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Vaccination ARNm Covid – Cause de maladie et de décès ?! Interview avec le Dr. Ute Krüger – Par Kla.tv

Par Kla.tvVaccination ARNm Covid – cause de maladie et de décès ?! Interview avec le Dr. Ute Krüger

Peu de temps après l’introduction des injections Covid à ARNm, on a commencé à se demander si ceux-ci ne faisaient pas plus de mal que de bien. Quelques années après l’introduction de ces injections, à tort appelées vaccins, il est médicalement prouvé que ces injectionsà ARNm peuvent entraîner la maladie et la mort ! C’est ce que démontre le Dr Ute Krüger dans son dernier livre « Vacciné – Décédé » avec 57 cas de décès qui, dans la majorité des cas, sont en rapport avec les injections Covid. Cet ouvrage contient également des résultats étudiés par le professeur Arne Burkhardt, décédé en 2023. Écoutez et voyez dans l’interview suivante pourquoi il faut mettre en garde contre les injections à ARNm !

Vidéo du 14/09/2024 par www.kla.tv

Source vidéo Odyssée : https://odysee.com/@christophevoisin.a:e/klatvvaccinationarnmcovid:d

Transcription écrite de la vidéo :

Présentatrice : Mesdames et Messieurs, je vous souhaite la bienvenue ici, à Berlin. Je reçois aujourd’hui le Dr Krüger. Je suis contente de vous voir.

Dr. Krüger: Merci beaucoup pour l’invitation.

Présentatrice: Madame Krüger, vous n’avez pas ménagé votre temps et vos efforts pour venir de Suède. Hier, votre avion a atterri à Berlin. Merci d’être venue. La raison de notre invitation : vous avez publié un livre que nous avons également ici « Vacciné – Décédé ». Il s’agit d’un atlas histopathologique sur les lésions dues au vaccin Covid. Et nous allons parler un peu plus en détail aujourd’hui de ce que vous avez découvert. Mais tout d’abord, pour les spectateurs qui ne vous connaissent peut-être pas encore très bien. Pourriez-vous nous donner quelques informations sur vous, d’où vous venez, ce que vous faites et ce qui vous a finalement amenée ici. J’aimerais beaucoup vous entendre.

Dr. Krüger: Bien volontiers. Je suis spécialiste en pathologie et j’ai travaillé pendant 25 ans dans le domaine de la pathologie. Et c’est peut-être important pour les spectateurs, la pathologie est l’étude des maladies. Et un pathologiste diagnostique des maladies. Et ce diagnostic est souvent à la base de la thérapie. Et souvent, les pathologistes sont associés aux autopsies. Les autopsies font certainement aussi partie du travail d’un pathologiste. Mais dans mon activité, cela ne représentait plus qu’un très faible pourcentage. Et donc, ces 18 dernières années, je me suis principalement consacrée au diagnostic du cancer du sein. Et je suis en Suède depuis 20 ans. J’ai travaillé pendant 10 ans à Växjö, dans le sud de la Suède, dans une clinique au service de pathologie en tant que chef de clinique. Et j’ai été directrice médicale du service de pathologie de Växjö pendant les quatre dernières années de mon travail là-bas. Je suis ensuite allée à Kalmar, qui se trouve également dans le sud de la Suède, où j’ai été engagée comme titulaire. Et en même temps, j’étais employée comme médecin-chef dans un hôpital universitaire à Lund et je faisais de la recherche sur le cancer du sein. Voilà pour mes antécédents professionnels.

Présentatrice: Vous avez beaucoup d’expérience. Et c’est aussi intégré dans ce livre. C’est un atlas histopathologique. Pour moi, en tant que profane, ou peut-être pour certains de nos spectateurs, cela ne veut pas dire grand chose. Que signifie « histopathologique » ? Qu’est-ce que cela signifie ?

Dr. Krüger: Histo-pathologique, ce sont deux mots. L’histologie est l’étude des tissus. Et nous avons déjà parlé de la pathologie, l’étude des maladies. Et l’histopathologie signifie que le pathologiste examine les coupes de tissus au microscope. Et on peut donc observer le tissu. On voit donc les modifications pathologiques dans le tissu. Et c’est pour cela qu’on parle d’histopathologie.

Présentatrice: D’accord. Et ce type d’atlas est un exemplaire unique au monde. Pourquoi est-il unique ?

