Transhumanisme,  Vaccins

Les vaccins Covid-19 devraient être classés «thérapie génique» selon le Dr Tess Lawrie, consultante scientifique

Publié par The Epoch Times

Le label « médicament » nécessite une étude plus approfondie des injections

Le Dr Tess Lawrie, directrice de Evidence‑Based Medicine Consultancy Ltd. et cofondatrice du World Council for Health, soutient que les vaccins Covid‑19 ne sont pas réellement des vaccins, mais davantage des thérapies géniques avec des conséquences dangereuses et inconnues à long terme. Il faut y mettre fin immédiatement.

Avec ces vaccins génétiques à ARNm, « la théorie est que le corps produit ensuite des anticorps contre la protéine spike, mais ces anticorps sont dans les cellules, donc le corps produit des anticorps contre vos propres cellules qui contiennent la protéine spike », explique le Dr Lawrie lors d’une interview du 6 décembre pour le programme American Thought Leaders d’EpochTV.

Un vaccin traditionnel contient une protéine ou un antigène qui est injecté dans le muscle du patient, ce qui amène l’organisme à y répondre par des anticorps et des cellules T, qui confèrent ensuite une immunité à la personne, poursuit-elle.

Dans les vaccins génétiques, le gène circule rapidement dans le système sanguin, signalant à chaque cellule de l’organisme de fabriquer une protéine spike.

« Il se peut que vous en fabriquiez beaucoup plus que si vous attrapiez le Covid », et les médecins ne savent pas combien de temps le corps va continuer à le faire.

Le Dr Lawrie fait valoir que si les vaccins étaient classés comme des médicaments de thérapie génique et non comme des vaccins, ils devraient, comme tous les autres médicaments, faire l’objet d’études pharmacocinétiques.

Comme ces injections ont été qualifiées de vaccins, elles « ont échappé au processus réglementaire, car la plupart des médicaments nécessitent des études pharmacocinétiques, et les études pharmacocinétiques pour les vaccins comprennent des études immunologiques ».

La pharmacocinétique est l’étude du comportement d’un médicament dans l’organisme d’un patient, de sa distribution et du temps qu’il met à être éliminé de l’organisme.

Non sûrs quel que soit le groupe d’âge

En janvier 2021, le Dr Lawrie a commencé à surveiller les effets de l’ivermectine dans la base de données Covid‑19 de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Peu après, elle a commencé à observer les vaccins génétiques. Son organisation a constaté qu’il y avait deux grandes catégories de dommages causés par ces injections : les maladies neurologiques et les maladies du système immunitaire.

Selon le Dr Lawrie, la recommandation du chirurgien général de Floride contre la vaccination du Covid‑19 pour les hommes âgés de 18 à 39 ans ne va pas assez loin pour protéger les gens, car il a été démontré que les vaccins Covid nuisent aux personnes de tous les groupes d’âge.

« Il ne suffit vraiment pas de dire que les vaccins sont sûrs pour un groupe et pas pour un autre. Ils ne sont pas sûrs, fondamentalement, dans leur essence, dans la façon dont ils sont conçus. »

Étant donné que les sociétés pharmaceutiques et les organismes de réglementation n’analysent pas les données sur l’innocuité des vaccins pour comprendre leurs méfaits à long terme, les scientifiques indépendants doivent déterminer quels sont les méfaits causés par les injections et comment traiter les personnes qui ont été vaccinées, et sensibiliser le public au rapport risques-avantages des vaccins.

« Les sociétés pharmaceutiques devraient prouver que leur produit est sûr », mais ce n’est pas le cas.

Bien que la myocardite soit reconnue comme un dommage lié aux vaccins, elle n’est qu’un des symptômes d’un problème beaucoup plus vaste.

« La plupart des myocardites sont des inflammations, ces inflammations se produisent dans tous les organes et tissus du corps. »

« Parce que le système immunitaire est tellement occupé à combattre cette protéine étrangère, il y a aussi beaucoup d’infections latentes – herpès, virus d’Epstein Barr, zona (une dermatose virale) – qui surgissent, parce que le système immunitaire est supprimé au lieu d’être stimulé. »

« Ils [les vaccins] ne fonctionnent pas. Les avantages ne sont pas là, les risques sont énormes et sont révélés chaque jour. »

L’important maintenant est d’alerter le public pour qu’il ne prenne plus de rappels, d’aider les personnes blessées par le vaccin et d’analyser toutes les données sur l’innocuité, ajoute-t-elle.

