Effets indésirables,  PLandémie,  Transhumanisme,  Vaccins

« VACCINS » Covid-19 : des milliers de handicapés et de morts

Publié par Nouveau-monde.ca le 22 août 2023

Par Me Jean-Pierre JOSEPH, Avocat au Barreau de Grenoble, Doyen de l’Ordre, auteur de « Vaccins on nous aurait menti ? » (Testez éd. — 6° éd. 2021)

Erreurs, ou mensonges ?
Vous avez refusé d’entendre, ou même de vérifier ce que nous disons depuis 3 ans !
La lâcheté et la soumission ne sont-elles pas en partie responsables d’une hécatombe de plus en plus visible ?

« Un peuple qui se met à genoux est davantage responsable de la tyrannie que le tyran lui-même »

La Boétie

Depuis 2021, des centaines de jeunes sportifs de haut niveau s’effondrent en pleine action. De nombreuses publications en font état. Du jamais vu, tellement ils sont nombreux.

Depuis 2021, des acteurs, chanteurs, musiciens du monde occidental, sont terrassés, soit par un arrêt cardiaque, soit par un AVC, soit encore par un cancer, dit « turbo cancer » dont l’évolution est rapide et foudroyante, et dont la particularité est que la chimiothérapie se révèle inefficace. Du jamais vu, tellement ils sont nombreux.

Nous avons presque tous dans notre entourage, des personnes qui apparemment étaient en bonne santé, et qui sont décédées brutalement. Leur nombre interpelle.

Tous ces gens avaient 2 points communs :

  • le même type de symptômes ;
  • une ou plusieurs injections du « vaccin » anti-Covid. Malgré le fait que la cause soit de plus en plus évidente, le discours officiel continue de nier totalement la responsabilité de ces injections. Même les médecins à qui les familles des victimes posent la question, répondent avec une détermination hystérique que « ce n’est pas le vaccin… ». Mais lequel d’entre eux prend la peine de vérifier ? Leur soumission, ainsi que la soumission révoltante des grands médias qui se taisent, alors que même les chiffres officiels de la pharmacovigilance montrent que ces « vaccins » ont fait en seulement quelques mois, au moins 20 fois plus de victimes qu’en 50 ans de surveillance de tous les autres vaccins, n’est-elle pas synonyme de complicité ?

En 1999, dans « Les radis de la colère » (Ed. Louise Courteau), j’indiquais que pour construire la mondialisation, les hauts financiers mondiaux « conseillant » les gouvernements devaient suggérer de :

a) supprimer les indépendants : les agriculteurs ne représentent plus que 3 % de la population, alors qu’en 1950 la France était un pays agricole, les liquidations des commerçants et artisans se comptent par milliers, les professions libérales glissent de plus en plus vers le salariat. Objectif : une population de salariés de la grande distribution et de chômeurs.

b) créer une dépendance par la santé, parfois à vie, en promotionnant une médecine symptomatique et non préventive, rendant la population passive dans l’attente du remède miracle.

« … Un peuple en mauvaise santé rapporte gros, et ne se révolte pas. »

À la suite de la publication de cet ouvrage, j’ai été qualifié de « secte » (à moi tout seul).

Pourtant ce que je prédisais s’est révélé exact !

Dès l’annonce de la 2e vague, nous avons dit « Il y en aura une 3e, puis une 4e, et même une cinquième, et vous verrez que le but de ce cirque est la sortie d’un vaccin… »

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes », car « … Il faut des années pour mettre au point un vaccin…. » nous avaient toujours affirmé les grands pontes de la Santé Publique.

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce de la vaccination, nous avons dit « 2 doses ? Il y en en aura une 3e, puis une 4e, etc. »

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes » ;

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce du port du masque obligatoire, nous avons indiqué que cette mascarade ne protégeait pas les populations, mais entretenait la peur, par le fait qu’en voyant toute la journée des visages masqués, l’on repensait sans arrêt au virus. D’ailleurs le masque n’a pas empêché la 2e, 3e, 4e vague, etc.

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes » ;

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce de la vaccination obligatoire pour les soignants, nous leur avons dit « Patience, le temps travaille pour vous. Il arrivera un jour où il y aura tellement de victimes qu’ils ne pourront plus le cacher… »

Comment pouvions-nous en être aussi sûrs ?

Pour un esprit logique non terrorisé, les contradictions et les incohérences ne pouvaient avoir qu’une seule explication : nous vivions une opération préméditée, dans le cadre de laquelle les « erreurs » étaient en fait des actes volontaires.

Ainsi, quand un automobiliste qui a renversé et tué un piéton plaide l’homicide involontaire, on le croit, sauf si l’on apprend qu’il était stationné depuis des heures à 50 mètres du lieu de « l’accident », et que le piéton était l’amant de sa femme…

Nous sommes dans le même cas de figure : N.B. Il faut rappeler que les connaissances scientifiques disponibles ne sont pas limitées aux connaissances des seuls membres du Conseil Scientifique, ou de la H.A.S., d’autant plus que l’on sait aujourd’hui que les membres du Conseil scientifique étaient essentiellement des médecins non spécialistes de virologie, à l’exception du Pr RAOULT, l’un des virologues les plus réputés au monde, qui a quitté ce Conseil dès la 1re séance, étant en désaccord avec les décisions. Les mesures prises étaient loin d’avoir l’approbation de l’ensemble du corps médical. Malheureusement, les Français ont été trompés par le fait que les médias ne donnaient la parole qu’à ceux qui étaient d’accord avec une sorte de pensée unique.

