Discours de Biden à Philadelphie contre Trump : le style d’un dictateur, le visuel d’un dictateur, les mots d’un dictateur ! [Édit du 4/09]
NDLR : Joe Biden vient de prononcer, hier jeudi 1er septembre 2022, un discours à Philadelphie (dans l’état américain de Pennsylvanie) dans un style vraiment particulier … Outre le contenu, particulièrement virulent à l’encontre de son prédécesseur et concurrent aux présidentielles 2024, la scène choque par le style et le visuel assumés : éclairage rouge sang, marines en uniforme de chaque côté, ton ferme et agressif à l’opposé des hésitations bégayantes auxquelles le vieux Joe sénile nous avait habitués. On est en pleine scène de film !
NDLR : Le décor, la mise en scène, le discours, tout semble sortir d’un film de Star Wars ! Bravo au réalisateur !! Vous regardez un film !! Notre point de vue est d’ailleurs partagé par le brillant entrepreneur, économiste et écrivain Stanislas Berton, qui s’est exprimé ce 2 septembre 2022, sur Twitter :
Pour ceux qui n’auraient pas encore compris que la « présidence » Biden est, depuis le début, une mise en scène pour réveiller l’opinion publique américaine et une couverture pour le démantèlement de l’État profond aux Etats-Unis. « Le monde est un théâtre. »
Stanislas Berton, analyste économique, le 2 septembre 2022 – Source
Article de 20 minutes, le 2 septembre 2022 :
Avec une virulence rare, Biden dénonce l’« extrémisme » de Trump et de ses supporteurs
Un éclairage rouge sang, des marines en uniforme et l’un des discours les plus sombres de sa présidence. Joe Biden, dans une rare attaque directe de son prédécesseur républicain, a dénoncé jeudi l’ « extrémisme » de Donald Trump et de ses partisans, leur reprochant d’ébranler les « fondations mêmes » de la démocratie américaine, dans la ville qui en fut le berceau.
A Philadelphie (est), il a clamé : « Donald Trump et les »républicains MAGA » représentent un extrémisme qui menace les fondations mêmes de notre République ». L’ancien président, et ceux qui souscrivent à son idéologie « Make America Great Again », « ne respectent pas la Constitution. Ils ne croient pas à l’Etat de droit. Ils ne reconnaissent pas la volonté du peuple » a martelé le président démocrate, dans un discours que la Maison Blanche avait promis « majeur ».
Duel face à Donald Trump en vue en 2024
Le démocrate, qui avait tenu à Philadelphie son premier meeting de candidat à la présidentielle, sait aussi que l’Etat où la ville se trouve, la Pennsylvanie, détient peut-être la clé des élections législatives de novembre. Et donc de la suite de son mandat.
Tout le discours du chef de file des démocrates a montré sa volonté de dramatiser ce scrutin, traditionnellement défavorable au parti qui tient la Maison Blanche, pour en faire ni plus ni moins qu’un référendum sur Donald Trump.
Les représentants de la droite radicale « applaudissent la colère. Ils se nourrissent du chaos. Ils ne vivent pas dans la lumière de la vérité, mais à l’ombre des mensonges », a encore scandé le président de 79 ans, qui veut galvaniser l’électorat démocrate et convaincre les indécis.
« Fuck Joe Biden »
Joe Biden avait déjà entonné pendant sa campagne le refrain sur la « bataille » à mener pour « l’âme de l’Amérique », mais sur un air plus doux : celui de la réconciliation et des appels à l’unité.
Longtemps, cet ancien sénateur, vieux routier de la politique, a chanté les vertus de la coopération avec les républicains de bonne volonté. Plus rien de tel jeudi soir.
« Tous les républicains n’adhèrent pas à cette idéologie extrême », a-t-il certes reconnu, mais pour mieux décocher ensuite cette flèche : « Il ne fait aucun doute que le parti républicain d’aujourd’hui est dominé, entraîné et intimidé par Donald Trump » et ses partisans.
Dénonçant les attaques persistantes et infondées du milliardaire contre la validité de l’élection de 2024, Joe Biden a lâché : « Vous ne pouvez pas aimer votre pays seulement quand vous gagnez ».
