PLandémie,  Psychologie,  Vaccins

L’avenir du Covid ? Vers la fin…

Par Alain Tortosa, le 13 février 2022

Le passe vaccinal va disparaître même s’il peut tenir encore un moment du fait des hôpitaux « normalement » saturés…

Grâce aux actuels et futurs variants du rhume 19, il sera aisé d’affirmer que les hôpitaux sont remplis de patients (positifs) Covid comme le font les autorités depuis des mois…

(C’est d’autant plus facile de le dire que les hôpitaux sont toujours saturés, car c’est le principe de gestion retenu, principe qui n’est pas forcément condamnable, mais que l’on doit assumer. Il serait logique d’appeler gaspillage de l’argent public, des hôpitaux pleins à 10 % qui emploieraient des personnels à ne rien faire.)
(Je vous rappelle qu’il n’existe pas de statistiques distinguant les patients malades du Covid et les patients positifs à un PCR et asymptomatiques.)

Bref, il sera facile de montrer qu’un pourcentage extraordinaire de patients en soins-critiques sont positifs au Covid.
Et comme nous avons la chance d’avoir environ 1800 décès par jour en France, il sera toujours aisé de déclarer journellement des centaines de personnes en fin de vie et positives au Covid « décédées du Covid ».

Donc sur le papier le scénario Covid peut fonctionner pendant des dizaines d’années…

Le problème est que même les plus croyants sont obligés de voir une certaine réalité :

  • Quasi tout le monde a contracté la dernière version du virus.
  • Les vaccinés ont, au moins autant sinon plus, contracté le « virus de la mort ».
  • Quasi personne n’a connaissance d’une personne relativement jeune et en bonne santé qui aurait été « terrassée par l’odieux virus »… En deux ans nous n’avons toujours pas enjambé de cadavres dans la rue.

Le seul bastion qui résiste encore et qui tient plus d’un mantra que d’une réalité scientifique est le fameux « le vaccin nous protège des formes graves ! »

Pardon, il existe un deuxième mensonge, et de taille, qui est « le vaccin est totalement inoffensif ».

Bon an, mal an, une partie du peuple accepte l’idée d’un « vaccin » efficace pendant trois mois, qui n’empêche pas de tomber malade ni de contaminer autrui…

Même Delfraissy, qui est en très bonne position au top 50 des menteurs, a reconnu publiquement que c’était une sorte de « médicament vaccin »…

Toute la question est donc de savoir combien de temps ces mensonges tiendront encore…

La croyance en l’innocuité des vaccins relève d’une volonté affichée de ne pas regarder les données officielles…
Cette croyance peut tenir tant que le « vacciné » ou son entourage ne souffre pas d’effets secondaires dont il peut ignorer le lien.

Nous connaissons (tous) des vaccinés qui ont souffert d’effets secondaires plus ou moins graves des injections, mais qui ne font pas le lien pour la simple raison que le reconnaître c’est reconnaître sa propre bêtise.

« Comment ai-je pu être assez stupide pour m’injecter quatre doses de cette merde ! »

C’est donc la réalité de l’inefficacité de l’injection associée à la réalité des effets secondaires qui font que des millions de Français n’ont pas (encore ?) fait leur troisième dose.

Le gouvernement est coincé dans une quadrature du cercle :

  • Convaincre que le vaccin n’est pas efficace et ne permettra pas de mettre fin à l’épidémie pour obliger de nouvelles doses et poursuivre les mesures dictatoriales.
  • Convaincre que le vaccin est efficace pour inciter les non-vaccinés.

Le mythe de la vaccination « efficace » ne tient que par les « formes » graves.

Le slogan pro-injection est uniquement :

« Le vaccin empêche de mourir ! »

Il devient de fait indispensable que les morts du Covid ne soient que des non-vaccinés !

Mais quand bien même les données ne sont que mensonges, les autorités sanitaires reconnaissent que la moitié ou la majorité des morts sont aussi des vaccinés.

La pirouette « c’est logique qu’il y ait plus de morts chez les vaccinés, car il y a plus de vaccinés que de non-vaccinés » est totalement ridicule et elle est pourtant gobée par des débiles qui ont totalement oublié qu’un vaccin est censé vous empêcher de mourir…

Les autorités sortent alors de leur chapeau :

« En fait les vaccinés décédés sont des immunodéprimés et il est normal que le vaccin soit inefficace pour cette population. »

Attention le mal de tête !

Nous devons donc nous vacciner pour « ne pas faire de formes graves, mais uniquement quand le vaccin est efficace pour nous. »

Je me permets donc la question idiote.

« Qui meurt du coronavirus ? »

« Les gens qui ont de bonnes défenses immunitaires ? »

Je ne le pense pas… et je crois que c’est plutôt l’inverse…

La version officielle serait donc qu’il est vital de se vacciner pour éviter de faire des formes graves que l’on ne fait pas naturellement quand on a de bonnes défenses immunitaires. Alors même qu’il est totalement inutile de se vacciner lorsque l’on a de mauvaises défenses immunitaires…
On a quand même réussi à inventer le « vaccin » qui n’empêche pas la contamination et qui ne protège pas ceux qui devraient être protégés et qu’il est donc « indispensable » de répandre.

Le « boost » pourrait, quant à lui, avoir des effets totalement délétères par la répétition d’une attaque sur des défenses affaiblies…

Le citoyen à qui l’on avait promis la liberté grâce à la vaccination constate que l’épidémie est bien présente alors que 90 % de la population est officiellement vaccinée. Il est bien obligé de douter de l’efficacité de ce produit quand bien même l’ennemi désigné devient le « non-vacciné ».

Le fait qu’il soit obligé de faire un rappel tous les trois mois devrait le conduire à penser que c’est un traitement préventif, non curatif et certainement pas un vaccin qui, rappelons-le, est toujours en phase expérimentale.

Produit qui n’empêche donc pas de mourir si on doit mourir du fait de ses défenses immunitaires défaillantes… (abîmées par les confinements, les distanciations, le port du masque…)

Pour poursuivre ses doses, il faut vraiment avoir envie d’aller au restaurant ni discuter avec personne et se contenter d’écouter BFM.

L’ensemble de ces éléments fait que la vaccination est condamnée à plus ou moins long terme…

Même les mainstream commencent à dire quelques vérités et les citoyens en ont marre…

Planifions un relâchement pour les élections afin d’obtenir quelques voix supplémentaires, et ce avec quelques mois de trêve…

Cette « libération » permettra de perdre 90 % des résistants qui seront heureux d’aller au restaurant ou au camping et qui auront la naïveté de croire que « la liberté est de retour »…

Tout en sachant que le dernier bastion à tomber sera le masque à l’intérieur, seul et unique outil permettant de rendre visible la menace fantôme et de faire d’autrui un danger potentiellement mortel…

Mais la loi permettant d’avoir recours au passe de la honte se terminant en juillet, il ne serait pas illogique qu’un « nouveau variant beaucoup plus contagieux et à la dangerosité inconnue » se présente un peu avant la date butoir.

De fait il n’est pas non plus illogique de penser qu’une nouvelle « vague » pourrait être programmée en juin…

Ce serait sans doute la vague « test », celle qui permettrait de déterminer si le peuple est encore prêt à gober cette plandémie que le réseau Sentinelles n’a toujours pas vue…

En revanche si le peuple ne gobe plus alors la dictature devra très très vite enchaîner sur le « changement climatique » et mettre en place des lois liberticides pour poursuivre et accélérer la marche vers notre asservissement.

Merci.

Alain Tortosa

Source : https://nouveau-monde.ca/lavenir-du-covid-vers-la-fin/