Or, il apparaît que :

I — DES FAITS (et non pas des théories) QUI INTERPELLENT :

1— Avant même l’arrivée du virus en France, 15 000 lits d’hôpitaux avaient été progressivement supprimés,

2— Avant même l’arrivée du virus en France, toutes les thérapeutiques existantes et reconnues efficaces dans le monde entier étaient interdites en France sous des prétextes fallacieux : l’interdiction la plus caricaturale fut celle de l’hydroxychloroquine, médicament connu et utilisé depuis 70 ans, et classé en janvier 2020 parmi les substances vénéneuses, par un arrêté ministériel.

Parmi les thérapeutiques efficaces, l’on peut également citer :

  • la vitamine C en perfusion et à haute dose : des milliers de publications du monde entier, depuis des années, vantaient les résultats de cette méthode sur les infections virales. Aux USA, le Pr MARIK, indiquait que dans son service, l’intégralité des patients hospitalisés avec le diagnostic de Covid 19 avaient été guéris par cette méthode associée à un antibiotique.
  • l’artemisia annua, utilisée en Afrique et à Madagascar,
  • l’Ivermectine.

Ce ne sont là que des exemples, et il est consternant d’apprendre que les médecins qui prescrivaient l’une de ces thérapeutiques (et qui avaient d’excellents résultats) étaient poursuivis devant le Conseil de l’Ordre !

Résultat logique : les malades devaient attendre l’aggravation de leur état pour être hospitalisés, alors que s’ils avaient été soignés tout de suite, ils auraient presque tous guéri.

3— Dès l’arrivée officielle du virus en France, l’on nous disait que le masque et le confinement seraient inutiles. Mais 15 jours plus tard, le discours avait complètement changé !

Or, nos scientifiques savaient très bien que n’importe quel virus passe au travers des masques, car les petits trous microscopiques nous permettant respirer (mal), sont au moins 40 fois plus gros que le virus. Les masques ont été conçus pour filtrer les bactéries, bien plus grosses que le virus. D’ailleurs c’était écrit sur les 1res boîtes de masques : « Ne protège pas du virus… »

En outre, un chercheur de l’équipe du Pr RAOULT avait découvert que le virus ne pouvait se répliquer qu’en présence de bactéries. L’humidité provoquée par la respiration multipliait les bactéries restant accrochées au masque. Ainsi le fait de le porter est exactement ce qu’il fallait faire pour que le virus se multiplie !

4— Les tests PCR ont identifié 80 % de faux positifs, à cause du procédé qui identifiait n’importe quelle bribe de virus, y compris un virus ancien.

5— Le nombre des décès dus au Covid 19 a été énormément surévalué.

L’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (A.T.I.H.), site officiel gouvernemental, a publié le rapport de l’année 2020, laissant apparaître que :

« … Au cours de l’année 2020, 218 000 patients ont été hospitalisés pour prise en charge de la Covid-19. Les patients Covid représentent 2 % de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020… Parmi l’ensemble des décès hospitaliers survenus au cours de l’année 2020, 11 % ont concerné des patients Covid… »

Ainsi, l’on a terrorisé la France entière, en faisant croire que les hôpitaux étaient surchargés à cause du Covid 19, alors que la panique de 2020 était due à une mauvaise organisation des hôpitaux, et aussi au fait que même les accidentés de la route qui décédaient de leurs blessures, s’ils avaient été testés positif entre temps, étaient déclarés « morts du Covid »

M. Pierre CHAILLOT, statisticien indique, dans son livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », seuls 38 hôpitaux étaient au départ habilités à recevoir des malades « covid » sur plus d’un millier d’établissements hospitaliers. Et l’on n’a surtout pas fait appel aux cliniques privées. Cherchez « l’erreur »…

6— Les produits qualifiés de « vaccins » n’empêchent ni de contracter la maladie ni de la transmettre.

Pour la 1re fois, dans l’histoire des épidémies, les produits qualifiés de « vaccins », selon les fabricants, ne confèrent une immunité que pendant 3 ou 4 mois, ce qui a pour conséquence l’injection d’une 3e, puis une 4e, et pourquoi pas une 5e dose, etc., et ceci pour de nombreuses années !

Alors qu’au moment de leur mise conditionnelle sur le marché, les fabricants des vaccins Pfizer et Moderna avaient affirmé que leurs produits étaient efficaces à 95 % et l’autorisation de mise sur le marché leur avait été accordée sur leur seule déclaration selon laquelle leurs « vaccins », trouvés en un temps record, et encore en phase d’essai clinique, étaient à la fois efficaces et sûrs.

