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Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich –  Partie 1 du 27 mai 2022

NDLR : Voici l’interview récente faite par l’équipe de Reiner Fuellmich de l’archevêque Mgr Carlo Maria Viganò. Mgr Vigano est l’un des rares membres éminents de l’Eglise Catholique à s’être élevé contre la gestion de la pandémie. Il est sans doute aussi celui qui a été le plus audible, bien que d’autres – pas assez nombreux – se soient aussi élevés contre la dictature sanitaire et les injections géniques Covid (Mgr Schneider, le Cardinal Müller, Mgr Raymond Burke, le Cardinal Janis Pujats, Mgr Tomash Peta, Mgr Joseph E. Strickland, Mgr Jan Pawel Lenga, voir aussi la Déclaration de Bethléem du 15 décembre 2021 et l’appel pour l’Église et pour le monde aux fidèles catholiques et aux hommes de bonne volonté de mai 2020 dont on peut voir les premiers signataires ici).

Voir aussi la partie 2 de l’interview ici


Comité Corona : Votre Excellence, de nombreuses personnes vous connaissent et vous apprécient beaucoup pour avoir été un homme sincère dans un environnement souvent malhonnête, même pendant votre service au Vatican. Vous avez servi comme diplomate de haut niveau, en particulier comme nonce du Vatican aux États-Unis, représentant le pape auprès des Églises locales aux États-Unis.

C’est pour nous un grand honneur et une grande joie de pouvoir vous parler aujourd’hui. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet et de vous demander votre avis sur la situation politique mondiale, notamment en ce qui concerne la crise dite de Corona, veuillez nous parler un peu de votre histoire personnelle, afin que les spectateurs qui ne vous connaissent pas encore sachent qui vous êtes.

Mgr Viganò : Tout d’abord, je voudrais vous adresser mes salutations les plus cordiales, Monsieur l’Avocat Reiner Füllmich, ainsi qu’à tous vos collaborateurs et collègues, et vous rendre hommage pour avoir développé l’idée de la Commission Corona. Vos recherches sur la gestion de l’urgence Covid-19 et des essais de masse contribuent largement à rassembler des preuves afin de traduire les responsables en justice et de les punir. C’est une contribution importante en vue de la création d’une alliance antimondialiste, car les auteurs de la farce de la pandémie sont les mêmes personnes qui veulent aujourd’hui pousser le monde vers une guerre totale et une crise énergétique permanente.

En ce qui concerne ma « carrière », il n’y a pas grand-chose à dire : je suis un archevêque catholique qui a occupé différents postes à responsabilité au Vatican, aussi bien à la Secrétairerie d’État du Saint-Siège qu’au gouvernorat de l’État de la Cité du Vatican et en tant que nonce apostolique au Nigeria et enfin, par la volonté de Benoît XVI, aux États-Unis. Ma notoriété — totalement involontaire — résulte de ma position sur le scandale sexuel de l’ancien cardinal américain Theodore McCarrick et d’autres affaires, non moins graves, impliquant des membres haut placés de la hiérarchie. En tant que successeur des apôtres, je ne pouvais pas rester silencieux face aux tentatives de dissimulation de ces faits honteux par la soi-disant mafia de la lavande, qui bénéficie du soutien et de la protection de Bergoglio.

Comité Corona : vous avez un CV impressionnant — mais si l’on cherche votre nom dans les anciens médias (mainstream), on trouve des articles diffamatoires qui vous accusent, entre autres, de diffuser de la propagande du Kremlin et de faire des déclarations confuses. En y regardant de plus près, il nous semble que ce n’est pas du tout le cas, bien au contraire, vous restez plutôt fidèle à votre réputation d’homme sincère même dans un environnement peu sincère, même si cela vous porte préjudice personnellement. Où voyez-vous la « césure » ou la « rupture » dans votre parcours, où cette vertu a été transformée en tare par les anciens médias ? Quelle ligne rouge avez-vous franchie ; sur quel sujet votre franchise est-elle devenue un danger pour le récit public ?