Alors que Donald Trump a promis jeudi de gracier s’il était réélu les personnes condamnées pour l’assaut du Capitole le 6 janvier 2021, le président démocrate a affirmé qu’il n’y avait « pas de place pour la violence politique aux Etats-Unis », et estimé que contester un scrutin menait au « chaos ».
Quand pendant son discours, un groupe d’opposants réunis à proximité ont lancé en choeur « Fuck Joe Biden », il a rétorqué : « Ils ont le droit de s’indigner. C’est la démocratie. »
Les démocrates rêvent d’un exploit en novembre
Selon un sondage publié jeudi par le Wall Street Journal, si les législatives de mi-mandat avaient lieu aujourd’hui, 47 % des électeurs voteraient démocrate, et 44 % républicain. La droite avait encore une avance de 5 points en mars.
Les démocrates se prennent à rêver d’un exploit lors de ce scrutin qui renouvelle toute la Chambre des représentants et un tiers du Sénat. Les enquêtes d’opinion ne sont pas infaillibles et, dans la vie politique américaine, deux mois, c’est une éternité.
Mais le débat politique s’est déplacé depuis le début de l’été, abandonnant les sujets économiques pour venir sur le terrain du droit à l’avortement, des acquis de société, des inquiétudes sur la démocratie – autant de thèmes porteurs pour les démocrates.
Dans leurs premières réactions jeudi, les républicains ont d’ailleurs tenté de revenir à des problématiques qui leur sont plus favorables. « Tout va bien pour l’âme de l’Amérique. Les Américains souffrent à cause de votre politique. L’inflation rampante. La criminalité hors de contrôle. La montée du terrorisme. Les frontières détruites. Arrêtez vos sermons », a réagi le sénateur Lindsey Graham, fidèle parmi les fidèles de Donald Trump, à l’adresse de Joe Biden.
Quelques réactions :
Et, non, ce n’est pas un montage, cette photo est bien réelle !
Source : The Gateway Pundit, le 1er septembre 2022
Stephen Miller : « Ce soir, Biden a prononcé le discours d’un dictateur, dans le style d’un dictateur, avec le visuel d’un dictateur et avec les mots d’un dictateur »
Joe Biden est entré dans l’histoire jeudi soir en déclarant la guerre au peuple américain.
C’était un tournant dans la politique américaine.
C’était le discours d’un tyran enragé.
L’ancien collaborateur de Trump Stephen Miller a livré une étonnante réfutation de la déclaration de guerre historique de Joe Biden au peuple américain.
Miller vient d’exposer le discours du tyran.
Dieu merci, nous avons encore des hommes comme Stephen Miller à nos côtés !
Stephen Miller : Le président Trump a déversé son cœur, son âme, son esprit chaque jour pour construire une meilleure Amérique pour tout le monde pour construire une Amérique plus sûre et plus prospère. Alors que les démocrates et l’État profond ont lancé une opération illégale pour l’éliminer et elle en est maintenant à sa sixième année !
Le président Biden a prononcé ce soir le discours d’un dictateur, dans le style d’un dictateur, avec le visuel d’un dictateur, en utilisant les mots d’un dictateur.
C’était son discours sur les ennemis de l’État. Et comme tous les autres radicaux, marxistes, tyrans, il a accusé ses opposants d’être fascistes alors qu’il se livre à un comportement autoritaire oppressif.
C’est lui qui force les Américains contre leur gré à prendre un vaccin.
C’est lui qui a violé la Constitution de notre nation pour ouvrir nos frontières.
C’est lui qui interfère dans la relation sacrée entre parent et enfant pour essayer d’imposer à nos petits enfants des médicaments dangereux, des bloqueurs de puberté, des hormones.
C’est celui dont le gouvernement a fait une descente au domicile de son principal adversaire politique. d’une manière qui viole tout l’ordre constitutionnel parce que le président Trump a le droit absolu de décider ce qui est ou n’est pas dans l’intérêt de la sécurité nationale quand il quitte la Maison Blanche.
Toutes ces choses, toutes ces choses, sont le comportement d’un tyran.
Stephen Miller
Personne ne peut se comparer à Stephen Miller.
Source en anglais : https://www.thegatewaypundit.com/2022/09/stephen-miller-biden-tonight-gave-speech-dictator-style-dictator-visual-dictator-using-words-dicatator-video/
Traduction par la-verite-vous-rendra-libres.org avec Deep Traducteur
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