rappel sous la menace d’une suspension.
Aujourd’hui, même si j’arrive à fermer l’oeil, même si je mange proprement, je porte encore les stigmates sur mon visage. J’apprends à vivre avec cette moitié de visage qui reste figé, ne montrant plus aucune émotion. J’essaie de me reconstruire, même si je dois renoncer à beaucoup de choses que je faisais avant. J’ai du arrêter le travail de nuit, et j’avais repris récemment à mi-temps thérapeutique, une nouvelle fois, mais de jour, malheureusement, je n’ai pas tenu, une fois de plus. Je suis fatiguée. Fatiguée de mener ce combat, car c’est l’omerta. Fatiguée de devoir toujours me justifier, car oui avant ce vaccin, j’allais très bien. Et non, mon jugement n’est pas altéré comme peuvent le prétendre certaines personnes. Fatiguée de m’excuser quand je dois m’isoler tellement le bruit me fait mal. Fatiguée de m’interroger sur mon avenir professionnel, où la « mise au placard » me pend au bout du nez, n’ayant pas réussi à travailler plus d’un mois depuis cette injection, sans devoir m’arrêter. Mais moi, je n’avais rien demandé à personne. J’avais ma vie qui me convenait avec ma famille dont ma fille qui souffre de la situation, mes amis, mes loisirs et un travail qui me plaisait. J’ai du me faire vacciner pour conserver mon emploi, et aujourd’hui, je ne sais pas si je pourrais de nouveau exercer mon métier. Sauf que depuis, la paralysie se réinstalle régulièrement, laissant place à des spasmes de l’hemiface, mais touchant différentes zones n’appartenant pas au territoire du nerf facial. Et depuis presque 2 mois, je suis complètement aphone, m’isolant un peu plus chaque jour. Je suis suivie depuis le mois de septembre dans un CHU à 200km de chez moi où le spécialiste pense à une maladie auto immune, induite par le vaccin, qui s’attaquerait à mes nerfs. Diagnostic confirmé par un ORL rencontré récemment suite à mon extinction de voix. Je suis en cours de bilan.
Je sais que nous sommes des milliers de victimes et pourtant, je me sens si seule dans ce combat.
Source : https://www.verity-france.org/sandrine-tamain-rejoint-verity-france/
Liliane, 62 ans, problèmes cardiaques, grosse fatigue persistante

Je m’appelle Lily, 62 ans, retraitée de la Fonction Publique et je voulais témoigner des effets secondaires que j’ai subi suite à la 2ème injection contre le Covid. Tout a commencé le 28 juin 2021 à la 2ème injection du vaccin Pfizer. Dans la nuit qui a suivi j’ai eu des maux de tête, de la température, des courbatures, mais je ne me suis pas inquiétée car on m’avait prévenu. Les 10 jours suivants j’étais essoufflée au moindre effort et surtout très fatiguée. Je suis une personne active mais cette fatigue m’obligeait à me coucher plusieurs fois dans la journée. Début juillet sont arrivées les palpitations qui se manifestaient régulièrement et fréquemment jour et nuit et qui m’empêchaient même de dormir. C’est un peu comme si le cœur s’emballait, il bat plus vite et plus fort. Je précise qu’auparavant je n’ai jamais eu ce type de soucis. Inquiète, j’ai consulté mon médecin traitant qui m’a envoyé aux urgences en me disant qu’il avait plein de patients qui souffraient des mêmes symptômes suite au vaccin sans compter les cas de thromboses au niveau des yeux avec vue trouble et aussi des phlébites. Arrivée aux urgences je leur explique mon cas et j’ai droit à 2 heures d’électrocardiogramme. Je voyais bien sur l’écran que lors de palpitations le tracé changeait. Au bout des 2 heures un médecin arrive et me dit « vous pouvez rentrer chez vous vous n’avez rien » Je lui parle de mes palpitations bien visibles sur l’écran, elle me répond « que ce dérèglement n’était dû au vaccin et de consultez un cardiologue si ça m’ inquiète » Je retourne voir mon médecin traitant pour discuter des résultats. Il ouvre l’enveloppe devant moi qui contenait le compte rendu et un papier représentant environ 1 mn des 2 heures passées à subir l’électrocardiogramme avec bien sûr juste au moment où le cœur battait normalement, il secoue la tête et me dit « ils étaient sensés faire une échographie….. » Je retourne aux urgences pour récupérer mon dossier. « Mais Madame on ne donne pas un dossier médical comme ça sur simple demande votre médecin a eu les résultats voyez avec lui! » J’insiste pour m’entendre dire « de toute façon nous n’avons plus rien, tout a été détruit ». Ces palpitations ont duré près de 2 mois. Fin août je ressens un soir des douleurs thoraciques intenses avec du mal à respirer et des nausées. J’avais lu un jour qu’en cas d’infarctus il fallait tousser, ce que j’ai fais. J’étais seule dans mon appartement et j’ai eu très peur. J’ai pensé appeler les urgences mais je me suis ravisée pensant qu’ils allaient encore me dire que je n’ai rien. 2 soirs plus tard mêmes douleurs thoraciques. La semaine suivante elles ont repris mais moins fortes. J’ai consulté un cardiologue fin septembre qui m’a dit et écrit que mes symptômes étaient probablement liés à l’injection et que de nombreux patients étaient venus à son cabinet avec les mêmes douleurs. Il a dû fermer son cabinet car non vacciné et je me suis tournée vers un autre cardiologue afin de finaliser les examens prescrits. La pose d’un holter a révélé que j’avais un cœur qui battait plus vite que la normale, c’est la première fois que j’entends cela. Il m’a tout simplement dit « ça doit être génétique mais je vous conseille de retourner chez votre 1er cardiologue avec ce dossier ». Depuis j’ai encore quelques palpitations et il persiste une très grosse fatigue qui, lorsqu’elle arrive, m’oblige à me coucher sur le champ.