Mgr Vigano : Les fausses accusations sont l’un des moyens utilisés par ceux qui veulent éliminer un adversaire qu’ils craignent et ne peuvent pas combattre loyalement. En l’occurrence, je suis considéré comme inconfortable tant par les représentants de l’Église profonde que par la cabale bergoglienne, dont je dénonce les scandales et les dissimulations depuis l’affaire McCarrick. Et je suis tout aussi inconfortable pour l’État profond, qui a pu compter sur la complicité du Saint-Siège ainsi que de la quasi-totalité de l’épiscopat mondial dans les événements de ces dernières années. La voix dissonante d’un évêque, en particulier lorsqu’il formule des plaintes fondées sur des faits irréfutables, risque de remettre en question le récit officiel, tant en ce qui concerne le prétendu renouveau de l’Église sous ce « pontificat » que la farce de la pandémie et la « vaccination » de masse. Même dans la récente crise entre la Russie et l’Ukraine, l’élite mondialiste, l’OTAN, l’État profond américain, l’Union européenne, le Forum économique mondial, toute la machinerie médiatique et le Vatican sont du même côté. L’intervention de Poutine en Ukraine est considérée comme une menace pour le Nouvel Ordre Mondial, qui doit être neutralisée, même au prix d’un conflit mondial.

Si je dois donc identifier un « point de rupture » sur le front ecclésial, il a définitivement coïncidé avec ma dénonciation du réseau de complicités et des scandales de clercs et de prélats corrompus que Bergoglio a délibérément et obstinément tenté d’étouffer. Sur le front civil, la ligne rouge me semble avoir été franchie avec mon Appel pour l’Église et le monde d’il y a deux ans [en mai 2020], dans lequel je dénonçais la menace que représentait le coup d’État silencieux mené à l’aide de l’état d’urgence sanitaire. L’urgence énergétique et l’urgence alimentaire font toujours partie, avec l’urgence guerrière, des « scénarios » inquiétants que le Forum économique mondial et les Nations unies ont décrits de manière très détaillée longtemps à l’avance. Lorsqu’un jour, pas si lointain, un tribunal jugera ces criminels et leurs complices dans les institutions de presque toutes les nations occidentales, ces documents constitueront la preuve de la préparation du plus grand coup d’État de tous les temps. Et la même chose se produira en ce qui concerne les affaires ecclésiastiques, montrant que la déviation doctrinale et morale qui a commencé avec le Concile Vatican II a créé les conditions nécessaires à la corruption doctrinale et morale du clergé et à la délégitimation simultanée de l’autorité des pasteurs. N’oublions pas que les processus révolutionnaires se sont toujours appuyés sur les vices et les faiblesses de leurs représentants, aussi bien pour détruire l’État que pour affaiblir l’Église.

Comité Corona : Votre Excellence, la crise Corona et Measures entre dans sa troisième année ; entre-temps, la conduite de la guerre à l’Est et surtout l’incitation massive à la guerre par la politique et les médias sont venues s’y ajouter. Comment jugez-vous cette évolution ?

Mgr Vigano : Clarifions un point fondamental : La crise ukrainienne a été sciemment provoquée par l’État profond afin de contraindre le monde à mettre en œuvre les réformes du Great Reset, notamment ce que l’on appelle la « transition technologique » et le « tournant vert ». C’est la deuxième étape du coup d’État technocratique mondialiste après la farce de la pandémie.

La psychopandémie était la première étape d’une véritable attaque visant à prendre le contrôle des gouvernements. En réalité, ils ne cherchent aujourd’hui qu’à contourner le pouvoir politique, qui n’était jusqu’à présent qu’un simple exécutant d’ordres. Sous prétexte de pandémie, ils ont mis en place des systèmes de contrôle détaillé de la population, y compris des systèmes de traçabilité des citoyens individuels inoculés avec le sérum génétique expérimental.