Or il n’en était rien !

En effet, le 10 octobre 2022, lors d’un échange entre les eurodéputés et les représentants des laboratoires pharmaceutiques, un député néerlandais a interpellé Mme Janine Small cadre supérieure chez Pfizer (dont le PDG M. Bourla n’avait pas cru bon de se déplacer) pour savoir si, l’efficacité du vaccin contre la Covid fabriqué par ce laboratoire, pour réduire la transmission, avait été testée avant sa mise sur le marché.

Mme Small a répondu par la négative.

Ainsi Pfizer indiquait ne pas savoir si grâce à son « vaccin », le virus se transmettait ou pas.

Pourtant tout au long de la campagne vaccinale on n’a cessé de dire à la population française que se faire vacciner était la seule façon de se protéger et de protéger les autres.

On a vu partout le slogan : « tous vaccinés, tous protégés ».

Ainsi, on a imposé à certains personnels de se vacciner contre la covid 19 pour qu’ils ne transmettent pas la maladie, alors qu’il est démontré que les « vaccins » n’empêchent pas la contamination.

Les fabricants, tout comme de nombreux médias, véritables carpettes, ont alors indiqué que les « vaccins » protégeaient des formes graves, et empêchait de transmettre les formes graves. Quel mensonge !!

De nombreux « vaccinés » se sont retrouvés aux urgences, ou au cimetière…

7— le nombre d’effets indésirables est colossal !

Dès le début de la campagne de vaccination, le nombre de déclarations d’effets indésirables a été alarmant ! Et très curieusement, l’Agence Nationale de sécurité du médicament (A.N.S.M.), site officiel gouvernemental, qui publiait presque chaque mois, un rapport concernant les effets indésirables, a cessé très vite de publier le nombre de décès. Le dernier rapport faisait état de 1 200 décès.

Aujourd’hui, l’on constate un nombre inquiétant de myocardites, arrêts cardiaques, AVC, cancers dits « turbo-cancers », embolies pulmonaires, femmes n’ayant plus de règles, fausses couches, etc.

Le dernier rapport de l’A.N.S.M. du 11 mai 2023 indique que sur 156 711 100 injections, 193 571 cas d’effets indésirables ont été déclarés, soit 1 déclaration sur 809 injections. Ces chiffres sont incroyables. (une proportion 1 236 fois plus élevée que pour le vaccin contre la grippe pour lequel on remarque 1 déclaration sur 1 000 000 d’injections !)

Vu que l’A.N.S.M. est un site officiel, il va être difficile pour nos dirigeants, nos élus, ainsi que pour nos journalistes, de dire qu’ils ne le savaient pas.

C’est donc en connaissance de cause que les responsables de la Santé Publique ont menti, en indiquant que les « vaccins » nous protégeaient efficacement et induisaient très peu d’effets indésirables, alors que parallèlement, déjà courant septembre 2021, une proposition de résolution était déposée au Parlement Européen pour la « … création d’un fonds Européen d’indemnisation des victimes des vaccins contre la Covid-19 »

Cette proposition indique notamment :

« … Considérant que l’Agence européenne du médicament répertorie déjà environ un million de cas d’effets indésirables suite à l’injection de vaccins contre la Covid-19… »

N.B. Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, et l’ANSM elle-même, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5 à 10 % en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés. (Un exemple parmi d’autres  : en juillet 2020, la Food and Drug Administration [FDA] américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès)

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A & M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que :

« La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ».

De nombreux médecins (pas ceux que l’on invitait sur les plateaux qui, comme par hasard, croulaient sous les liens d’intérêts) prononçaient en public le terme de « génocide » ou encore « hécatombe ».

Il est un fait indéniable : Les courbes de mortalité, surtout chez les jeunes ont monté de manière inquiétante, dans tous les pays, depuis que l’on vaccine en masse.

Pierre CHAILLOT, dans son ouvrage : « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », indique qu’il n’y a pas en France, d’accès aux données sur les morts dus à la vaccination, lesquelles montreraient, comme c’est le cas en Angleterre, que les vaccinés meurent plus que les non-vaccinés par classe d’âge.

Un article publié le 20 novembre 2021 dans la revue The Lancet indique qu’une étude allemande a démontré que les personnes vaccinées ont plus de probabilité d’être de nouveau infectées du Covid-19 que les non-vaccinés. Elles sont aussi une source de transmission du SARS-CoV2.

II— UNE LISTE IMPRESSIONNANTE D’ANOMALIES :

En outre, nous avons assisté à de nombreuses anomalies. Quelques exemples :

– Fin 2020, les masques étaient devenus obligatoires, même en plein air, ce qui est scientifiquement aberrant, alors que :

– dès le 1er jour du 1er confinement, Jérôme SALOMON, Directeur Général de la Santé, sur BFM TV, déclare :

« … Je vois énormément de masques dans la rue, des personnes qui n’ont aucune raison d’en porter et d’être exposés à des malades (…) ne portez pas de masques… »

– Sur le site officiel de l’OMS, courant mai 2020, on peut lire :

« … Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d’une personne présumée infectée par le Covid 19 (…) Il n’existe aucune preuve que le port du masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d’être infectée par des virus respiratoires… »

– Quelle que soit la composition du masque (en papier, en tissu, etc.) il était accepté. L’essentiel était de cacher son visage.