Dr. Krüger: Le livre résume les conclusions du professeur Burkhardt, qui a réévalué près de 90 cas d’autopsies. Et il s’agit ici de personnes décédées, qui sont donc apparues en relation temporelle avec les vaccinations Covid. Et le professeur Burkhardt s’est fait envoyer ces cas. Souvent, ce sont les proches qui pensaient que ces vaccinations pouvaient être la cause du décès de leur parent. Et donc, dans ce livre, il y a d’une part les images histologiques, donc ces images histopathologiques dont nous avons parlé. C’est la partie images. Et puis, plus loin, dans la deuxième partie, il y a les descriptions de cas. Cela signifie qu’il s’agit ici de l’ensemble des cas avec les antécédents, la vaccination, le laps de temps après la vaccination, quel vaccin. Tout cela se trouve ici, dans cette partie. Et une telle compilation n’existe pas encore dans le monde.

Présentatrice: J’ai également regardé quelques extraits de l’atlas en préparation de cette interview. Et c’est exactement comme vous le décrivez. Donc, aussi bien pour les experts, les collègues de la pathologie, que pour quelqu’un qui ne s’est peut-être pas encore penché sur la question. Il y a en tout cas quelque chose à quoi on peut s’intéresser, justement parce que vous décrivez aussi l’histoire de fond et l’environnement et que vous présentez ainsi le tout de manière bien compréhensible. Cela a donc été pour moi une bonne occasion de m’y intéresser de plus près. Arne Burkhardt a également mené de nombreuses recherches dans ce domaine. Et vous avez également utilisé des photos du professeur Burkhardt dans votre livre. Comment en êtes-vous arrivés à vous croiser et à collaborer de la sorte ?

Dr. Krüger: Le professeur Burkhardt a lancé la première conférence de pathologie en 2021, en collaboration avec Me Becker, avocat. Et le professeur Burkhardt y a présenté des cas qui sont donc survenus après ces vaccins, c’est-à-dire les décès. Et il a dit que si, en tant que pathologiste, on était d’avis que l’on souhaitait examiner les résultats de plus près, si on n’était pas tout à fait convaincu, on devait alors le contacter. Et comme je suis de nature curieuse, je l’ai contacté. Et nous avons regardé et discuté ensemble de plusieurs cas en ligne, ce qui a débouché sur une collaboration. Et nous nous sommes aussi souvent rencontrés lors de symposiums et de congrès. Et dernièrement, en janvier 2023, lors d’un grand congrès en Suède, à Stockholm. Et là, il était notamment question du fait qu’il était très important pour lui que ces connaissances soient publiées, c’est-à-dire qu’elles soient rendues publiques. Il m’a aussi dit que je pouvais utiliser ses photos. Qu’il est donc important que le public soit informé de ce qui s’est passé après ces vaccinations. Et dans le livre, il n’y a que deux photos du professeur Burkhardt et les 110 autres sont de moi. Je me suis donc rendue il y a un an à peu près à Reutlingen, dans l’institut du professeur Burkhardt, et j’y ai étudié les cas. Et j’ai choisi celles, les photos des coupes, qui convenaient le mieux à ce livre. Il se trouve en effet que le professeur Burkhardt est décédé subitement en mai de l’année dernière. Et j’ai été très choquée et j’ai ensuite écrit dans le livre de condoléances que je ferais tout pour que ces résultats soient rendus publics. Et puis j’ai passé un an à rassembler les résultats et à les présenter sous forme de livre.

Présentatrice: Et dans ce livre, vous décrivez 57 cas différents. Pourriez-vous nous donner quelques exemples de la manière dont il faut se représenter les choses ? De quelle manière avez-vous étudié la question ? Et quels sont les résultats et les conclusions auxquels vous êtes finalement parvenus ?