Pas plus tard que ces derniers jours, le PDG de Pfizer Albert Bourla a déclaré au Forum de Davos : « Imaginez une puce biologique contenue dans une pilule qui, lorsqu’elle est avalée, passe dans l’estomac et envoie un signal. […] Imaginez les applications, la possibilité de rendre les gens dociles. […] Ce qui se passe dans ce domaine est fascinant » (ici). Et Albert Bourla dit « ce qui se passe » parce qu’il parle de technologies existantes et non de projets imaginaires. L’existence du graphène et des nanocircuits auto-assemblés est désormais admise même par ceux qui, il y a un an encore, traitaient de « conspirationnistes » ceux qui tiraient la sonnette d’alarme. Les populations des pays qui ont adhéré à l’Agenda 2030 sont désormais pour la plupart « vaccinées », ou plutôt génétiquement modifiées, et leur système immunitaire est désormais affaibli de manière irréversible. Et peut-être — comme le dénoncent maintenant certains juristes — découvrira-t-on qu’on leur a injecté, en même temps que le sérum génétique, des puces capables de contrôler même les réactions des gens, d’influencer leur comportement et de les rendre dociles en cas de troubles, ou violents s’il est nécessaire d’avoir un prétexte pour des interventions militaires. Nous sommes bien au-delà d’un coup d’État global : il s’agit de la plus grande, de la plus retentissante, de la plus inédite attaque contre la personne humaine : contre la liberté de l’homme, sa conscience et sa volonté.

On imagine bien le risque qu’il y a à confier à l’OMS le contrôle souverain des systèmes de santé de différents pays en cas de pandémie, alors que ceux qui doivent décider des campagnes de vaccination et des traitements, des mesures d’endiguement et de confinement, sont tous financés par les grands groupes pharmaceutiques et par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui théorise sur la pandémie éternelle et le vaccin de rappel éternel. Même la résolution qui devait être votée à l’OMS — et qui a été empêchée, du moins pour le moment — allait dans le sens d’un contrôle total par la synarchie mondialiste. Il ne faut donc pas s’étonner si l’OMS, dans une tentative lamentable de dissimuler les effets secondaires du sérum génétique expérimental, tire maintenant la sonnette d’alarme au sujet de la prétendue variole du singe, dont la symptomatologie ressemble étrangement à certains des effets secondaires du « vaccin » à ARNm (ici). Tant l’OMS que l’Agence européenne des médicaments (financée à 75 % par BigPharma) ont montré qu’elles se trouvent dans un conflit d’intérêts évident et qu’elles sont totalement dépendantes de l’industrie pharmaceutique.

En ce qui concerne la crise russo-ukrainienne, ce qui aurait dû être une opération de paix visant à mettre fin à la persécution ethnique de la minorité russophone d’Ukraine par des extrémistes néonazis s’est délibérément et coupablement transformé en guerre. Les appels répétés du président Poutine à la communauté internationale pour qu’elle respecte le protocole de Minsk sont tombés dans l’oreille d’un sourd.

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il s’agissait d’une excellente opportunité.

Tout d’abord, c’était l’occasion de créer artificiellement une crise énergétique mondiale afin de forcer la transition vers des sources d’énergie alternatives, avec tout le business que cela implique. Sans crise, comment imposer l’augmentation des prix du gaz et de l’essence comme instrument pour contraindre les entreprises et les individus à la fameuse « transition écologique » que personne n’a jamais choisie et qui a été imposée par des bureaucrates, eux-mêmes asservis par les élites ?