– Les enfants ne risquaient rien, mais il fallait quand même porter le masque à partir de 11 ans. Avec quelle hystérie, les chefs d’établissements ont veillé au respect de cette directive inutile et créatrice de stress, de mauvaise respiration, de pathologies respiratoires, etc. ! On dit que le niveau intellectuel des élèves a baissé. Mais il semblerait que celui de beaucoup d’enseignants aussi, car les rares résistants (qui d’ailleurs ne sont pas tombés malades) ont été dénoncés par leurs collègues, véritables collabos soumis comme des carpettes.

– Tous les soirs, on égrenait des chiffres en utilisant un vocabulaire stupide : ainsi les porteurs sains sont devenus « malades asymptomatiques ». Jusqu’à cette époque, la définition d’un malade était quelqu’un qui présente des symptômes… Il fallait faire croire que tout être testé positif était malade. Comme on a testé 80 % de faux positifs, on a donc identifié 80 % de faux « malades asymptomatiques ».

– Les masques s’enlevaient au restaurant pour manger, dès que l’on se levait, il fallait le remettre, comme si le virus planait à 1,50 mètre du sol…

– Les heures du couvre-feu changeaient, comme si le virus avait des horaires d’activité variable ;

– Pendant le 1er confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais pourquoi a-t-on installé, parfois même la nuit, des milliers d’antennes 5G ? En quoi cela constituait-il des activités essentielles ?

– Les soignants non vaccinés étaient suspendus. Mais les vaccinés, même malades, avec le diagnostic Covid (donc contagieux par définition) venaient travailler, s’ils n’étaient pas trop malades, alors que la quasi-totalité des suspendus n’étaient pas malades et demandaient leur réintégration, en vain.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, les contrats qui avaient été signés avec la Commission Européenne, prévoyaient :

  •  une exclusion de responsabilité des laboratoires, en cas d’effets indésirables,
  •  une clause indiquant clairement que les parties au contrat indiquent que l’efficacité et les effets indésirables à long terme ne sont pas connus !

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, un vaccin a été réalisé en quelques mois, et mis sur le marché encore en période d’essai clinique.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, on n’avait pas le droit de savoir quelle était la composition des produits : « Secret de fabrication »

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » ne protégeait (soi-disant) que pendant quelques mois. Il faudrait donc une 3e dose, puis une 4e. On parle déjà de la 5e…

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » n’empêchait pas de contracter la maladie, de développer des formes graves et d’en mourir.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » n’empêchait pas de contaminer les autres,

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, les médecins qui vaccinaient contre le Covid-19, percevaient de la CPAM des honoraires plus élevés. Dans les vaccinodromes, ils pouvaient percevoir environ 1 000 € par jour. Il est donc facile de comprendre pourquoi aujourd’hui, de nombreux médecins, devant un grave problème consécutif à un vaccin, hurlent hystériquement que « ça ne peut pas venir du vaccin ».

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, un certain nombre de personnes injectées depuis quelques heures étaient l’objet de phénomène d’aimantation : à l’endroit de l’injection, elles pouvaient faire tenir des pièces de monnaie, des cuillères, etc. Ce phénomène s’estompait au bout de quelques jours.

Un de mes confrères a donc fait faire un constat d’huissier, et à sa grande surprise, l’huissier constatait également que lorsqu’il s’approchait de la personne fraîchement vaccinée, un code s’affichait sur son téléphone portable, et disparaissait s’il s’éloignait de la personne.

Qu’y avait-il donc dans ces produits dont l’entière composition n’était pas connue ?

Un groupe de juristes de plusieurs pays ont alors fait analyser les fioles par plusieurs laboratoires, en Espagne, en Suisse, aux U.SA.

Tous ont trouvé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène, dans des quantités inquiétantes. Quelle peut être l’utilité de ce métal dans les injections ? L’oxyde de graphène est connu des électroniciens : c’est l’un des meilleurs conducteurs des ondes électromagnétiques actuellement connus. Il est extrêmement toxique. Mais, s’il n’a pas handicapé, ou tué la personne injectée, il s’élimine en 4 à 6 mois. Tiens donc ! les certificats de rétablissement, étaient valables 6 mois au début, puis 4 mois ! quelle coïncidence !

À moins qu’on ne nous donne une autre explication concernant la présence massive de ce métal toxique dans les injections, l’on ne voit pas quelle pourrait en être l’utilité, si ce n’est que de connecter l’être humain. On comprend alors mieux pourquoi on s’est dépêché d’installer des antennes 5G en 2020.

On comprend mieux pourquoi il fallait une 3e dose, puis une 4e, etc.

L’objectif n’aurait il pas été 2 injections par an à vie ?

Ainsi, outre la protéine Spike et ses dégâts à long terme sur l’organisme, le graphène ajoutait une couche.

