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La censure des géants d’Internet s’intensifie

Par CovidHub, le 23 août 2022

Facebook est allergique aux critiques du vaccin Covid. Robert Kennedy en a fait les frais. Covidhub aussi. Les victimes du « vaxx » doivent déguiser leur vocabulaire.

La censure sur internet se poursuit. La maison mère de Facebook et Instagram, Meta, a supprimé le 18 août de ces deux plateformes les comptes de l’influente organisation américaine Children’s Health Defense, dirigée par Robert Kennedy Jr, neveu de l’ancien président américain John Fitzgerald Kennedy assassiné en 1963 et fils de Robert Kennedy, candidat à la présidence également assassiné en 1968.

Les cas de censure et suppression de compte Facebook, Twitter, YouTube, PayPal et Cie se multiplient également en Europe. De son côté, Covidhub a vu son compte Facebook gelé en mars pendant un mois, après avoir publié un article sur l‘indemnisation de 12’000 victimes du vaccin Covid en Thaïlande. Et plus récemment, le même compte a été interrompu durant une semaine. C’est chaque fois lié à la divulgation d’informations sur les effets négatifs des injections. Mais sans explications claires.

Notre partenaire au sein de l’Association romande des médias libres, L’Impertinent, a subi la fermeture définitive de son compte PayPal (qui avait également gelé le compte de Covidhub début 2022). Avec un message laconique: «Après une étude récente de l’activité de votre compte, il a été démontré que vous êtes en violation du Règlement sur les utilisations autorisées de PayPal. »

Kennedy: « Ils font taire toute critique »

«Nous avons supprimé les comptes Instagram et Facebook en question pour violations répétées de nos politiques sur le Covid-19 », a déclaré le 18 août Aaron Simpson, un porte-parole du groupe américain Meta, en référence à la disparition sur les deux plateformes de l’organisation Children’s Health Defense.

Critique de la sécurité des vaccins contre le Covid-19, l’association à but non lucratif accuse pour sa part Meta de ne pas respecter son droit à la liberté d’expression, en s’alignant sur les autorités sanitaires américaines. Sur Twitter où son compte est toujours actif, l’organisation a dénoncé « une censure impitoyable ».

« Facebook agit ici comme un représentant de la croisade du gouvernement fédéral pour faire taire toute critique des politiques draconiennes du gouvernement », a déclaré le fondateur de l’organisation, Robert Kennedy Jr, dans un communiqué.

Selon Children’s Health Defense, l’interdiction pourrait être liée à une action qu’elle avait intentée en août 2020 à l’encontre de Meta, pour censure, devant la justice fédérale.

La chaîne YouTube de l’association avait été interdite en septembre 2021.

Pfizer finance une prestigieuse ONG de journalistes pour aider Facebook à contrôler les infos

Pfizer finance le Centre international des journalistes (ICFJ – une organisation autrefois appréciée pour son indépendance et son esprit critique) que Facebook va utiliser afin de vérifier l’information de sa plate-forme. D’ailleurs, on trouve également dans la liste des partenaires de l’ICFJ l’entreprise Johnson & Johnson, également productrice d’un vaccin anti-Covid.

Par ailleurs, le président de Reuters, une des plus grandes agences d’information britannique au monde, James C. Smith, est membre de son Conseil d’administration de Pfizer depuis 2014 !  Reuters n’a cessé depuis 2 ans et demi de confirmer que les injections d’ARN messager étaient sûres et très efficaces.

Témoignages recueillis par the Epoch Times

Nick a lancé un groupe public de soutien aux lésions vaccinales sur les réseaux sociaux un an après avoir reçu son seul et unique vaccin Pfizer contre le COVID-19. C’était en avril 2021 et il a commencé à souffrir de réactions neurologiques presque tout de suite après l’injection, y compris une paralysie temporaire.

« J’ai vu toute ma vie brisée par ce vaccin », raconte Nick, demandant que son nom de famille ne soit pas utilisé. « Il m’a fallu environ neuf mois pour trouver un médecin prêt à m’aider. Ils vous jettent sous le bus. Ils vous laissent pour mort.

Utiliser des codes pour ne pas être censuré

Nick a lancé le groupe de soutien dans l’espoir de trouver des réponses et de partager des solutions pratiques pour aider d’autres comme lui à faire face aux effets physiques durables associés aux injections anti-COVID.

La partie « absurde », dit-il, c’était la façon dont les membres doivent utiliser des codes pour éviter d’être signalés ou supprimés. Des mots comme « vaccin », « lésion » et « Pfizer » doivent être évités. «A la base, Facebook a mis en place des filtres, poursuit Nick. J’en suis au point où je suis certain que le gouvernement fédéral, Big Tech et Pfizer sont tous liés. C’est assez dégoûtant.

« Ils supprimeront votre compte et vous éjecteront. Donc tout le monde doit parler en code. Sinon Facebook signalera le post, le supprimera et supprimera le groupe. Vous n’êtes pas autorisé à demander de l’aide. Vous devez en parler avec des mots bizarres.

Comme un « chemin de fer souterrain »

« Ouais, c’est nul, ajoute Nick. C’est effectivement comme un chemin de fer souterrain. Absurde. »

Nick affirme avoir subi une censure similaire sur Reddit, où « une nuée de gens ayant le même problème » sont venus chercher de l’aide et des conseils : « C’était terrifiant, ce qui arrivait… une sorte de réaction vaccinale. Reddit m’a constamment supprimé juste pour avoir demandé de l’aide. »

Il a récemment reçu le message : « Votre compte a été définitivement suspendu de Reddit. »

Impossible de demander de l’aide

« C’est ce que vous obtenez lorsque vous demandez de l’aide. Tous les contacts ont été perdus avec les personnes que j’aidais », déplore Nick.