Deuxièmement, pour détruire de manière contrôlée et impitoyable toutes les entreprises considérées comme inutiles ou nuisibles à l’économie globale des multinationales. Des millions d’entreprises artisanales, de petites entreprises qui font l’originalité des nations d’Europe et de l’Italie en particulier, ont été contraintes à la fermeture parce que, après les catastrophes provoquées par les bouclages et les règles de la psychopandémie, on a provoqué une hausse des prix du gaz et du pétrole, avec des spéculations criminelles du « marché » et sans que la Fédération de Russie n’obtienne un centime de plus. Tout cela a été provoqué par l’Union européenne, sur ordre de l’OTAN, à l’aide de sanctions qui se répercutent sur ceux qui les ont imposées. L’effondrement de l’économie traditionnelle n’est pas la conséquence malheureuse d’un conflit inattendu, mais l’action criminelle délibérée d’une mafia mondiale, en comparaison de laquelle la mafia traditionnelle apparaît comme un partenariat avantageux. L’avantage de cette opération subversive profite aux multinationales, qui peuvent racheter des entreprises et des biens immobiliers à des prix défiant toute concurrence, ainsi qu’aux sociétés financières, qui bénéficient de crédits accordés à des millions de nouveaux pauvres. Là encore, les objectifs idéologiques — et diaboliques — de l’élite se servent de la complicité de potentats économiques dont l’objectif est tout simplement de faire du profit. Avec la guerre, l’industrie de l’armement et la non moins florissante industrie des technologies de l’information et des mercenaires ont désormais la possibilité de conclure des affaires lucratives qui leur permettent de récompenser généreusement les politiciens qui ont voté pour la livraison d’armes et de soutien à l’Ukraine.

Troisièmement, la guerre en Ukraine devait notamment servir à étouffer le scandale Hunter Biden qui, avec la société Metabiota, a financé des laboratoires biologiques dans lesquels sont fabriquées des armes bactériologiques de destruction massive. Le siège de l’aciérie d’Azovstal était justement justifié par la nécessité de cacher aussi bien les membres des troupes étrangères de l’OTAN avec les néonazis d’Azov et de Pravij Sektor que les laboratoires biologiques interdits par les conventions internationales et dans lesquels des expériences devaient être menées sur la population locale.

Quatrièmement, parce que le récit de la pseudo pandémie, malgré la complicité des médias mainstream, n’a pas pu empêcher la vérité d’éclater au grand jour et de se répandre progressivement dans des cercles de plus en plus larges de l’opinion publique : la crise ukrainienne devait être une opération bien organisée visant à détourner l’attention des masses afin d’empêcher que les nouvelles de plus en plus incontrôlables sur les effets mortels du sérum expérimental et les conséquences catastrophiques des mesures prises par les nations pendant la pandémie d’urgence ne soient connues. La falsification des données est désormais évidente ; la dissimulation délibérée des résultats de la première phase de l’expérience est admise par les entreprises pharmaceutiques elles-mêmes ; l’inutilité des masques et du confinement est prouvée par plusieurs études ; les dommages causés à l’équilibre psychophysique de la population et en particulier aux enfants et aux personnes âgées sont incalculables, tout comme les dommages causés aux étudiants par l’enseignement à distance. Retenir les gens devant la télévision ou dans les médias sociaux avec de la propagande antirusse pour les empêcher de comprendre ce qui leur a été fait est le moins que puissent faire ces criminels fous, des criminels qui sont autant responsables de la pandémie que de la crise russo-ukrainienne.

Si nous examinons le scénario de ce drame planifié par l’élite mondialiste, nous constatons qu’en plus du scénario de la pandémie, il existe d’autres scènes planifiées qui ne sont pas moins inquiétantes et que nous pouvions déjà prévoir depuis l’année dernière dans les médias : la crise énergétique, qui n’est pas la conséquence regrettable d’une crise imprévisible en Ukraine, mais plutôt un moyen d’imposer d’une part l’« économie verte », justifiée par une urgence climatique inexistante, et d’autre part de détruire les économies nationales, en poussant les entreprises à la faillite au profit des multinationales, en créant du chômage et donc une main-d’œuvre sous-payée, en obligeant les nations à s’endetter parce qu’on les a dépossédées de leur souveraineté fiscale, ou en tout cas à s’endetter durablement à cause des prélèvements obligatoires.

