Me Di Vizio : « la société a vendu son âme au diable, se faire vacciner pour avoir une vie sociale était la plus grande escroquerie intellectuelle de l’humanité »

Le 10/03/2022 – Lettre de Me Di Vizio aux adhérents de l’association « Je ne suis pas un danger »

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Mes chers amis,

Les jours se suivent et se ressemblent.

L’Ukraine est gentille, et la Russie est méchante, et gare à celui qui tenterait de mettre de la nuance, il risque la mort médiatique, la mort sociale, la mort peut être même tout court, si l’on en croit les menaces que nos compatriotes russes rapportent.

Le vivre ensemble, la France Black Blanc Beurre, le touche pas à mon pote, c’était le monde d’avant, dans le monde d’après. Il y a la France des vaccinés et des pro ukrainiens, il y a la France du médiatiquement correct et politiquement acceptable, il y a la France de la haine des siens et de l’exploitation de la misère des autres.

Car soyons bien clairs, et avec le ton qui me caractérise, je le dis haut et fort : l’Ukraine et la misère bien réelle des populations civiles n’est qu’un prétexte pour donner bonne conscience à une caste de bobos en proie à un sentiment étouffé de culpabilité devant leur silence coupable face à la situation des non vaccinés et avec elle des soignants suspendus.

Mais pas question de le reconnaitre, pas question de dire que toute la politique sanitaire depuis 2 ans n’était qu’au service d’un projet de contrôle des populations, pas question de reconnaitre que nous sommes face au plus grand scandale que les sociétés modernes aient connu, et que le vaccin est en train de provoquer des dégats terribles et terrifiants.

Pas question de reconnaître que pour un sandwich et un coca en terrasse, un navet au cinéma ou une soirée entre potes, la plus grande part de la société a vendu son âme au diable, et que se faire vacciner pour avoir une vie sociale était la plus grande escroquerie intellectuelle de l’humanité, acceptée avec une déconcertante facilité.

Le déni est ce qui aide nos concitoyens à vivre, à survivre, car si chacun se rendait compte de ce qu’il a laissé faire et de la société qu’il a contribué à bâtir, probablement qu’il en mourrait sur le champ, terrassé de honte, pétrifié de regret.

Alors, donner deux euros aux ukrainiens, arborer partout le drapeau de ce noble pays, regarder BFM à longueur de journée, et menacer ces salauds de russes, permet d’éviter de se trouver seul face à sa conscience.

Enfin un combat qui mobilise les artistes, enfin un combat que partout dans les théâtres on peut jouer : à quoi servirait l’art si ce n’était à se donner bonne conscience.

Hier, j’étais Charlie, aujourd’hui je suis ukrainien, mais c’est pour mieux dire qu’en réalité, sans personnalité, notre société ne fait que suivre la tendance, celle d’une minorité bruyante pour qui tout est communication, pour qui tout est opportunité !!

Pour ma part je n’étais pas Charlie, et je ne suis pas ukrainien, mais je suis soignant suspendu, je suis patient non vacciné discriminé, je suis adolescent traumatisé par deux ans de privation de liberté, je suis citoyen emmerdé ! Ce que je suis c’est d’abord un serviteur de la vérité, un serviteur de la liberté, l’un n’allant jamais sans l’autre.

L’ association évolue, et plusieurs initiatives ont été lancées qui, dans cette lettre, sont résumées

La dernière d’entre elles est l’évolution du Divizionnair, qui devient média pleinement associatif, accueillant notamment les transfuges de RT France.

La liberté n’est pas un vain mot, la vérité un vœu pieux et informer à l’heure de la censure est un défi. Cette chaine est la vôtre, et dans les jours qui viennent, vous allez être invités à en prendre totalement possession, en en bâtissant les programmes, en choisissant non seulement vos invités, mais aussi les émissions que vous voudriez voir.

Nous allons proposer à une partie du personnel suspendu de nous rejoindre dans cette aventure inédite de démocratie médiatique !

Aucun sujet tabou, aucun invité blacklisté, du moment que Vous le choisissez ! Aucun reportage interdit si vous nous le demandez.

Depuis deux ans j’ai été à votre service, depuis deux ans, j’ai porté haut et fort l’étendard de la liberté d’expression, m’inscrivant dans la lignée de géants comme Didier Raoult, ou encore Luc Montagnier en passant naturellement par Alexandra Henrion Caude et tant d’autres.

Aujourd’hui, il est plus que temps d’aller plus loin, d’aller plus vite, et de recréer un espace média d’envergure, ne nous contentant pas de peu, mais accrochant notre charrue aux étoiles de la liberté que personne ne pourra nous ravir.

En attendant, permettez-moi ici de conclure comme à chaque manifestation à laquelle j’ai eu l’honneur de participer,

“Espère dans le Seigneur, sois fort et prends courage”

Fabrice Di Vizio

­Source : lettre d’information aux adhérents de l’association « Je ne suis pas un danger » du 10 mars 2022

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