Dr. Krüger: Avec plaisir. J’ai apporté quelques photos. Je vais poser ça, on verra mieux l’écran. En effet, voici par exemple le cas tragique d’une jeune fille de 16 ans. Elle voulait absolument participer à un voyage scolaire et voulait donc se faire vacciner, bien que sa mère lui ait dit : Ne fais pas ça, ce n’est pas bon. La mère travaille elle-même dans le secteur de la santé, mais elle a ensuite dit : « OK, je peux comprendre ma fille. » Elle m’a alors dit : « D’accord, alors fais-le. » Et donc, après la deuxième vaccination, huit jours après, elle s’est effondrée, la fille. Et elle ne se sentait pas bien, elle s’est effondrée à la table du dîner et sa mère l’a réanimée. La fille a ensuite été hospitalisée, mais elle est décédée 22 jours après cette deuxième vaccination. Et ici, on voit l’incision du cœur de la jeune fille. Et dans la zone où on voit les étoiles, on voit ces zones plus claires. C’est la destruction des tissus du muscle cardiaque. Sur le côté gauche, on voit encore un saignement, là où se trouve la flèche. Et si on y regarde de plus près, on voit ici dans la partie inférieure, les deux flèches montrent des points noirs comme ça. Il s’agit des lymphocytes, c’est-à-dire des cellules inflammatoires du muscle cardiaque. Et dans la partie supérieure, où c’est plus lâche, il y a des macrophages et du tissu cicatriciel lâche. Il s’agit donc d’une myocardite à plusieurs phases. Et le cœur ressemblait à ça à de nombreux endroits, ce qui n’est pas compatible avec la vie. Ensuite, j’ai apporté un autre cas. Il s’agit d’un jeune homme de 22 ans, nageur de haut niveau, qui a connu une nette baisse de ses performances après la deuxième vaccination. Il n’était ainsi plus capable de supporter l’effort et on lui a alors diagnostiqué une myocardite. Et on lui a aussi dit que le pronostic était qu’il ne pourrait plus être nageur de compétition ; ce n’était plus possible. Il s’est alors acheté un fusil et s’est tiré une balle. Et dans le cœur, on voit ici dans le cercle que le nombre de cellules inflammatoires est très discrètement augmenté, donc il y a trop de ces points noirs. C’est très difficile à voir pour un profane, mais dans le livre, c’est fait de telle sorte qu’un résultat est vraiment clair et que l’autre résultat est très discret. Et on voit bien que des changements très discrets ont un impact très fort sur la qualité de vie. Et sur l’image suivante, on peut voir qu’il s’agit aussi d’une coupe du cœur de ce jeune patient ou de la personne décédée. Et ces zones plus claires que l’on voit ici sur la photo sont les cicatrices qui sont apparues après ces inflammations. Et c’est justement ce qui est important. Des changements aussi minimes peuvent avoir un impact aussi important sur la qualité de vie. C’est très important. Vous avez certainement vu à la télévision des footballeurs professionnels s’effondrer. Oui. Et c’est probablement aussi lié à cela, aux inflammations du muscle cardiaque. Ensuite, j’ai apporté un autre cas. Il s’agit ici d’un homme de 61 ans qui avait été vacciné deux fois contre le Covid et qui est décédé 25 jours après la deuxième vaccination. Et ici, on voit la coupe de l’aorte. L’aorte est le plus gros vaisseau sanguin du corps. Et dans la partie inférieure, on peut voir la paroi musculaire de l’aorte proprement dite. Et en haut, à l’endroit où l’on voit cette flèche, on voit comment le tissu attaché s’est nettement élargi. Et ici, on voit aussi cette forme de bande, ces points sombres répartis en forme de bande. Ce sont des cellules inflammatoires. Et normalement, on ne les voit pas à cet endroit. De plus, on voit du tissu cicatriciel. Et même dans la partie inférieure, dans la zone musculaire, on voit des petites modifications rondes. Ce sont des proliférateurs de vaisseaux. Donc des petits vaisseaux s’y développent. Et il y a donc aussi une cicatrisation ici. Et là, le sang a traversé la paroi. Et puis l’homme s’est vidé de son sang parce que cette paroi vasculaire n’était plus élastique à cause de l’inflammation. En outre, on pouvait également observer des destructions de tissus. Et une diminution des fibres élastiques, qui font que le vaisseau peut s’adapter à la pression. Ensuite, j’ai le cas d’une femme de 63 ans qui est également décédée d’une rupture aortique. … exactement la même cause de décès qu’avant pour l’homme. Et ici, nous avons encore ces modifications noires comme résultat secondaire. C’est une coupe du poumon. Et vous voyez ces points noirs partout. Et c’est quelque chose que je n’avais jamais vu auparavant, pas plus que le professeur Burkhardt et le professeur Lang, qui a travaillé avec le professeur Burkhardt. Ce sont deux pathologistes très expérimentés, qui travaillent depuis longtemps. Ils n’ont jamais vu ça auparavant. Et donc, si on agrandit, on voit que cette matière noire est dans les vaisseaux. Et dans les vaisseaux, il devrait y avoir du sang. Cela n’a donc certainement pas permis d’améliorer la circulation sanguine.