III— DES SCIENTIFIQUES DE RENOMMÉE INTERNATIONALE CONFIRMENT CE QUE NOUS DISIONS DEPUIS 3 ANS

Dans une vidéo récente, le Dr David MARTIN nous donne une explication claire : (https://crowdbunker.com/v/AwaWDwgmxh )

N.B. David MARTIN est ancien professeur adjoint à l’École de médecine de l’Université de Virginie, PDG fondateur de M∙CAM Inc. leader international de la gestion des risques financiers basée sur la propriété intellectuelle.

Porte-parole de la responsabilité mondiale en matière de propriété intellectuelle et de la réforme de la qualité, le Dr Martin a travaillé en étroite collaboration avec le Congrès des États-Unis et de nombreux organismes de réglementation du commerce et de la finance aux États-Unis, en Europe et en Asie, pour défendre et déployer une infrastructure visant à soutenir la dépendance croissante aux droits de propriété.

Il a été membre fondateur de l’Institut japonais pour la science et la technologie des interfaces. Il a fondé et occupé le poste de directeur exécutif du Charlottesville Venture Group. Il a été membre du conseil d’administration du Research Institute for Small and Emerging Business (Washington DC), de l’Academy for Augmenting Grassroots Technological Innovations (Inde), de l’IST (Japon), de la Chambre de commerce régionale de Charlottesville (Virginie).

Ce médecin indique :

« … Il ne s’agit pas d’un vaccin, mais d’un ARNm encapsulé dans une enveloppe de graisse qui est livrée à une cellule.

Il s’agit d’un dispositif médical conçu pour amener la cellule humaine à devenir un créateur d’agents pathogènes… 

Rappelez-vous que 80 % des personnes soi-disant exposées au SARS CoV 2 ne présentent aucun symptôme.

80 % des personnes qui se font injecter cette substance subissent un événement clinique indésirable.

On vous injecte une substance chimique pour induire une maladie et non pour induire une réponse immunitaire contre la transmission.

Rien de tout ça ne vous empêchera de transmettre quoi que ce soit. Il s’agit de vous rendre malade et que vos propres cellules soit la chose qui vous rende malade.

Donc cela va déclencher une réponse auto-immune, et cela peut directement causer la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, car c’est ce que l’expression de cette enveloppe pathogène, cela peut provoquer un cancer accéléré.

C’est le résultat de l’expression de ce morceau de virus, ce seul incident, c’est connu depuis des décennies.

On injecte directement la maladie… »

Le 9 mai 2023, le même médecin est venu s’exprimer au Parlement Européen. Il révèle des faits extrêmement graves :

(https://crowdbunker.com/v/X8Lo4AoAZH#:~:text=L )

«… Tous les commentaires que j’ai faits sont basés sur des documents publiés.

En 1966, le 1er COV modèle de coronavirus, a été utilisé dans le cadre d’une expérience biologique transatlantique de manipulation humaine…

Cela ne s’est pas fait du jour au lendemain. Il s’agit là d’un événement préparé depuis longtemps…

En 1967, nous [NDLR : Les USA] avons réalisé les premiers essais d’inoculation de Coronavirus modifiés à des êtres humains. N’est-ce pas incroyable ? Il y a 56 ans !

En 1975,76 et 77, nous [NDLR : Les USA] avons commencé à chercher comment modifier le coronavirus en l’introduisant dans différents animaux, les porcs et les chiens.

Et sans surprise, en 1990, nous avons découvert que le coronavirus en tant qu’agent infectieux était un problème industriel pour principalement deux industries : les industries du chien et du porc ont constaté que le coronavirus provoquait des problèmes gastro-intestinaux.

C’est sur cette base que Pfizer a déposé le brevet du 1er vaccin à base de protéine de pointe (Spike) déposé en 1990, opération Warp Speed (Vitesse grand V)…

N’est-ce pas fascinant que l’on nous ait dit que la protéine de pointe était une nouveauté et que nous venions de découvrir que c’était là le problème ?

En fait, nous n’avons pas découvert le problème maintenant, nous l’avons découvert en 1990 et nous avons déposé le 1er brevet sur les vaccins en 1990 contre la protéine de pointe du coronavirus…

Et, en 1990, ils ont découvert qu’il y avait un problème avec les vaccins. Ils ne fonctionnaient pas. Savez-vous pourquoi ils ne fonctionnaient pas ? Il s’avère que le Coronavirus est un modèle très malléable qui se transforme, change et mute au fil du temps.

Et toutes les publications sur le vaccin contre le Coronavirus, de 1990 à 2018, absolument chaque publication a conclu que le Coronavirus échappe à la stimulation vaccinale, parce qu’il se modifie et mute trop rapidement pour que les vaccins soient efficaces. Et depuis 1990 jusqu’à 2018, c’est la science qui a été publiée. C’est ce que l’on appelle, suivre la science.

Suivre la science, c’est leur propre mise en accusation de leurs propres programmes qui disaient que ça ne marchait pas. Et il existe des milliers de publications à ce sujet, pas quelques centaines, et qui ne sont pas payées par des sociétés pharmaceutiques.