Source : https://www.verity-france.org/liliane-haerty-rejoint-verity-france/
Alexandra, 43 ans, fatigue intense, douleurs, acouphènes, tremblements, perte de mémoire, fibromyalgie

J’ai 43 ans, maman de 3 enfants, résidente en Gironde, 3ème dose, le 31/12/21 (3 doses de Pfizer).
Maman dynamique, en bonne santé, en forme pour faire face à la vie quotidienne familiale et professionnelle.
Je n’avais rien contre la vaccination, j’ai attendu vraiment le dernier moment, j’avoue l’avoir fait par obligation médicale pour le suivi en milieu hospitalier de mon enfant atteinte d’une pathologie cardiaque.
Le 15 mai 21, dose n°1, grosse fatigue, douleurs au bras mais ça passe. Le 26 juin 21, dose n°2, appréhension, comme la 1ère, grosse fatigue, bras très gonflé pendant 48h mais ça passe. Le 18 juillet 21, je me réveille, impossible de me lever, de me tenir debout, je vais très mal, je reste couchée, vertiges, nausées et un état de faiblesse énorme. Le généraliste conclut à une faible tension 9,1 et des vertiges périphériques paroxystiques, jamais eu avant. Depuis, ce problème revient sans cesse ! Le 31 décembre 21, dose n°3, j’appréhende encore mais j’ai une drôle d’intuition ! Je suis très fatiguée, mal au bras mais le réveillon de la Saint Sylvestre se passe bien.
Les jours, les semaines qui suivent se compliquent, deviennent difficiles, fatigue intense, douleurs dans tout le corps, acouphènes sévères, migraines fortes (jamais de maux de tête avant), motricité et faiblesse des mains, tremblements, troubles et pertes de mémoire…Je vais au travail mais difficilement, les journées sont compliquées et longues.
Cet état de santé diminué si rapidement, m’inquiète, je sens que mon corps a changé. Je consulte mon généraliste (10/01/22), il m’envoie vers un rhumatologue pour une suspicion de fibromyalgie, le diagnostic est posé le 4/02/22 avec un état de fibromyalgie sévère.
Aujourd’hui, mon état de santé est très affaibli, les douleurs sont quotidiennes et difficilement supportables, mes jambes, mes pieds me brûlent, au point de me déplacer avec une canne pour ne pas tomber.
Les acouphènes, les migraines, la fatigue importante…, les douleurs musculaires dans tout mon corps, les traitements médicamenteux, sont mon quotidien, j’ai même un pilulier pour éviter de me tromper dans mon traitement. J’enchaîne les examens chez les spécialistes, je suis suivi au Centre Anti Douleur
Je fais des soins (balnéothérapie, kiné, massage…) pour me soulager un peu, mais les symptômes persistent, jusqu’à une nouvelle crise sévère.
J’essaie de ne pas tomber dans un état dépressif et d’accepter ma diminution physique, mon handicap, sans activité professionnelle. Depuis début décembre, j’ai repris une petite activité professionnelle adaptée, un mi-temps, mais c’est parfois dur.
Mon mari, mes enfants m’aident au quotidien, les simples tâches ménagères sont dures et fatigantes.
J’ai fait un signalement Pharmacovigilance, enregistré mais sans réponse.
A ce jour, enfin, on commence à en parler, les personnes témoignent car effectivement, je ne suis pas toute seule !
J’ai décidé de partager ma vie après le vaccin.
Source : https://www.verity-france.org/alexandra-peronnet-rejoint-verity-france/
