Louis Fouché : « y a plein de gens qui ne VEULENT pas savoir, c’est un mécanisme de déni »

Il y a plein de gens, ils ne VEULENT PAS savoir. Ils ne veulent pas savoir, c’est un mécanisme de DÉNI. C’est un mécanisme de déni, parce que si tu veux savoir, et que tu grattes, tu te rends compte, qu’en fait, nos institutions sont corrompues, le marché du médicament est corrompu, la création du savoir – la fabrique du savoir – et les études scientifiques sont corrompues. Et la tu te dis, mais en fait, tout notre système sanitaire, tout notre système scientifique, tout notre système universitaire, est l’objet d’une corruption systémique qui est MAJEURE. Et par « corruption systémique », j’entends : les structures elles-mêmes sont faites pour que ce soit dirigé par des entreprises mafieuses.

Ça ne veut pas dire que les gens, individuellement, sont tous méchants, au contraire ; la plupart cherchent à bien faire, y compris à l’intérieur des institutions, à l’intérieur de l’ANSM, à l’intérieur de la Direction Générale de la Santé, etc. Moi, je ne parle pas des gens. Les gens, individuellement, il n’y en a que quelques uns qui sont des salopards corrompus. L’immense majorité sont plutôt des gens gentils et bien, qui cherchent le bien commun.

Là, tu as un raidissement, tu pourrais dire, si on revient au besoin fondamental, on a tous envie que cette épidémie soit derrière nous et que les gens soient bien soignés. Ça, ça serait le besoin de fond. Et là-dessus, on peut se mettre d’accord. Par contre, la stratégie pour y arriver, c’est là qu’on n’est pas d’accord. En fait, y a des gens, ils vont confondre le besoin et la stratégie. Ils vont se dire : de toutes manières, y a un lien indéfectible entre « on veut que cette épidémie passe et qu’on soit bien soignés » et « être tous vaccinés » . Parce qu’on a créé ce lien de manière hypnotique dans leur cerveau par le mécanisme des médias de masse et de l’ingénierie sociale.

C’est à dire, qu’on a mis en place, dans cette doxa, dans ce récit, dans cette fable, on a mis en place, en plus, des éléments de suggestion hypnotique, de manipulation collective, avec utilisation des ressorts de conformisme social comme dans les expériences de Milgram ou les expériences de Asch.

Et donc, les gens qui sont le plus sensibles à ça, c’est ceux qui ont le plus de diplômes. C’est eux les plus dociles. Pourquoi ? Parce que t’as passé 12 ans à faire des études, à faire partie d’une sorte de caste, dont les bénéfices secondaires et les avantages en nature, sont d’avoir une belle prestance sociale, un beau métier, d’avoir un bon salaire. Moi je gagnais entre 4 et 6 000 balles par mois, et encore j’étais dans le public. D’avoir la reconnaissance de tes pairs, de tes proches, de ta famille. Parfois, y a un gros background familial. Et pour ça, t’en a chié. T’as passé des épreuves initiatiques. T’as dû passer la première année, la sixième année, ensuite être le meilleur, tout le temps le meilleur. T’as fait de gros sacrifices et tout ça. Si d’un coup, si tu dis l’inverse de ce qui est dit par l’institution dont tu fais partie, tu te retrouves exclu. Ton cerveau, il va vite faire le choix : il va dire « je dis ce que je pense moi, ou je dis ce que pense l’institution ? » . Parce que je vais me retrouver exclu. Et c’est ce qui s’est passé. C’est à dire que la plupart des scientifiques, des médecins et des chercheurs qui ont dit ce qu’ils pensaient, « moi, j’ai un doute, je ne comprends pas bien » , ils se sont trouvés exclus, diffamés, calomniés. »

Dr Louis Fouché

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Source : nouveau-monde.ca – Autre source