Il s’agit de publications, issues de recherches scientifiques indépendantes qui montrent sans équivoque, y compris les efforts de modification des chimères, réalisées par Ralph Baric à l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill, toutes montrent que les vaccins ne sont pas efficaces contre le Coronavirus. C’est la science qui le dit. Et cette science n’a jamais été contestée.

Cependant, une évolution intéressante s’est produite en 2002. Cette date est très importante. En effet, en 2002, l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill a breveté, je cite “Un clone infectieux de Coronavirus dont la réplication est défectueuse”. Écoutez ces mots : “Infectieux à réplication défectueuse”. Que signifie cette phrase ?

Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec ce langage, permettez-moi de vous le décrypter. Le terme infectieux à réplication défectueuse signifie qu’il s’agit d’une arme. Il s’agit d’une arme destinée à cibler un individu sans causer de dommages collatéraux à d’autres individus. C’est la signification du terme infectieux à réplication défectueuse. Et ce brevet a été déposé en 2002 sur la base de travaux financés par le NIAID de Anthony FAUCI de 1999 à 2202.

Ces travaux brevetés en Caroline du Nord à Chapell Hill ont mystérieusement précédé d’un an le SRAS1.0…

Je ne suggère rien, je vous dis que ce sont les faits. Nous avons fabriqué le SRAS. Le SRAS n’est pas un phénomène naturel. Le phénomène naturel s’appelle le rhume. Il s’agit d’une maladie de type grippale. Il s’agit de la gastro-entérite, c’est le coronavirus naturel. Le SRAS est le résultat d’une recherche menée par des humains qui ont utilisé un modèle de système de vie pour s’attaquer à des êtres humains et ils l’ont breveté en 2002 et en 2003, surprise de taille, le CDC a breveté le coronavirus humain, en violation une fois de plus, des traités et des lois sur les armes biologiques et chimiques en vigueur aux États-Unis…

Lorsque le CDC a déposé le brevet en avril 2003, sur le modèle de coronavirus du SRAS isolé chez l’homme, qu’ont-ils fait ? Ils ont téléchargé une séquence en provenance de Chine et ont déposé un brevet sur cette séquence aux États-Unis.

Tous ceux qui connaissent les traités sur les armes biologiques et chimiques savent qu’il s’agit d’une violation. C’est un crime. Il ne s’agit pas d’une erreur innocente… »

« … Vous pouvez vous demander : Le Coronavirus était-il prêt à émerger chez l’homme ? C’était le WIV1 : Wuhan Institut Of Virology Virus 1 prêt à émerger chez l’homme en 2016 dans le cadre des travaux de l’Académie Nationale des Sciences. Si bien qu’arrivant à 2017 et 2018, la phrase suivante est entrée dans le langage courant de la communauté : « Il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire »

Le terme « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire » a été utilisé 4 fois en avril 2019, 7 mois avant le soi-disant patient numéro 1.

4 demandes de brevets de Moderna ont été modifiées pour inclure l’expression « Libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène » afin de justifier la fabrication d’un vaccin pour une chose qui n’existait pas.

C’est en septembre 2019 que le monde a été informé que nous allions avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène de sorte qu’en septembre 2020, il y aurait une acceptation mondiale d’un vaccin universel. Ce sont leurs mots juste devant vous à l’écran. L’objectif était d’amener le monde à accepter un modèle de vaccin universel et d’utiliser le Coronavirus pour y parvenir. Lisons ceci :

« En attendant qu’une crise des maladies infectieuses soit réellement présente et au seuil d’urgence qui est souvent largement ignorée pour maintenir la base de financement au — delà de la crise », ils ont déclarés “Nous devons mieux faire comprendre au public la nécessité de contre-mesures médicales, tel qu’un vaccin universel contre la grippe ou le coronavirus. Les médias sont un moteur essentiel et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage médiatique à notre avantage pour nous attaquer au vrai problème. Les investisseurs réagiront s’ils voient un bénéfice à la fin du processus. »

Il s’agit donc d’un terrorisme domestique prémédité, déclaré dans les écrits de l’Académie Nationale des Sciences en 2015. Il s’agit d’un acte de guerre biologique et chimique perpétré contre la race humaine et il a été admis par écrit qu’il s’agissait d’un holdup financier et d’une fraude financière. Je rappelle « Les investisseurs suivront s’ils voient un profit à la fin du processus. »

Quels médias ont publié son intervention ?

b) Alexandra Henrion-Caudegénéticienne, ancienne directrice de recherche au CNRS, au cours du Printemps 2023, déclare au Parlement Européen :

« Quel est le consensus, en tout cas, il ne peut pas être scientifique. S’il y a consensus scientifique, c’est de l’obscurantisme, car le consensus chez nous est la preuve d’un refus de progrès et de nouvelles découvertes.

On m’oppose le succès en me disant “oui, mais des milliards d’individus ont été injectés.” Ça c’est un succès business, ça c’est un succès administratif d’avoir forcé des pays à injecter des populations. Ça, c’est un succès de manipulation des populations à prendre un produit dont ils ne savent rien.