Présentatrice: Avec tous ces examens et ces constatations, qui ont manifestement conduit à la mort de la personne concernée, comment pouvez-vous en être sûrs ? Ou pourquoi soupçonne-t-on que c’est vraiment dû au vaccin Covid ? Alors comment vous faites, où faites-vous le lien ?

Dr. Krüger: En fin de compte, c’est le contexte temporel, c’est-à-dire qu’on regarde quand le dernier vaccin Covid a été administré et quand le décès est survenu. Et souvent, cela s’inscrit dans un intervalle de temps relativement court. Il y a aussi d’autres cas de décès où de nombreux mois se sont écoulés. Mais comme on a trouvé des modifications récurrentes dans le corps, on doit quand même partir du principe que cette vaccination est la cause de la mort.

Présentatrice: Maintenant, vous avez toujours donné des exemples d’organes qui ont été endommagés, comme le cœur ou même les vaisseaux. Avez-vous constaté des changements, des atteintes dans d’autres parties du corps ?

Dr. Krüger: Par exemple, il y a aussi un cas dans cet atlas. Il s’agit ici d’un homme de 60 ans. C’est le seul cas dans l’atlas qui n’est pas celui du professeur Burkhardt, mais j’ai eu ce cas à l’hôpital de Kalmar. J’ai autopsié la personne décédée. Il s’agit d’un patient atteint d’un cancer des ganglions lymphatiques. Et sous chimiothérapie et traitement immuno-suppresseur en cours. Cela signifie que le système immunitaire a été régulé à la baisse par des médicaments. Il a donc reçu deux vaccins Covid à la même période et est décédé trois mois plus tard. Et il a développé des paralysies sur tout le corps peu de temps après la deuxième vaccination. Donc le tableau de ce qu’on appelle le syndrome de Guillain-Barré, qui est aussi souvent décrit comme un dommage dû à la vaccination. J’ai examiné de nombreuses structures nerveuses. Ici, on voit par exemple un nerf qui part de la moelle épinière. On voit cette forme en doigt. On voit ces points sombres partout. Ils ne doivent pas être là. Ce sont toutes des cellules inflammatoires. Tout ce nerf est donc rempli de cellules inflammatoires. Je n’ai jamais rien vu de tel. Je l’ai aussi montré à des neuropathologistes. C’est-à-dire les pathologistes qui travaillent en priorité sur le cerveau, les coupes de cerveau. Ils n’ont pas encore vu ça non plus, à ce point-là, ils n’ont pas vu ça non plus. Ce n’était donc pas seulement dans les nerfs, mais ici nous avons par exemple une coupure du tronc cérébral. Et ici, on voit dans la zone des étoiles cette zone relâchée. Il s’agit donc d’une destruction de tissu. Et entre les deux étoiles supérieures, on voit un vaisseau, c’est ce vaisseau. Ici aussi, on voit partout ces points noirs sombres. Et ils ne devraient pas être là. Le vaisseau est gonflé, la paroi est épaisse. Et c’est justement autour de ce vaisseau qu’on constate cet infarctus, c’est-à-dire cette destruction des tissus. Le tronc cérébral est le centre de contrôle de nombreuses fonctions vitales. Et c’est ce qui a finalement conduit à la mort. J’ai essayé de publier ce cas dans le British Medical Journal. Parce que je pensais que c’était tellement intéressant que ça devait être rendu public. J’ai passé six mois à essayer de transmettre ce cas au British Medical Journal. Et on m’a demandé si je voulais bien changer telle ou telle formulation. Si je voulais ajouter telle ou telle couleur. Au bout de six mois, j’ai reçu un mail disant qu’entre-temps, un tel cas avait déjà été publié. Et qu’ils n’étaient plus intéressés par la publication de mon cas. J’ai alors publié ce cas dans une autre revue avec deux professeurs de neuropathologie. Mais on ne peut pas le trouver sur PubMed, par exemple. PubMed est en effet le moteur de recherche des médecins, le Wikipédia des médecins, pourrait-on dire. On n’y trouve pas ce cas. Je me demande alors ce qu’on peut trouver dans ce PubMed. Parce que jusqu’à présent, je pensais qu’il s’agissait en fait du moteur de recherche pour les publications scientifiques.

