INJECTION COVID : Laure 44 ans, maman qui vivait à 100 à l’heure, mordue de sport et qui ne pensait pas un seul instant que sa vie allait changer radicalement…
1ere injection Pfizer en mai 2021 puis 2ème en juillet. Des problèmes menstruels interviennent rapidement. Puis de retour de vacances, une grosse fatigue s’installe. Dès septembre, elle se met à souffrir aux cervicales avant que des douleurs diffuses apparaissent partout, accompagnées d’un brouillard cérébral puis de faiblesse musculaire.
Laure a passé tous les examens possibles. On lui suspecte une sclérose en plaques (SEP), un syndrome de la queue de cheval, pour finalement lui diagnostiquer une fibromyalgie (le fameux fourre-tout quand les médecins sont impuissants à trouver ce que vous avez) Elle est suivie au centre antidouleurs, passe par toute une panoplie de médicaments qu’elle ne supporte pas ou qui ne lui font aucun effet.
Son quotidien, c’est sa canne, son TENS, sa ceinture lombaire, sa minerve et récemment son appareil auditif (à cause d’une baisse d’audition et d’acouphènes). Elle a obtenu une reconnaissance en qualité de travailleur handicapé (RQTH) par la MDPH avec un taux d’invalidité entre 50 et 79% et dispose d’une carte prioritaire pour une durée de 10 ans.
Malheureusement son état ne fait que s’aggraver, ses bras et ses mains la font souffrir. Elle ne peut quasiment plus rien porter ; même le téléphone portable est compliqué à tenir. Elle perd énormément de cheveux et a des tressautements musculaires parmi d’autres symptômes.
Son quotidien avant l’injection : salle de sport 3 fois par semaine, cardio et musculation, course à pied, ballades, soirées… Une époque bénie que le vaccin lui a volé.
Nous sommes les oubliés de la société. Plus vite nos publications serons visibles et plus tôt nous serons enfin écoutés, reconnus et auront la possibilité de nous soigner.
Compte Twitter (X) de Laure
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