Effets indésirables,  Vaccins

LES VACCINS COVID-19 PEUVENT ÊTRE À L’ORIGINE DE TROUBLES MENSTRUELS, SELON L’AGENCE DU MÉDICAMENT

NDLR : voici le titre d’un article de BFMTV et quasi le même chez France Info ! Le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier, mais elle finira par sortir, même sur les médias main stream ! Bon, ils continuent à minimiser, bien sûr : ces troubles seraient « non graves et transitoires » mais ils sont obligés de préciser « le plus souvent » (donc parfois c’est grave et pas transitoire et rien que ça, ça devrait poser problème !) et qu’il y a « une persistance possible autour de 6 mois » . On peut compter sur les associations de victimes d’effets secondaires (Vérity France, Où est mon cycle, Du vaccin aux Acouphènes …) pour ne pas lâcher le morceau !


LES VACCINS COVID-19 PEUVENT ÊTRE À L’ORIGINE DE TROUBLES MENSTRUELS, SELON L’AGENCE DU MÉDICAMENT

Publié par BFM TV, le 28 octobre 2022

Au mois de juillet, de multiples femmes avaient déclaré avoir eu de règles plus abondantes que d’habitude et d’autres troubles menstruels après avoir reçu une dose de vaccin.

Les vaccins à ARN-messager contre le Covid-19 peuvent être à l’origine des saignements menstruels abondants apparus chez certaines femmes après leur vaccination, estime ce vendredi le comité de pharmacovigilance (PRAC) de l’Agence européenne des médicaments (EMA).

Ces saignements « peuvent être considérés comme un effet indésirable potentiel des vaccins » de Pfizer et Moderna, selon cette conclusion rapportée par l’Agence nationale du médicament (ANSM). Ces effet seront désormais ajoutés dans les résumés des caractéristiques du produit (RCP) et les notices de ces deux vaccins.

Les troubles menstruels déclarés après la vaccination par un vaccin à ARNm, soit ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna, faisaient l’objet d’une surveillance attentive au niveau national et européen depuis leur détection.

De multiples témoignages évoquaient l’apparition de troubles après une vaccination anti-Covid, mais les autorités sanitaires n’avaient pour l’heure pas établi de lien de cause à effet. En juillet, les femmes concernées avaient notamment été invitées par l’ANSM à les déclarer.

Près de 3500 cas de troubles menstruels rapportés

L’agence du médicament rappelle avoir porté au niveau européen l’ensemble des données recueillies par le dispositif de pharmacovigilance français et les résultats des analyses réalisées.

Entre juillet et septembre 2022, 2952 cas de troubles menstruels ont été déclarés avec le vaccin Comirnaty (Pfizer/BioNTech), et 515 avec le vaccin Spikevax (Moderna).

La majorité de ces déclarations ont été réalisées directement par les patientes. Certaines déclarations rapportent des événements très antérieurs, pouvant dater jusqu’au printemps 2021.

Les troubles menstruels déclarés concernent majoritairement des modifications de la durée et l’intensité des saignements associés ou non à des douleurs. Ils sont le plus souvent « non graves » et transitoires, précise l’ANSM. Chez certaines patientes, on observe toutefois une persistance possible de ces effets autour de 6 mois. Une analyse plus précise de ces cas se poursuit, précise l’ANSM.

Source : https://www.bfmtv.com/sante/les-vaccins-covid-19-peuvent-etre-a-l-origine-de-troubles-menstruels-selon-l-agence-du-medicament_AD-202210280660.html


Publié par France Info, le 28 octobre 2022

Covid-19 : les vaccins peuvent être à l’origine de troubles menstruels, selon l’Agence européenne des médicaments

La vaccination peut être à l’origine des saignements menstruels abondants apparus chez certaines femmes.

Quel impact du vaccin contre le Covid-19 sur les règles ? L’Agence européenne des médicaments (EMA) a estimé, vendredi 28 octobre, que les vaccins à ARN-messager contre le Covid-19 pouvaient être à l’origine des saignements menstruels abondants apparus chez certaines femmes après leur vaccination.

Ces saignements « peuvent être considérés comme un effet indésirable potentiel des vaccins » de Pfizer et Moderna, selon la conclusion rapportée par l’Agence nationale du médicament (ANSM). Ces effets seront désormais ajoutés dans les résumés des caractéristiques du produit (RCP) et les notices de ces deux vaccins.

Les troubles menstruels déclarés après la vaccination par un vaccin à ARNm, soit ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna, faisaient l’objet d’une surveillance attentive au niveau national et européen depuis leur détection. De multiples témoignages évoquaient l’apparition de troubles après une vaccination anti-Covid, mais les autorités sanitaires n’avaient pour l’heure pas établi de lien de cause à effet. En juillet, les femmes concernées avaient notamment été invitées par l’ANSM à les déclarer.

Des troubles menstruels « non graves » et transitoires

Entre juillet et septembre 2022, 2 952 cas de troubles menstruels ont été déclarés avec le vaccin Comirnaty (Pfizer/BioNTech), et 515 avec le vaccin Spikevax (Moderna). La majorité de ces déclarations ont été réalisées directement par les patientes. Certaines déclarations rapportent des événements très antérieurs, pouvant dater jusqu’au printemps 2021.

Les troubles menstruels déclarés sont le plus souvent « non graves » et transitoires, précise l’ANSM. Chez certaines patientes, on observe toutefois une persistance possible de ces effets autour de six mois. Une analyse plus précise de ces cas se poursuit, précise l’agence.

Source : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-les-vaccins-peuvent-etre-a-l-origine-de-troubles-menstruels-selon-l-agence-europeenne-des-medicaments_5445439.html