
Témoignage de suspendue : « malgré les épreuves et les difficultés auxquelles j’ai dû faire face, pour avoir simplement dit non, je sais que j’ai fait le bon choix »
Témoignage – Publié par Cléo Kapp, le 17 juin 2023
Il y a bientôt deux ans maintenant, le gouvernement a monnayé ma vocation contre des injections répétées, tentant de me faire croire que je ne passerais pas l’hiver si je ne cédais pas à leur chantage immonde. J’ai posé des questions auxquelles personne n’a répondu si ce n’est : Vaccines-toi ou tu perdras ton taf, tu es dangereuse pour les autres (en étant pas malade😳) et j’en passe.
Ces tentatives d’extorsion de mon consentement via la culpabilité, l’humiliation permanente et les injonctions répétées de faire quelque chose de bien (pour Pfizer) m’ont interpellée. Mes collègues ont pour la plupart reçu en première dose Astrazeneca, depuis interdit pour leur classe d’âge (oups) puis Pfizer puis Moderna (études sur l’innocuité des mélanges ?). Ils n’ont pas fait de 4ème ni de 5ème puisque pas obligatoire (la science). Bien entendu, ça ne les a nullement empêché d’être malades bien au contraire. Les arrêts se sont succédés jusqu’à ce qu’on les autorise à venir travailler en étant malade (faut bien faire tourner le service). La contamination ? « Mais non, ils sont malades mais ne contaminent pas, eux »
Pendant ce temps là, moi qui n’était pas malade, pourtant disponible, formée et avec une expérience en béton, je n’ai pas eu le droit de mettre un pied dans mon service, trop dangereuse pour les patients que je ne côtoyais pas et avec une maladie que je n’avais pas.
Cléo Kapp, 17 juin 2023 – Source
Aujourd’hui, et malgré les épreuves et les difficultés auxquelles j’ai dû faire face, pour avoir simplement dit non, je sais que j’ai fait le bon choix, le choix de la raison, le choix de la liberté de disposer de mon propre corps, le choix de ne pas être une cobaye. Les conséquences ont certes été terribles et cette décision a été la plus dure de toute mon existence. Aujourd’hui, je suis en CDI dans un tout autre domaine où l’on ne me juge pas sur des critères qui ne regardent que mon médecin et moi même. J’ai un rythme de vie plus sain, de nouveaux collègues adorables, une autre vie qui se dessine. Il faudra certes du temps pour panser toutes les blessures liées à ma suspension, mais cette épreuve m’a fait prendre conscience que l’on peut tout perdre et malgré tout garder sa dignité. Croyez en vous.
NDLR : BRAVO !!! Tout simplement BRAVO ! Pour votre courage, votre persévérance, votre combat si noble, et MERCI pour cet exemple d’héroïsme que vous donnez malgré vous, à ce monde qui a tant perdu le sens des valeurs et des priorités, ce monde qui s’est parfois laissé injecter juste pour un café ou pour partir en vacances. Nous vous portons, ainsi que les autres (ex-)suspendus, dans nos prières.