Présentatrice: Oui, et si vous dites que l’argument était qu’un tel cas a déjà été publié, pour moi ce n’est pas non plus un argument en soi. Parce qu’un cas et un autre cas, c’est tout de même très important de faire savoir que ce n’est pas seulement un cas isolé. Comment considérez-vous l’argument qui vous a été opposé ?

Dr Krüger: Je pense qu’ils n’étaient pas intéressés dès le départ. Parce que les bailleurs de fonds qui se cachent derrière le British Medical Journal posent de tout autres jalons. Ils n’étaient tout simplement pas intéressés.

Présentatrice: Revenons au vaccin Covid en tant que tel et aux principales maladies que vous avez pu identifier dans le cadre de vos recherches. Quelles sont celles que vous pouvez citer ?

Dr. Krüger: Ce que nous avons déjà regardé, la myocardite, est très fréquente. Ensuite, l’inflammation des vaisseaux est aussi très souvent visible. Des matériaux étrangers ont été trouvés, je les ai déjà montrés. On a pu observer une disparition des fibres élastiques. Et pas seulement dans les parois des vaisseaux, mais aussi dans la peau par exemple. Et je ne sais pas si vous avez remarqué que lorsque les gens ont reçu plusieurs fois ce vaccin Covid, ils vieillissent relativement vite. Et cela est peut-être lié à la disparition des fibres élastiques de la peau. C’est donc ce que nous avons pu démontrer. Que des caillots de sang apparaissent. Il existe donc des caillots sanguins typiques et des caillots sanguins atypiques. Et dans ces caillots atypiques, que nous n’avions jamais vus auparavant, il n’y a par exemple pas de globules rouges. Mais ce sont des choses qui ressemblent à du caoutchouc. Et cela, comme je l’ai dit, n’existait pas auparavant sous cette forme. Puis les maladies auto-immunes. Le professeur Arne Burkhardt a appelé cela un amok lymphocytaire [Accès de folie meurtrière des lymphocytes]. Et cela se voit aussi dans tous les organes. Ce n’est pas spécifique à un organe, mais c’est dans tout le corps Et donc des modifications très différentes à trouver. Ensuite, bien sûr, le turbo-cancer – comme celui que j’ai vu en 2021 – que je soupçonnais déjà d’être lié aux vaccins. Mais celui-ci n’est pas inclus dans le livre, car les personnes décédées d’un turbo-cancer ne sont souvent pas autopsiées. Parce qu’on sait d’emblée que c’est une tumeur. On n’a pas besoin de regarder plus loin.

Présentatrice: Vos travaux scientifiques ont-ils eu un impact sur votre activité professionnelle ?

Dr. Krüger: Oui, du fait que j’ai regardé cela de très près. J’ai vu des choses que mes collègues de l’hôpital de Kalmar, par exemple, n’ont pas vues. Il y a eu un cas… j’étais responsable de la formation en pathologie et je formais des internes en pathologie. Et un interne est arrivé et a dit, oui, il a un cas ici. Il s’agissait d’une personne atteinte d’une tumeur et le décès aurait été soudain. Il s’est avéré que le décès était également lié à cette vaccination Covid. J’ai regardé le cœur et j’ai dit qu’on voyait une myocardite, à plusieurs endroits de très discrètes augmentations de lymphocytes, c’est-à-dire de cellules inflammatoires. Mais le jeune collègue était d’avis que c’était tellement peu prononcé que ce n’était pas une myocardite. Il a ensuite demandé à un autre pathologiste de notre cercle de pathologistes à Kalmar, qui lui a également confirmé que ce n’était pas une inflammation. Mais comme je travaille avec de nombreux pathologistes, y compris dans le monde entier, j’ai discuté de ce cas avec d’autres pathologistes. Et il s’est avéré que c’était une myocardite. Et il y a eu ensuite de vives discussions à Kalmar lors de la réunion des médecins, parce que pour moi, la myocardite était la cause de la mort. Et celle-ci était liée à la vaccination Covid. J’ai donc signalé ce cas à l’Agence suédoise des médicaments, car tout cas suspect doit être signalé. Lors de cette réunion de médecins, j’ai été véritablement attaquée sur la raison pour laquelle je me mêlais à d’autres cas et comment je pouvais alors inscrire ce cas. On m’a demandé de retirer immédiatement mon inscription. J’ai alors dit que ce cas n’appartenait pas à quelqu’un, mais qu’il s’agissait d’expliquer ce qui se passait après ces vaccinations et que je ne retirerais pas cela. Ma compétence a donc été remise en question. Et j’ai réalisé que je ne pouvais plus travailler dans cette médecine. J’ai notamment évoqué le turbo-cancer que je soupçonnais en 2021 d’être lié à ces vaccins. Je me suis alors dit que cela n’avait absolument aucun sens pour moi de diagnostiquer des tumeurs qu’un autre médecin avait peut-être provoquées par une injection. Puis j’ai démissionné, j’ai suivi de nombreuses formations ces dernières années. Et j’ai maintenant ouvert mon propre cabinet, un cabinet holistique. J’invite les spectateurs à consulter mon site Internet.

