
Qu’y a-t-il dans les vaccins anti-Covid ? (Article papier en accès libre du magazine Nexus 144)
Publié par Nexus le 23 janvier 2024
Quels sont les composants officiellement présents dans les vaccins à ARN messager anti-Covid et comment agissent-ils dans l’organisme ? Quels sont aussi leurs ingrédients non officiels, mais soupçonnés et dénoncés par certains groupes de scientifiques qui les ont analysés ? Quant à la question de l’efficacité de ces vaccins, elle ne sera pas abordée, car elle mérite indépendamment un examen approfondi. Retrouvez ces questions et les réponses de notre journaliste Corinne Lalo dans notre article publié dans le Nexus n° 144 (janv.-févr. 2022) que nous vous proposons en accès libre !
Le gouvernement français a choisi d’appeler « vaccins » les injections expérimentales de matériel génétique synthétique censé lutter contre la Covid-19. Il a en l’occurrence choisi de s’aligner sur l’OMS (Organisation mondiale de la santé), la FDA (Food and Drug Administration) et l’EMA (Agence européenne des médicaments).
Vaccins classiques vs vaccins à ARNm
La grande nouveauté des vaccins expérimentaux Pfizer et Moderna, c’est qu’ils sont à ARN messager (ARNm), une technologie qui n’a jamais été utilisée dans l’immunisation classique sur une vaste échelle et sur une population en bonne santé. En quoi la nouveauté consiste-t-elle ? Dans les vaccins classiques, on injecte dans l’organisme des éléments étrangers appartenant, en tout ou partie, aux microbes à combattre. Ces éléments sont soit des virus inactivés (c’est-à-dire morts), soit des virus atténués, mais vivants, qui ont en général été cultivés dans des cellules de mammifères. Ces éléments extérieurs, ou antigènes, vont se comporter comme des toxines qui vont provoquer des réactions du système immunitaire de l’hôte.
Dans les vaccins à ARN, ce que l’on injecte, ce ne sont pas des virus, mais un code génétique de virus. Ce code génétique est modifié génétiquement et synthétisé de toutes pièces par des techniques de bio-ingénierie, à charge pour la cellule humaine, la cellule hôte, de fabriquer le virus choisi, ou une partie du virus (une protéine). C’est donc le corps qui fabrique lui-même une toxine étrangère contre laquelle il va devoir lutter. Il s’agit donc bien d’un OGM (organisme génétiquement modifié) injecté dans le corps, comme nous l’expliquerons plus loin.
Des nanoparticules dangereuses
Une autre différence majeure entre les deux techniques, la classique et l’ARN modifié, c’est qu’une fois injecté, le contenu de la seringue va, dans le premier cas, rester à l’extérieur des cellules humaines (en théorie, car il arrive que des adjuvants pénètrent dans les cellules, comme c’est le cas généralement avec l’aluminium). Ce sont des vaccins extracellulaires. En revanche, dans le deuxième cas, les vaccins à ARN modifié vont pénétrer dans les cellules. Ce sont des vaccins intracellulaires.
Dans des vaccins classiques, il arrive que le code génétique microbien soit génétiquement modifié, mais ce sont les toxines qui sont injectées directement, et elles restent à l’extérieur des cellules.
La dernière différence de taille entre les deux technologies, c’est justement… la taille des composants injectés. Dans le cas des vaccins à ARN modifié, les particules sont beaucoup plus petites, ce sont des nanoparticules qui auront la capacité d’entrer dans la cellule comme on le leur demande. Cette dimension infinitésimale est, par conséquent, source potentielle de risques et de danger.
👉 Lire l’article intégral de notre n° 144 en cliquant ici.
Source : https://www.nexus.fr/actualite/mag/composants-vaccins-anti-covid/


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