Vaccins

Covid : pourquoi la campagne de vaccination automnale patine 

NDLR : les médias Main Stream s’interrogent sur les raisons du non succès de la nouvelle campagne de vaccination de cet automne ! On aurait bien quelques petites suggestions de raisons possibles à leur soumettre ! Peut-être que la majorité des gens n’est allée se faire vacciner les premières fois que sous la contrainte sociale et/ou la peur ? Peut-être que la majorité des gens ne sont pas « pour » ces vaccins mais ont juste été terrorisés par la communication gouvernementale et médiatique ou ont simplement été incapables de résister au rouleau compresseur de la pression sociale, médiatique, politique ? Peut-être qu’ils ont initialement cru au bobard de « se vacciner pour protéger les autres » et qu’ils y sont allés en croyant le faire pour leurs proches (qui ont quand même attrapé le Covid) ? Peut-être qu’ils y sont allés parce que le gouvernement avait mis en place un odieux système de chantage à la vie sociale, communément appelé « pass sanitaire » ? Peut-être que maintenant que les médias sont focalisés sur la guerre en Ukraine et les pénuries de carburants / d’énergie / alimentaires (ne barrer aucune mention inutile), les gens se sentent moins forcés et peuvent prendre une décision plus éclairée sur leur santé ? Peut-être que justement cette pression vaccinale insupportable a ouvert les yeux à beaucoup de gens sur les mensonges des médias et leur véritable intention qui est de remplir les poches de Big Pharma ? Où peut-être encore que les gens ont eu des effets secondaires, après leur première, deuxième ou troisième dose ? Peut-être connaissent-ils dans leur entourage une ou des personnes décédées subitement peu après une injection ou ayant eu des effets secondaires post- vaccin ? Enfin, en ce qui concerne les soignants et autres professions soumises à cette injuste et odieuse obligation vaccinale, peut-être que bon nombre d’entre eux n’y sont allés que pour garder un toit et nourrir leur famille et qu’ils sont à présent soulagés d’enfin ne plus y être contraints ? Mais bizarrement, lorsque le harcèlement vaccinal s’estompe, les gens ne vont plus à la piqûre ! Est-ce si surprenant ? Excellente nouvelle en tous cas. L’heure de vérité n’a jamais été aussi proche ! Ci-dessous : deux articles du média Main Stream l’Express, et nos commentaires au milieu des articles.


Publié par L’Express, le 14 octobre 2022

Covid : pourquoi la campagne de vaccination automnale patine

Existerait-il comme un léger flottement onze jours après le lancement de la campagne automnale de vaccination ? Les derniers chiffres de Santé publique France (SPF) confirment la reprise de l’épidémie avec près de 390 919 nouveaux cas hebdomadaires confirmés (+22% par rapport à la semaine précédente), 5834 hospitalisations sur les sept derniers jours et surtout un facteur de reproduction (le fameux R effectif) toujours supérieur à 1 (1,19). « Nous sommes dans un contexte de circulation intense et assistons à une hausse des hospitalisations », insiste-t-on du côté de SPF. Et pourtant, les Français semblent renâcler à effectuer une deuxième dose de rappel : ils ne sont que 17 150 environ à l’avoir reçue ces sept derniers joursAvec de grandes disparités : « A priori, c’est dans les Ehpad que les choses avancent le plus vite parce que les patients se trouvent sur place, qu’ils n’ont plus de réticence et que les vaccins bivalents sont là », assure Pascal Champvert, président de l’AD-PA, l’association de directeurs de maisons de retraite et de structures d’aide à domicile. Mais globalement, les choses n’avancent pas très vite ailleurs« Disons que les débuts de cette nouvelle campagne sont poussifs et pas massifs », résume Pierre-Olivier Variot, le président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO).  


NDLR : ah ben oui, c’est sûr ! C’est pas bien difficile de forcer les pauvres petits vieux en Ehpad, plus ou moins dépendants, et toujours soumis à une pression vaccinale de fou, de s’injecter une cinquième dose !! Mais quel scandale ! Il est où le consentement éclairé ???