L’urgence alimentaire est aussi dans le scénario de Klaus Schwab : elle a commencé pour certains produits aux États-Unis et en Europe, et plus généralement pour les céréales et les produits céréaliers dans de nombreux pays d’Afrique et d’Asie. Nous découvrons ensuite que Bill Gates est le plus grand propriétaire terrien des États-Unis lorsqu’il y a une pénurie de céréales et de produits agricoles ; et que Gates est le patron d’une start-up qui produit du « lait humain artificiel » lorsqu’il y a une pénurie de lait en poudre pour les bébés aux États-Unis. Et n’oublions pas que les multinationales de l’agroalimentaire parviennent à imposer l’utilisation de leurs semences stériles — qu’il faut racheter chaque année — et à interdire l’utilisation des semences traditionnelles, ce qui permettrait aux pays pauvres de ne pas être dépendants d’elles.

Celui qui a conçu la série de crises actuelles, dont les racines ont été posées au début des années 1990 avec la privatisation des entreprises publiques, a également veillé à ce que les personnes formées à cet effet par le Forum économique mondial siègent dans les gouvernements, les institutions et les agences internationales, à la tête des banques centrales et des grands actifs stratégiques, dans les médias et dans les principales religions du monde. Regardez les Premiers ministres des principaux pays européens, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande : ils ont tous été recrutés au sein du groupe des « Young Global Leaders for Tomorrow », et le fait qu’ils siègent aux plus hauts niveaux de direction de ces nations, de l’ONU et de la Banque mondiale devrait être plus que suffisant pour les traduire en justice pour subversion et trahison. Ceux qui ont juré d’appliquer les lois dans l’intérêt de leurs propres nations commettent un parjure au moment où ils doivent répondre de leurs propres actions non pas devant les citoyens de leurs nations, mais devant des technocrates sans visage que personne n’a élus.

Il est facile de rejeter tout cela comme une « théorie du complot », mais un tel rejet n’est plus tenable, pas plus que l’accusation de « complicité » à l’encontre de quiconque exprime sa perplexité face à la crise russo-ukrainienne et à sa gestion au niveau international.

Ceux qui ne veulent pas comprendre l’intrigue, parce qu’ils ont peur de ce qu’ils pourraient découvrir, s’obstinent à nier qu’il y ait un scénario et un metteur en scène, qu’il y ait des acteurs et des figurants, des décors et des costumes. Mais peut-on vraiment croire que les personnes les plus riches et les plus puissantes du monde ont accepté de lancer une telle attaque contre l’humanité pour réaliser leur rêve mondialiste délirant, en déployant une quantité énorme d’énergie et de ressources, sans avoir tout planifié au préalable dans les moindres détails et en laissant tout au hasard ? Si les personnes qui veulent acheter une maison ou créer une entreprise planifient tout avec soin, pourquoi s’agirait-il d’une « théorie du complot » lorsqu’elles réalisent que l’élite doit recourir au mensonge et à la tromperie pour obtenir des résultats inconcevables et criminels ?

Si vous me permettez une analogie, je dirais que notre attitude face aux faits actuels est comparable à quelqu’un qui doit assembler un puzzle composé de milliers de pièces sans avoir l’image finale devant lui. Ceux qui ont assemblé le « puzzle » mondialiste l’ont fait dans l’intention de rendre méconnaissable l’image finale de ce qu’ils veulent obtenir. Mais celui qui voit l’image complète, ou même une partie importante, commence à voir comment les pièces s’assemblent. Et celui qui a vu l’image finale sait aussi comment interpréter le silence et la connivence des fonctionnaires du gouvernement et même des partis d’opposition, comment expliquer la complicité des médecins et des ambulanciers dans les crimes commis dans les hôpitaux contre toutes les connaissances scientifiques, et la complicité des évêques et des prêtres qui sont allés jusqu’à refuser les sacrements aux personnes non vaccinées. Dès que de grandes pièces du puzzle seront visibles — et c’est ce qui se passe actuellement —, il sera beaucoup plus facile de mettre les autres pièces à leur place. Et alors, Klaus Schwab, George Soros, Bill Gates, les autres conspirateurs et ceux qui dirigent dans l’ombre cette conspiration mondiale criminelle seront en fuite pour ne pas être lynchés.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

27 mai 2022

Sources : nouveau-monde.ca et MPI


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