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Témoignage sur CNews d’une soignante suspendue qui exerce désormais en Suisse

Journaliste : « On est bien d’accord, puisque vous avez été suspendue, vous n’aviez aucune aide ? On vous a mis vraiment sur le banc, sur la touche, et vous n’aviez plus rien ? »

Sandra, infirmière suspendue : « Exactement ! Voilà, c’est pour ça que je parle de la disproportion des mesures, la démesure de la sentence qui a été prise à l’encontre des personnes qui ont fait le choix de ne pas recevoir ce « vaccin » . Un choix qui peut être tout à fait entendable et légitime, si vous voulez on en reparlera. Il faut savoir que si j’avais commis une faute grave dans l’exercice de mes fonctions, j’aurais été mise à pied pour une durée maximum de 4 mois, de façon conservatoire, c’est à dire en conservant une rémunération, et au bout de cette mise à pied, soit j’aurais été réintégrée, soit j’aurais été révoquée. La révocation entraîne une ouverture des droits, donc indemnité chômage etc., reconversion professionnelle Il faut savoir que les soignants suspendus se sont retrouvés sans aucun droit, ni le droit au chômage, il y en a qui ont essayé d’avoir des ruptures conventionnelles. Pas d’accompagnement à une reconversion professionnelle, aucune autre proposition, aucune autre solution proposée que celle de la vaccination ou être complètement démuni et être plongé dans une certaine précarité pour bon nombre d’entre eux. »

Sandra, infirmière anesthésiste, suspendue en France, travaille actuellement en Suisse

Vidéo (durée 2:41 min) :

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