Les Français ont boudé les vaccins cet été

A cela une multitude de facteurs, le premier étant que l’on ne change pas du jour au lendemain une situation peu favorable : selon la Direction générale de la Santé (DGS), 41% seulement de la population éligible à une nouvelle dose l’a reçue. Ce qui signifie que sur ces six derniers mois une majorité de ceux qui le pouvaient a boudé les vaccins. La faute à une période estivale synonyme de vacances, au fait qu’il n’y a pas eu (heureusement) de nouvelle souche (ou d’un variant plus virulent), qu’il y a eu clairement moins de formes graves (grâce aux vaccins) et que depuis la rentrée, il était difficile de qualifier la reprise épidémique de « flambée ». Aujourd’hui, à la vue des derniers chiffres, le contexte est différent. 


NDLR : on notera la rhétorique habituelle des médias subventionnés à défendre leur vaccin coûte que coûte. « sur ces six derniers mois une majorité de ceux qui le pouvaient a boudé les vaccins » et « La faute à la période estivale synonyme de vacances » ?? Les vacances et la période estivale n’ont pas duré six mois, que je sache ! Et puis les personnes éligibles sont essentiellement des retraités, donc clairement moins impactés par les vacances. Et nous rappelons que la plus grosse vague de ruée vers la vaccination en France s’est effectuée au cours d’une période estivale, à l’été 2021, suite au discours de la honte du 12 juillet 2021 ! La seule différence entre l’été 2021 et l’été 2022 a été la pression politique et médiatique exercée sur les gens !


Autre facteur de flottement, l’autorité politique s’est montrée volontairement rassurante tout au long du mois de septembre, notamment par l’intermédiaire de François Braun, le ministre de la Santé et de la Prévention, qui tarde à qualifier la reprise de « huitième vague », contrairement au Pr Brigitte Autran, la présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires (Covars). De même, bien au-delà de ces discordances sonores, et depuis presque trois ans que dure cette épidémie de Sars-CoV-2, il existe une forme de lassitude de la part de la population. « Il y a beaucoup moins de formes graves, mais c’est précisément grâce aux vaccins et il se peut que certains Français n’aient pas conscience de l’urgence de ce rappel automnal », pointe Alain Fischer, professeur d’immunologie et ancien président du conseil d’orientation de la stratégie vaccinale.  


NDLR : c’est ça, oui. En d’autres termes : on a arrêté le harcèlement vaccinal. Et bizarrement, les gens ne sont plus allés à l’abattoir d’eux mêmes ! Pourtant, ce n’est pas faute pour les médias et les médecins de plateau télé d’y mettre du leur. Mais le gouvernement ne suit plus.


Au-delà du laxisme, nombre de nos concitoyens ne savent plus très bien où ils en sont du fameux « schéma vaccinal » : on parle, par exemple de deuxième dose de rappel qui correspond à une quatrième dose de vaccin… Et les conditions même de ceux qui sont éligibles à ce rappel automnal, édictée par la Haute autorité de Santé (HAS) le 19 septembre dernier ont épaissi le brouillard : sont concernés les plus de 80 ans, les plus de 60 ans ainsi que les adultes de moins de 60 ans à risque de formes graves de la maladie (ceux qui ont des comorbidités les exposants à des formes sévères), les femmes enceintes, les personnes immunodéprimées (quel que soit leur âge), les adolescents et enfants à haut risque (ceux qui souffrent de certaines pathologies). A ce groupe, s’ajoutent tous les gens qui tournent autour. On parle de stratégie de cocooning, c’est-à-dire les individus qui se trouvent à leur contact : les proches, mais aussi les professionnels soignants. « Ces critères changent tout le temps ce qui nécessite pour nous, pharmaciens, qui effectuons aujourd’hui l’essentiel des injections, une certaine capacité d’adaptation », explique Pierre-Olivier Variot. Surtout lorsque, une fois les nouvelles règles posées par la HAS, le ministre de la Santé assurait le 27 septembre que « bien entendu si vous souhaitez vous faire vacciner, vous pouvez vous faire vacciner » (sous-entendu : tout le monde peut aller se faire vacciner).  