Le Dr Lawrie estime que les vaccins Covid ont un impact négatif sur la santé reproductive des femmes, et elle conseille aux femmes enceintes en particulier de ne pas recevoir les vaccins génétiques, car les effets néfastes à long terme sont inconnus. Certaines données indiquent des taux plus élevés de fausses couches et de mort fœtale après la vaccination.

Klaus Schwab, le fondateur et président exécutif du Forum économique mondial (FEM ou World Ecomonic Forum/WEF) lors de l’ouverture de l’agenda du WEF Davos à Cologny, près de Genève, le 17 janvier 2022 (Fabrice Coffrini/AFP via Getty Images)

La pandémie révèle un programme plus élaboré

Au cours de la pandémie, le programme de centralisation du pouvoir des mondialistes est devenu plus évident pour le Dr Lawrie. Elle dit avoir remarqué l’influence des Big Pharma sur la publication d’études en faveur des vaccins et contre la réutilisation de médicaments existant sur le marché. Elle a également observé le Forum économique mondial (FEM) qui fait pression en faveur de la technologie pour surveiller les citoyens, ses efforts pour mettre en œuvre un traité sur la pandémie, la corruption de l’OMS par le Parti communiste chinois et de donateurs fortunés comme Bill Gates.

« Une de ces modifications [du traité sur la pandémie] consiste à donner au directeur général de l’OMS le pouvoir de déclarer une urgence sanitaire réelle ou potentielle. »

De nombreuses définitions liées à la santé ont été modifiées pendant la pandémie, l’OMS a notamment changé la définition d’une pandémie, jusque-là celle-ci était appliquée à une maladie infectieuse causant un grand nombre de décès, désormais elle désigne une simple infection très répandue.

« Vous pouvez imaginer ce que cela implique. ‘Oh, il y a un nouveau virus qui circule. Tout le monde rentre chez soi, restez à la maison.’ L’immunité collective a été redéfinie : auparavant, l’immunité collective était quelque chose qui pouvait se produire naturellement. Maintenant, on l’associe uniquement à la vaccination. »

Le Dr Paul Marik, cofondateur et directeur scientifique de la Front Line Covid-19 Critical Care Alliance (FLCCC), s’exprime lors de la conférence FLCCC à Kissimmee, en Floride, le 15 octobre 2022. (Oliver Trey/NTD News)

Le Conseil mondial de la santé

Le Covid‑19 est en augmentation au Royaume‑Uni, ce qui selon le Dr Lawrie pourrait être dû aux injections de rappel. On observe également une augmentation de la surmortalité par rapport aux périodes pré‑vaccinales. Selon elle, ces décès excédentaires sont équivalents au crash d’un 737 chaque jour de la semaine.

Ces décès excédentaires peuvent inclure des personnes qui meurent d’une maladie mentale, d’un manque de soins médicaux en temps opportun en raison de l’accumulation des confinements ou de lésions directes attribuables aux vaccins.

Le gouvernement britannique et l’OMS ont remarqué l’organisation du Dr Lawrie, le World Council for Health, mais continuent d’ignorer ses appels à garantir la sécurité des vaccins et leur responsabilité, tandis que les Big Tech ont essayé de le censurer.

Des médecins du monde entier comme Peter McCullough et Paul Marik, qui respectent le serment d’Hippocrate de ne pas nuire, sont persécutés, poursuit-elle. « Il y a des médecins qui exercent en clinique, qui ont sauvé des milliers de vies pendant le Covid. Je pense en particulier au Dr Jackie Stone au Zimbabwe, qui risque actuellement d’être emprisonnée. »

Le World Council for Health  fournit des ressources pour les personnes blessées par un vaccin, notamment des informations sur les groupes de soutien, les protocoles pour la désintoxication et les blessures attribuables aux vaccins, et des liens vers d’autres sites médicaux importants. En septembre 2021, le World Council for Health a lancé le dépliant « Recommandations pour le traitement Covid à domicile », qui a été téléchargé plus d’un million de fois.

L’organisation du Dr Lawrie est composée de 170 petites et grandes organisations membres, l’objectif est de décentraliser les soins de la santé et de rendre le pouvoir aux pays et aux populations.

« Notre objectif est vraiment que chacun soit son propre conseiller en matière de santé, afin qu’il n’ait pas besoin de confier ses décisions à des autorités corrompues. »

Source : https://www.epochtimes.fr/vaccins-covid-19-devraient-etre-etiquetes-therapie-genique-selon-dr-tess-lawrie-consultante-scientifique-2187875.html