Présentatrice: Cela semble très intéressant. Je pense que cela vaut vraiment la peine de jeter un coup d’œil à votre site. Revenons à l’actualité. Selon l’OMS, la variole du singe, désormais appelée Mpox, a fait son apparition dans certains pays africains. Et on entend aussi parler de la grippe aviaire de temps en temps. Et ce sont les plans actuels. On veut utiliser la technologie de vaccination par ARNm pour lutter contre cette prétendue pandémie. Mais, j’ai reçu des messages de votre part, et bien sûr de nombreux autres scientifiques, le public a reçu des messages de prudence, « ne touchez pas à la technologie de vaccination par ARNm ». C’est justement parce que de nombreux effets secondaires sont apparus. Vous nous avez montré cela de manière très imagée. Et en même temps, l’OMS lance cet avertissement, ce niveau d’alerte supérieur, selon lequel la production de la technologie de vaccination par ARNm doit être augmentée. Comment cela s’accorde-t-il pour vous ?

Dr. Krüger: Cela ne va pas bien ensemble pour moi, d’autant plus qu’il a été publié que les vaccins de Pfizer, par exemple, en ce qui concerne le Covid, ont des effets secondaires très graves dans 11 % des cas. Et en ce qui concerne le Moderna, dans 21%. C’est-à-dire des effets secondaires graves. 21 % des personnes qui reçoivent donc ce vaccin contre le Covid ont des effets secondaires graves. Et quand on voit que le taux de mortalité pour le Covid est inférieur à un pour cent, pour moi, le rapport bénéfice/risque, la balance, n’est pas bonne. Il y a quelque chose de louche, si je peux m’exprimer ainsi. Et si on prend maintenant la grippe par exemple, le vaccin contre la grippe, qui n’est pas basé sur cette technologie ARNm. Il y a un taux d’effets secondaires de 0 à 4 %, des effets secondaires graves. Et avec ce vaccin Covid, c’est 21 %, jusqu’à 21 %. Et ce qui est important, c’est que ce vaccin à ARNm fonctionne de manière à ce qu’un code génétique soit injecté. Cela signifie qu’un code génétique est injecté et que les cellules saines de notre corps sont amenées à produire cette protéine spike. Et c’est ensuite présenté à la surface des cellules. Et les autres cellules immunitaires considèrent donc les cellules de l’organisme comme des cellules étrangères et les attaquent. Et c’est ce qui provoque ces réactions immunitaires. Et c’est donc très spécifique à ces vaccins à ARNm.

Présentatrice: Mais le principe sur lequel reposent les vaccins à ARNm est complètement différent de celui des vaccins traditionnels que nous connaissions jusqu’à présent. Pouvez-vous tracer une ligne de démarcation ? Comment… peut-on vraiment parler de vaccin… je pose la question.

Dr. Krüger: Je ne dirais pas que c’est un vaccin, mais plutôt que ce sont des liquides qui sont injectés. Parce que le bénéfice de cette prétendue vaccination est très faible. Et quand je vois les dégâts qu’ils causent, je me dis qu’il faudrait tout simplement les retirer de la circulation. Et je serais également très prudente avec tous les autres vaccins à venir basés sur l’ARNm, car ils n’ont pas été correctement testés. Cela entraînera alors les mêmes effets secondaires.

Présentatrice: Oui, il faut en tout cas en tenir compte, notamment dans les médias, qui disent qu’il s’agit simplement d’une possibilité nouvelle, moderne, plus perfectionnée de la vaccination. Ce n’est pas si simple. Encore une fois, il s’agit de quelque chose de complètement nouveau, qui ne s’est pas encore couvert de gloire, si je peux m’exprimer ainsi.