Respecter les périodes entre deux injections

Si l’on s’en tient aux critères de la HAS, « cela représente 25 millions de Français dont 17 millions sont éligibles dès à présent. » a précisé le 5 octobre le ministère de la Santé lors d’un point presse. Mais à cette liste exhaustive, s’ajoutent aussi des contraintes de temps puisqu’il faut d’une part respecter une période minimale entre les injections (trois ou six mois) et d’autre part, prendre en compte d’éventuelles infections au Covid-19 dans ce même laps de temps – qui peu ou prou comptent pour une injection… Résultat, il arrive que des bons élèves de plus de 85 ans ayant déjà fait leur quatrième dose au printemps (par exemple mi-mai) se retrouvent aujourd’hui dans les conditions pour en effectuer une… cinquième. A l’inverse, si vous avez 65 ans et que vous avez fait votre quatrième dose au même moment, vous n’êtes pas éligible (six mois de délai) et encore moins donc, si entre le 15 mai et aujourd’hui vous avez été infecté… « Je crois qu’il est temps d’arrêter de parler de cas particuliers et de faire passer le message que les personnes fragiles quel que soit leur nombre de doses antérieures doivent faire aujourd’hui un rappel », tente de simplifier Alain Fischer. D’une certaine façon, il s’agit de remettre les compteurs à zéro et d’avoir un schéma vaccinal complet. 


NDLR : qualifier de « bons élèves » ceux qui en sont à leur cinquième dose … ou l’art de renverser les valeurs mis en pratique ….


Enfin, dernier point de confusion, entre la grande disponibilité des vaccins monovalents classiques et l’arrivée un peu tardive des vaccins bivalents « certaines personnes ont pu hésiter et se dire qu’il valait sans doute mieux attendre la dernière génération avant d’aller se faire vacciner, pense Pierre-Olivier Variot. Mais aujourd’hui les bivalents sont là et facilement accessibles« . D’ici la fin du mois, près de 8 à 12 millions de doses devraient arriver dans les officines. Ou inversement, il se pourrait que ces deux nouveaux vaccins, qui ciblent à la fois la souche originale et les variants Omicron (BA.4 et BA.5 pour le Pfizer BioNt-Tech ; BA.1 pour le Moderna), provoquent quelques réticences à se faire administrer une dose de rappel. « Les premiers retours montrent qu’ils sont bien tolérés et le contraire eût été surprenant puisqu’il s’agit de la même technologie à ARN messager mais adaptée au variant Omicron », précise Alain Fischer. 


NDLR : « Les premiers retours montrent qu’ils sont bien tolérés » . Euhh … Alain Fisher vient-il d’avouer que les premiers vaccinés ont servi de cobayes ???


« Il s’agit des mêmes publics visés et certains ont déjà reçu un message les avertissant que leur dose contre la grippe est disponible. Ce doit être pour eux, l’occasion de recevoir aussi celle de rappel Covid-19 « , espère Pierre-Olivier Variot. En tout cas, la HAS encourage de coupler les deux injections. « La réaction immunitaire pourrait même être plus grande et donc, les vaccinations plus efficaces », ajoute le pharmacien. De quoi passer un hiver tranquille ? 

Source : L’Express


Publié par L’Express, le 11 octobre 2022

Vaccins Covid : les pharmaciens et médecins face à une campagne de rappel qui « ne mobilise pas » 

Les nouveaux vaccins « bivalents » ne trouvent pas leur public. Alors que plus de 25 millions de Français sont appelés à faire leur quatrième dose de vaccin contre le Covid-19 depuis le lundi 3 octobre, pharmaciens et médecins ne voient pas d’engouement dans la nouvelle campagne de vaccination. « Cela commence très doucement », constate Pierre-Olivier Variot, président de l’Union des syndicats des pharmaciens d’officine. « Les gens ne se bousculent pas en pharmacie pour venir se faire vacciner« , fait savoir le pharmacien qui exerce en Côte-d’Or. 

Après plus d’une semaine de campagne, seulement 110 000 personnes ont reçu une quatrième dose des vaccins dits « bivalents », selon les chiffres du ministère de la Santé. Ces vaccins sont proposés aux personnes de plus de 60 ans, aux personnes immunodéprimées, aux femmes enceintes et professionnels de santé, et doivent protéger contre les variants Omicron, BA.4 et BA.5. La campagne n’est pas ouverte à toute la population mais le ministre de la Santé, François Braun, a indiqué que « bien entendu, si vous souhaitez vous faire vacciner, vous pourrez ».  