Mais en tout cas, ils n’ont pas réussi à traiter le mal qu’ils voulaient traiter.

Si jamais les médecins ne sont pas capables de monter au créneau en disant :

On nous a menti, on nous a fait injecter un produit qu’on nous a dit qu’on maîtrisait et qu’on connaissait depuis longtemps.

C’est faux,

On nous a menti, on nous a dit que l’ARN messager se dégradait tout de suite.

C’est faux.

On nous a menti. On nous a dit que l’ARN messager allait rester dans le muscle.

C’est faux.

On nous a dit qu’on allait injecter que 2 fois ces doses.

C’est faux.

On nous a dit qu’ils étaient sûrs et efficaces,

C’est faux. Ils ne sont ni sûrs ni efficaces.

On nous a dit que la phase 3 était terminée.

C’est faux.

Donc ces médecins ont le droit et l’obligation déontologique, de dire : on nous a menti sur ces injections à ARN messager.

Donc on sait que les suivantes, ça sera la même chose. En 2030 ils prévoient toute une batterie d’ARN messager pour tout un tas de maladies, qu’elles soient infectieuses ou pas infectieuses… »

IV— ON NOUS AURAIT MENTI ? MAIS POURQUOI ?

Le fait d’affirmer que nos dirigeants nous ont menti, n’est pas une théorie : dès le départ, ils ont été largement informés par les chiffres officiels, et par des centaines de médecins qui les interpellaient. C’est donc une évidence.

On peut donc se demander quelles sont les raisons.

Nous préférons que le lecteur déduise par lui-même la réponse à ces questions. Donc, nous n’avancerons aucune théorie, mais nous rappellerons des faits qui, mis bout à bout, amèneront (peut-être) à de logiques déductions :

1er fait : Le rôle d’un multimilliardaire

Lors de la conférence TED 2010, Bill Gates indique espérer réduire la population mondiale ‘avec de bons résultats sur les nouveaux vaccins’.

Dans le numéro de juin 2011, le magazine britannique The Sovereign Independant, affichant une photo de Bill Gates, cite une de ses déclarations faites à l’issue d’une conférence : LA DÉPOPULATION GRÂCE À LA VACCINATION FORCÉE : LA SOLUTION AU CARBONE ZÉRO… Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Ceci va nous conduire à environ 9 milliards. Si nous faisons un bon travail concernant les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, nous pouvons aboutir à une baisse de 10 à 15 %…

Courant 2017, après que Bill Gates ait versé des subventions importantes à l’OMS (organisme créé par la famille Rockefeller) la faisant ainsi devenir progressivement, une organisation privée, Tedros Adhanom Ghebreyesus est nommé à sa tête.

Ce personnage fut membre du bureau politique du Tigray People Liberation Front (TPLF), une organisation inscrite dans la liste des organisations terroristes du U.S. Homeland Security. Il fut ministre de la Santé en Éthiopie de 2005 à 2012, et est membre du Conseil d’administration de l’alliance pour la vaccination (GAVI) qui œuvre au profit de l’industrie pharmaceutique pour imposer la multivaccination avec des puces RFID à la terre entière.

Bill Gates est l’un des principaux promoteurs des campagnes de vaccinations dans le monde. Multimilliardaire, il aurait versé des subventions à de nombreux dirigeants politiques dans le monde, ainsi qu’à l’OMS.

Le 21 septembre 2018, la société Microsoft Technology Licensing (fondée par Bill Gates) dépose aux USA un brevet intitulé CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA. Ce brevet ne sera publié que courant mars 2020 (WO2020/060606A1).

Il concerne des nanoparticules qui auraient la faculté, lorsqu’elles sont introduites dans le corps humain par des injections, d’être identifiées et localisées par n’importe quel ordinateur.

Courant 2018, la Banque mondiale WITS (World Integrated Trade Solution) publie sur son site, des millions de commandes émanant de nombreux pays, pour lesquelles on lit’ : COVID-19 Diagnostic-Test instruments and apparatus’.

Dès que cette information a filtré, la mention « Covid-19 » a été effacée, et devant l’indignation sur les réseaux sociaux, la WITS a déclaré que cette appellation avait été une coïncidence…

À l’automne 2019, a lieu aux USA, sous la présidence du milliardaire, fondateur de la société Microsoft Technology Licensing, et finançant une grande partie du budget de l’OMS, une simulation d’une pandémie qui serait due à un coronavirus, sur la base d’un roman écrit en 1981 : « The eyes of darkness ». Cette simulation portait le nom de « Event201 ».

Lors de la conférence ID2020 Sommet 2019, Bill Gates fait la promotion du vaccin contenant le « marqueur » à nano-puce électronique, destiné à « marquer » et à contrôler 7 milliards d’humains. (mais il ne fait pas vacciner ses enfants).

Les premiers cas de Covid 19 seraient apparus au marché de Wuhan, à 180 m. du laboratoire inauguré par M. CAZENEUVE, 1er ministre français de l’époque.