Catherine « Cat » Parker, autre victime du vaccin vivant dans le Minnesota, a lancé le Groupe de soutien sur les lésions/effets secondaires des vaccins (Vaccine Injury/Side Effects Support Group) sur Facebook début 2022 lorsqu’elle n’a pas pu trouver d’informations en ligne sur les dégâts causés par les injections.

« J’ai vu que beaucoup de gens avaient besoin d’un important soutien émotionnel et d’informations, raconte-t-elle. J’ai décidé de commencer moi-même à aider les gens à guérir.

Fini la liberté d’expression ?

Cat a dit qu’elle s’était lancée dans le projet en pensant que Facebook était une entreprise neutre de plate-forme technologique de l’information permettant d’exprimer différents points de vue et idées.

«Je dirais qu’un mois après environ, les choses ont disparu» de la page web du groupe de soutien, a -t-elle indiqué au journal Epoch Times.

« Ou alors vous receviez un message disant » désinformation « . Mais ça a vraiment mal tourné maintenant – on nous interdit et on nous suspend sans cesse, pour 28 jours la dernière fois. J’ai perdu mon compte maintenant. C’était mon compte normal. Il y avait aussi toutes mes photos dessus. »

Elle ajoute que lorsqu’elle fait une recherche Google sur son groupe de soutien, elle reçoit la mention « nous n’existons pas sur la liste de recherche ».

Au dernier recensement, son groupe comptait 1’200 membres, dont beaucoup de professionnels de la santé.

Une longue liste de symptômes

Cat Parker a précisé avoir reçu la dose Johnson & Johnson en avril 2021, sous la contrainte de son entreprise de construction. Elle a reçu son rappel Pfizer en novembre 2021 et souffre maintenant de problèmes de santé débilitants.

« Combien de temps avez-vous? » a-t-elle demandé lorsqu’on l’a priée de décrire ses symptômes, qui comprennent des « perturbations autonomes », des symptômes de type Parkinson et une insuffisance surrénalienne.

« Il y a tellement de choses – tremblements, saignements, caillots, déséquilibres, brouillard cérébral, migraines, perte de mémoire, bégaiement – c’est insensé », énumère Cat, qui est photographe indépendante. Elle a en plus été diagnostiquée malade du COVID-19 il y a environ un mois.

«Je ne suis plus jamais bien»

«Je ne me sens plus jamais bien… depuis le vaccin. J’avais l’habitude de vivre pleinement : voyager et passer du temps avec mes amis et ma famille. Je ne fais plus rien de ce genre parce que je ne me sens plus bien.

« Et vous ne pouvez trouver aucune information parce que nous sommes tellement censurés. »

L’administratrice du site de Cat Parker, Donna Zuk Adley, qui vit dans le Connecticut, a été exclue à plusieurs reprises pour avoir enfreint les normes communautaires de Facebook.

Elle est actuellement en « prison » pendant 28 jours supplémentaires pour avoir contesté une interdiction de six jours pour une publication antérieure.

‘No comment’

« Je ne suis pas autorisée à commenter les lésions causées par les vaccins », a-t-elle déclaré à Epoch Times.

« J’ai dit la vérité, ajoute-t-elle. Il me semble donc que dire la vérité viole la politique des normes communautaires de Facebook. Vous devez suivre le récit du vaccin alors que ce récit est un mensonge. Ils ne suivent pas la science en ce moment.

« On m’a mise en «prison Facebook» pendant 30 jours. Je dois créer un nouvel ID pour revenir en tant qu’administratrice du groupe. »

«Un viol médical»

Donna Adley pense qu’une double injection de Moderna lui a causé une série de lésions : vision floue, confusion, perte d’odorat et de goût, troubles de l’élocution, palpitations cardiaques, épuisement physique et changements de personnalité, pour n’en nommer que quelques-unes.

Elle a récemment été licenciée de son travail de professionnelle en maison de retraite alors qu’elle était en congé de maladie, car elle refusait de prendre une dose de rappel.

« J’ai eu des lésions au cerveau, aux poumons, au cœur et à l’estomac, et vous voulez que je fasse un rappel, et vous n’acceptez pas l’exemption médicale de mon médecin ?

« C’était un viol médical. Je n’ai pas donné mon consentement. Me mettre à la rue à 64 ans, ce n’est pas un choix. Personne ne peut me dire que ces droits de l’homme que Dieu nous a donnés peuvent nous être retirés par un homme.

A quoi sert notre Constitution ?

« Je suis en colère – en colère parce que c’est l’Amérique. Pourquoi avons-nous une Constitution si nous ne la respectons pas ? » s’insurge Donna Adley. « Mon corps, mon droit – quand est-ce que cela a été mis de côté? ».

Cat Parker prévoit de migrer de Facebook vers TrialSite News, une plate-forme de liberté d’expression basée dans l’Utah. Elle est actuellement en négociation.

Facebook n’a pas renvoyé d’e-mail demandant un commentaire.

Bloquée sur Twitter aussi

« Je vois Facebook fermer nos comptes, dit-elle. Je suis bloquée sur Twitter maintenant depuis six jours – pour «violence». Je crois avoir dit que le vaccin était ‘sans valeur comme les seins sur un sanglier’ (worthless as breasts on a boar). Je viens du Sud. Nous avons de belles expressions.»

Cat Parker affirme que son objectif est maintenant de permettre des conversations honnêtes et de poser des questions sur les vaccins et les lésions liés au COVID-19.

Les gens sont «en colère maintenant, conclut-elle. Nous sommes nombreux. Ce sera comme une guerre révolutionnaire.»

Source : https://www.covidhub.ch/la-censure-des-geants-dinternet/