La deuxième dose de rappel (qui désigne une quatrième injection) était déjà ouverte aux personnes âgées et fragiles, 6,5 millions de personnes sont d’ailleurs déjà vaccinées. Cette fois, les autorités sanitaires ont voulu mettre l’accent sur l’efficacité de ces nouveaux vaccins face aux variants. 500 000 doses ont été livrées dès le début de la campagne et le stock doit monter jusqu’à 12 millions de doses à la fin du mois. Par ailleurs, 36,8 % des plus de 75 ans ont reçu les deux doses de rappel, 30,83 % des 65-74 ans, selon Covid Tracker.  

« Ce n’est pas le raz-de-marée »

Si les pharmacies ont reçu les premières doses du vaccin Moderna, le 3 octobre, elles ont dû attendre trois jours supplémentaires pour celui proposé par Pfizer. Certes, « mais ce n’est pas le raz-de-marée », constate Luc Duquesnel, président des médecins généralistes au sein de la Confédération des syndicats médicaux de France. « Les patients que l’on voit au quotidien pour des traitements, on essaie le plus possible de les inciter à se faire vacciner. Mais pour le reste, cela ne mobilise pas » , fustige le praticien généraliste.  


NDLR : « Les patients que l’on voit au quotidien pour des traitements, on essaie le plus possible de les inciter à se faire vacciner » : ils avouent continuer à harceler les gens, qui plus est ceux en situation de fragilité, puisqu’ils ont des traitements médicaux récurrents et sont donc plus dépendants de la parole médicale ! Cela s’apparente quand même drôlement à de l’abus de faiblesse !


« On risque d’avoir des chiffres bien inférieurs aux précédentes campagnes », prédit le médecin. « Rien à voir, par exemple, avec la campagne de mars dernier ou lors de l’instauration du passe sanitaire » , abonde Pierre-Olivier Variot. Mais le pharmacien veut rester optimiste. « On va faire quatre flacons cette semaine », précise-t-il, l’équivalent d’une vingtaine de doses de vaccin.  


NDLR : ben voilà, le mot est lâché : « pass sanitaire » !! Sans ce chantage odieux, les gens ne se précipitent plus sur l’injection génique expérimentale ? Quelle surprise !


Pourquoi ces nouveaux vaccins ne séduisent pas ? Selon les deux professionnels de santé, les raisons sont multiples. « Le Covid n’est plus une priorité affichée, souligne Luc Duquesnel. Les Français sont préoccupés par leur pouvoir d’achat et par l’essence. » Le pharmacien constate aussi dans son officine que « le Covid ne fait plus partie des sujets de discussions ».  

Un lien avec l’augmentation des contaminations

Le médecin en Mayenne assure aussi que la fermeture des centres de vaccination y est pour quelque chose. « Il n’y a plus de mobilisation de l’ensemble des acteurs », regrette-t-il. Les personnes souhaitant se faire vacciner doivent ainsi se rendre soit en pharmacie, soit chez leur médecin traitant, la plupart des centres n’ayant pas rouvert leurs portes pour cette campagne. 

Mais ce manque d’engouement pourrait être aussi lié à la hausse des contaminations. « Si les gens sont malades, ils doivent attendre trois mois pour recevoir leur deuxième dose de rappel », explique ainsi Pierre-Olivier Variot. Lundi, Santé publique France a dénombré 9 373 nouveaux cas de Covid, soit une augmentation de 7,9 % des cas par rapport à la semaine précédente. Et les taux d’incidence chez les plus de 80 ans atteignent plus de 500 pour 100 000 habitants. « Les personnes qui doivent se faire vacciner attrapent le virus, donc c’est logique que nous ne les ayons pas dans nos pharmacies », indique-t-il.  

Autre souci, selon lui, la campagne de vaccination contre la grippe ne démarre que la semaine prochaine, le 18 octobre. « Beaucoup de gens attendent de faire les deux injections en même temps », observe-t-il. Il espère ainsi que cette nouvelle campagne pourra inciter les plus réfractaires à venir se faire injecter les deux vaccins. 

Source : L’Express