Les faits suivants ne sont que des rappels de ce que nous venons d’expliquer, et la liste n’est pas exhaustive :

-2e fait : suppression progressive de 15 000 lits d’hôpitaux et « oubli » de faire appel aux cliniques privées (alors que beaucoup d’entre elles l’avaient proposé)

-3e fait : interdiction de toutes thérapeutiques avant l’arrivée du virus.

-4e fait : masques d’abord officiellement inutiles, puis brusquement obligatoires, confinement de la population = entretien de la panique

-5e fait : gonflement des chiffres.

-6e fait : vocabulaire angoissant sur les médias(« malades asymptomatiques »).

-7e fait : vaccins mis sur le marché en période d’essai clinique, à la suite de contrats aux clauses étranges.

8e fait : Déni total de l’inefficacité et de la toxicité des « vaccins ».

9e fait : Poursuites disciplinaires contre les médecins dénonçant toutes ces anomalies.

10e fait : Parole donnée sur les grands médias quasi-exclusivement aux médecins, qui ne remettaient rien (ou presque) en question et qui (comme par hasard) faisaient l’objet d’importants liens d’intérêts avec les laboratoires, à l’exclusion de ceux qui n’avaient rien à vendre, donc aucun intérêt à mentir.

11e fait : Installation de milliers d’antennes 5G, à une période où seules les activités essentielles étaient autorisées.

12e fait : Présence de nano particules d’un métal réagissant aux ondes.

La juxtaposition de ces faits est suffisante pour que le lecteur comprenne.

Avec plusieurs juristes et avocats, nous avons déposé des plaintes pour empoisonnement et tentative d’empoisonnement dans plusieurs départements français. Nous avons également déposé une plainte contre le Président de l’Ordre National des médecins pour avoir appuyé les directives gouvernementales, et donc empêché de soigner, ce qui a provoqué des états graves et des décès.

Nous avons défendu de nombreux soignants suspendus.

Il est malheureusement fort possible que nous subissions à l’avenir de nouvelles tentatives d’injections. Quel virus anodin sera-t-il brusquement classé dangereux ?

V — POURQUOI LA PLUPART D’ENTRE NOUS ONT-ILS ACCEPTÉ CELA SANS RÉSERVE ?

Début 2020, M. Olivier VERAN déclarait que le confinement était ce qui risquait de faire flamber une épidémie. Plusieurs ministres nous disaient à la même époque que les masques étaient inutiles en plein air.

On connaît la suite.

L’on peut s’interroger sur l’absence de réaction populaire, devant les mesures liberticides, contraires à ce qui avait été affirmé auparavant, contraires aux conventions internationales que la France avait signées auparavant.

Il y a 2 raisons à cela :

1— Le vaccin, depuis des décennies, est une véritable religion en France : ainsi les produits retirés des médicaments, des cosmétiques ou même des jeux pour les enfants, à cause de leur toxicité (l’aluminium) ne l’ont pas été des vaccins. Lorsque l’on pose la question, il nous est répondu « Oui, mais c’est un vaccin… » Nous sommes bien dans la religion, avec une extraordinaire particularité : Pour la gauche, la vaccination est un acquis social. Il est donc impensable de la remettre en question. Cette religion entraîne une logique sacrificielle, dans laquelle « … On sauve des vies » (soi-disant). Tant pis pour ceux qui sont morts pour (peut-être) en sauver d’autres.

La gauche, dans ce domaine, se trouve dans une incroyable contradiction : D’un côté, elle dénonce le pouvoir de l’argent sur l’économie, la médecine, la presse, etc., et paradoxalement, elle gobe inconditionnellement ce que disent les autorités et les médias, en fustigeant hystériquement quiconque oserait contredire des « certitudes », estimant qu’il n’est pas possible que l’on nous mente. Critiquant les religions, elle se retrouve… dans une véritable religion composée de postulats, dogmes, certitudes, qu’il est hors de question de vérifier. Même les militants de la France Insoumise, ont été totalement soumis, certains d’entre eux proposant même l’obligation vaccinale pour tous, se comportant comme de véritables « Kapos »…

2— Au procès de Nuremberg, le Gruppenführer SS KALTENBRUNNER, à la question « Comment avez-vous pu faire accepter cela à la population ? » a répondu : « On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur »

Ainsi, devant :

  •  la privation de la liberté d’aller et venir résultant du confinement,
  •  l’interdiction d’avoir le droit de respirer normalement (le masque),
  •  la discrimination dans les bars et restaurants n’acceptant pas ceux qui ne possédaient pas le pass vaccinal,
  •  l’obligation vaccinale pour les soignants,

Très peu ont réagi. Même les syndicats, ce qui est incroyable. Cette soumission n’est-elle pas en partie responsable de ces milliers de personnes, malades à vie, ou décédées ?

Cette soumission ne serait-elle pas synonyme de complicité ?

Comment réagirons-nous si cela recommence ?

Source : https://nouveau-monde.ca/vaccins-covid-19-des-milliers-de-handicapes-et-de-morts/