Dr. Krüger: Tout à fait correct, oui.

Présentatrice: Oui. Maintenant, nous revenons à votre livre. Vous avez dit que vous y aviez consacré beaucoup de temps et d’efforts. Quelles sont les réactions que vous espérez avoir lorsqu’il sera mis en circulation ? Il est maintenant prêt à être imprimé, et il sera donc bientôt disponible. Quelles sont les réactions que vous espérez de la part du public ?

Dr. Krüger: J’espère que les pathologistes, c’est-à-dire les spécialistes en pathologie ou en médecine légale, examineront ces résultats et qu’ils comprendront qu’il peut s’agir de résultats très subtils. Cela signifie donc qu’il faut vraiment chercher. On ne peut pas se contenter de faire glisser les coupes et de dire : Ah, je ne vois rien, mais il faut vraiment chercher. Et comme je l’ai dit tout à l’heure, un résultat tout petit et discret peut entraîner un changement énorme de la qualité de vie. C’est donc là qu’il est vraiment important de chercher. Le fait est que les pathologistes sont plus ou moins conscients de ce qui existe d’autre. Car c’est souvent : « Ce que je ne sais pas, je ne le vois pas. » Et puis, bien sûr, le livre convient aussi aux médecins d’autres spécialités. Et aussi pour les non-médecins intéressés par la santé. Car à travers ces descriptions de cas, on voit clairement les souffrances infligées aux gens par ces prétendus vaccins.

Présentatrice: Je pourrais donc commander ce livre chez vous. Et d’abord, bien sûr, regarder cela de près, même en tant que profane – regarder ce qui est compréhensible à mon niveau. Est-ce que je pourrais aussi aller chez mon médecin de famille et lui dire : « Je vous l’offre, jetez-y un œil. » Ou que puis-je faire d’autre avec ce livre, à part le lire ?

Dr. Krüger: Oui, ce n’est vraiment pas une mauvaise idée. Car il y a encore suffisamment de médecins qui inoculent ces substances, pour qu’ils se réveillent aussi, qu’on voit vraiment qu’on cause énormément de dommages aux gens. Et ce n’est pas seulement des dommages, ils meurent aussi. Des gens sont tués par ces injections.

Présentatrice: Pour conclure, avez-vous encore quelques mots qui vous tiennent à cœur ?

Dr. Krüger: J’aimerais que les gens soient intéressés, qu’ils fassent leurs propres recherches sur Internet et qu’ils ne croient pas tout ce qu’on leur présente, qu’ils agissent eux-mêmes. Et je souhaiterais qu’il y ait globalement plus d’amour dans notre société, que l’harmonie et la paix s’installent. Et je souhaiterais que nous revenions beaucoup plus à notre intuition. Cela signifie donc que nous allons dans la nature et que nous écoutons simplement notre intuition.

Présentatrice: Merci beaucoup, Madame Krüger, pour ces mots très émouvants. Et c’est ainsi que nous prenons congé du studio de Berlin. Vous trouverez également toutes les informations complémentaires en lien sous cette émission. Et comme je l’ai déjà dit, soyez actifs vous-même. Merci beaucoup.

de AH.

Sources / Liens :

Histo-Atlas Vacciné-décédé http://histo-atlas.com/
Site du cabinet du Dr Krüger www.active-health.se
Efficacité du vaccin bivalent contre la maladie à coronavirus en 2019 Étude de Cleveland – https://doi.org/10.1093/ofid/ofad209
Efficacité à long terme des vaccins COVID-19 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9917454/pdf/main.pdf
Mortalité dans le monde pendant la période COVID de 2020-2023 https://correlation-canada.org/wp-content/uploads/2024/07/2024-07-19-Correlation-ACM-World-125-countries-Rancourt-Hickey-Linard.pdf
Publication du Dr Ute Krüger https://doi.org/10.38207/JMCRCS/2022/DECB20031401104
Effets secondaires des vaccins https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/39078026/
Une méta-analyse montre l’échec massif des vaccins COVID-19 dans la lutte contre le SRAS-COV-2 https://open.substack.com/pub/petermcculloughmd/p/meta-analysis-finds-massive-failure?r=14jb45&utm_campaign=post&utm_medium=web

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