Politique,  Vaccins

« Elections et Liberté Vaccinale » par Jean-Pierre Eudier, président de la LNPLV

Par Jean-Pierre Eudier, président de la LNPLV

Je n’aurais pas dû être surpris que l’on nous demande à plusieurs reprises la position de la Ligue sur l’élection présidentielle française.
En effet, la liberté vaccinale est politique par nature.
Il en est de même du cadre des enjeux plus larges où s’inscrit notre combat : ceux contre la corruption, les mensonges et les méthodes trop souvent maffieuses.
Du coup, la question d’une prise de position sur cette élection est légitime.
Voici les critères qui nous semblent les plus opportuns :

– Premier point : un candidat contre le passe sanitaire, vaccinal ou autre sésame liberticide.

Déjà, sur le fond, cet « instrument » est immonde en termes d’éthique. Ces passes donnent le droit au gouvernement d’exclure des citoyens sur des critères médicaux, subjectifs et non fiables, ce qui rappelle bien tristement les théories eugénistes qui ont engendré les ségrégations basées sur les critères raciaux, culturels ou religieux.

Ces passes reposent sur du vent : les tests PCR ne peuvent indiquer si une personne est réellementatteinte du COVID, les vaccins ne peuvent empêcher les contaminations, ni les transmissions, et le passe lui-même n’est, de fait, qu’une licence de contaminer.
Tout cela est une GIGANTESQUE hypocrisie.
Un candidat qui feindrait de croire à l’utilité de ce dispositif serait au-delà de la mauvaise foi.
Les autorités sanitaires et gouvernementales ont prouvé, par leurs errements, leur profonde
ineptie et leurs actes, qu’elles n’étaient pas dignes de prendre ce genre de décision.
Et puis, tout simplement, ce type de dispositif signe l’arrêt de mort, à terme, de toute liberté.
D’autres critères seront ajoutés à la vaccination, sans doute médicaux et climatiques, peut-être
politiques ou idéologiques, ce qui permettra de contrôler la place de l’individu dans la société.
Outre le passe, nous alertons sur le dossier médical unique (traduire par : données disponibles à qui les veut, exit le secret médical) et sur tout passage à une monnaie uniquement numérique.

– Second point : la vaccination obligatoire.

Cette question, qui est la raison même de la Ligue, peut devenir cruciale dans le débat de
l’entre-deux tours. Nous voyons déjà les candidats prendre position sur ce sujet et la réintégration
des soignants suspendus. Encore faut-il que les promesses soient tenues.
Le sujet étant épineux, bon nombre d’aspirant-députés jongleront pour ne braquer ni les
hypocondriaques ni les défenseurs des libertés. Méfions-nous des voltes-faces à visée purement
électorale.

– Troisième point : la position du candidat sur la psychose covidiste.

Tout candidat qui approuve le fait de garder un masque sur le nez toute la journée pour motif
sanitaire serait à rejeter.
De très nombreuses publications scientifiques et données sur le terrain
(par exemple, la Floride) nous indiquent que cette mesure est inefficace, voire toxique pour le
porteur.
Un tel candidat est donc mal avisé et ne devrait pas prendre de décisions pour les autres.
Idem pour toute autre contrainte pseudo-sanitaire qu’on voudrait imposer à la population,
vaccination comprise.
Rappelons que cette dernière n’est qu’une expérimentation « médicale » à
échelle mondiale de produits passés en force, sans aucune garantie du fabricant, qui d’ailleurs n’a
pas fini les essais cliniques (l’ARNm et la protéine Spike posent problème, entre autres).

Tout candidat qui répond à une psychose de masse, voire l’entretient, avec des décisions
irréfléchies, foulant les règles de l’éthique et les valeurs de la Constitution, stigmatisant une partie
de la population (celle qui ne veut pas obéir aveuglément), devrait être écarté.


– Quatrième point : les liens avec les lobbies pharmaceutiques et financiers.

Nous avons déjà alerté à de nombreuses reprises sur les dérives des mondialistes et des
européistes forcenés qui suivent trop souvent les intérêts privés de grandes multinationales

(Schwab, Gates, Soros, Bildeberg, Bigtech, Bigpharma, etc.).
Leurs projets avancent à grands pas, mais souhaitons-nous le voir se concrétiser ?
Quelle France et quel avenir souhaitons pour nos enfants ?
C’est pourquoi nous conseillons de vérifier attentivement les liens idéologiques, financiers,
familiaux de chaque candidat. Œuvrent-ils pour l’intérêt des Français ou celui des multinationales ?
Enfin, ne nous laissons plus influencer par les étiquettes données par les médias qui sont loin d’être
neutres.


Récapitulons le bilan de ce quinquennat :

Nous avons un gouvernement tyrannique qui n’hésite à tirer sur son peuple (épisode des Gilets
Jaunes), qui force le consentement au mépris des lois et de la Constitution (obligations vaccinales
déguisées ou non).

Nous avons un état policier (« votre passe, s’il vous plaît », censure, presse unanime), en collusion avec les industriels et les cabinets de conseils budgetivores (Pfizer, McKinsey, médias…), opposé aux libertés (choix vaccinal, contrat social « à redéfinir », liberté de circuler, de s’informer…) au nom prétendu de la masse incarnée dans un chef providentiel, embrigadant les jeunes et groupe sociaux (théorie critique des races, séparatisme/partition, idéologie LGBT dans les écoles…) et justifiant la violence d’État menée contre les opposants, assimilés à des ennemis intérieurs (médecins, lanceurs d’alerte, non vaccinés, Gilets Jaunes…).


Je n’aurais jamais cru dire cela un jour dans le contexte d’un tel duel présidentiel…
Je ne sais pas évaluer la seconde option, mais je sais où nous mènerait de continuer avec le même.
On peut toujours faire pire, mais là, entre la certitude et le risque, il y a au moins une option qui
peut nous laisser une chance.
Il est vraisemblable qu’un parti contraint d’utiliser le Référendum d’Initiative Citoyenne pour
administrer le pays fera mécaniquement mieux pour nos libertés que notre gouvernement actuel.
Et pour les autres élections, étudions soigneusement les candidats et leurs programmes, dépassons
le faux clivage gauche-droite, résistons aux influences des médias dominants pour voter en
conscience pour choisir sur des bases soigneusement vérifiées.


Malgré la suspicion de fraude électorale et la tentation de l’abstention, rappelez-vous que voter
est important. Car le pourcentage de vote effectif allant à l’encontre des options globalistes est
un avertissement dont ils ont peur.

Pour poursuivre sur une idée de Martin Luther King, le mal ne gouverne que par l’inertie de la masse.

Alors retroussons nos manches et commençons par ne plus négliger une petite promenade au
bureau de vote le dimanche.

Solidairement vôtre,

Jean-Pierre Eudier
Président de la LNPLV
(Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations)
et de EFVV
(European Forum for Vaccine Vigilance)

Source : https://www.infovaccin.fr/categorie-actualite/categorie-annonces/55-editos/674-elections-et-liberte-vaccinale