NDLR : Un mois après l’inauguration de Trump en tant que 47e président des États-Unis, la dream Team est en place ! Après Tulsi Gabbard le 12 février, Robert Kennedy Jr. le 13 février, Kash Patel vient à son tour d’être confirmé par le Sénat américain ce 20 février 2025, complétant l’équipe de choc de Trump pour drainer le marais ! Un carton plein pour l’équipe Trump mais est-ce vraiment une surprise ? Pas pour ceux qui ont compris le « Contre-Complot » ! Trump avait prévenu : « Nous allons tellement gagner que vous risquez d’en avoir assez de gagner ! ». Qui sont ces trois mousquetaires sur lesquels l’Alliance des Patriotes va s’appuyer pour éradiquer l’État Profond ? Petit tour d’horizon afin de comprendre que la rhétorique médiatique d’un Trump qui serait « misogyne, raciste et destructeur de la planète » n’est qu’un écran de fumée pour cacher la vérité du combat des Patriotes contre l’État Profond aux populations.
Trump : « Nous allons tellement gagner que vous risquez d’en avoir assez de gagner ! » (vidéo durée 0:18 min)
Tulsi Gabbard est une femme politique américaine, née le 12 avril 1981 à Leloaloa (Samoa américaines).
Elle est représentante du deuxième district d’Hawaï à la Chambre des représentants des États-Unis de 2013 à 2021, en tant que membre du Parti démocrate. Elle se présente sans succès aux primaires du Parti démocrate pour l’élection présidentielle de 2020.
Tulsi Gabbard relaye régulièrement la propagande de guerre des régimes de Bachar el-Assad et de Vladimir Poutine sans la remettre en question, y compris de la désinformation (sic).
En octobre 2022, elle quitte le Parti démocrate et devient indépendante. En août 2024, elle se rallie à la candidature de Donald Trump pour l’élection présidentielle et participe activement à sa campagne. En octobre de la même année, elle rejoint le Parti républicain.
En novembre 2024, le président élu Trump la désigne pour devenir directrice du renseignement national dans son futur cabinet. Après l’investiture du nouveau président le 20 janvier 2025 et une série d’auditions, le Sénat la confirme à ce poste le 12 février suivant.
Tulsi Gabbard, ancienne membre du Congrès et candidate démocrate à la présidentielle en 2020, est devenue une alliée clé de Donald Trump après avoir quitté le Parti démocrate en 2022. Connue pour ses critiques envers les guerres américaines et son opposition à l’interventionnisme, elle a adopté des positions alignées avec Trump, notamment sur l’Ukraine et la lutte contre les « idéologies woke ». En 2024, Trump l’a choisie comme directrice du renseignement national.
Ancienne militaire, voici ce qu’elle disait au sujet de la guerre en Ukraine, en août 2022 :
Vidéo (durée 00:31 min) : Tulsi Gabbard, vétéran de la guerre en Irak et ancienne députée au Congrès, jadis numéro deux dans le Parti démocrate des États-Unis, qui avait soutenu Joe Biden, est passée du côté des conservateurs. Elle dénonce même le « Nouvel Ordre Mondiale » que Biden veut instaurer !
Pour les résistants de la crise sanitaire, plus besoin de le présenter ! Il a été l’un de nos phares dans la nuit pendant la sombre période Covid, où il s’est opposé aux injections avec véhémence. Ancien avocat, il s’est très tôt intéressé au problème des effets secondaires des vaccins en défendant des familles de victimes. Il s’engage dans la défense de la santé, en particulier celle des enfants, en créant l’association « Children’s Health Defense » dont le site en français est disponible ici et fait de la santé des enfants le combat de sa vie.
Robert F. Kennedy Jr, fondateur de Children’s Health Defense, est l’ancien président du conseil d’administration et l’ancien conseiller juridique en chef, qui soutient les efforts de l’organisation pour lutter contre les maladies chroniques infantiles et les expositions toxiques.
La réputation de Kennedy en tant que défenseur résolu de l’environnement et de la santé des enfants repose sur des centaines d’actions en justice couronnées de succès. M. Kennedy est également le fondateur de Waterkeeper Alliance, le plus grand groupe de défense de l’eau propre au monde. Le magazine TIME a nommé M. Kennedy « Héros de la planète » pour son leadership dans la lutte pour la restauration de la rivière Hudson. Il a été reconnu pour son rôle dans la victoire historique contre Monsanto en 2018, ainsi que dans l’affaire DuPont qui a inspiré le film « Dark Waters » (2019).
Kennedy est également un écrivain primé dont les articles ont été publiés dans le New York Times, le Washington Post, le Los Angeles Times, le Wall Street Journal, Newsweek, Rolling Stone, Atlantic Monthly, Esquire, The Nation, Outside Magazine, the Village Voice et bien d’autres. Parmi les livres qu’il a publiés figurent deux best-sellers du New York Times : « Crimes Against Nature » (2005) et “The Real Anthony Fauci” (2021). Sa biographie, très remarquée, s’intitule American Values : Lessons I Learned from My Family.
Robert F. Kennedy Jr. dénonce les pratiques controversées de Big Pharma, accusant l’industrie pharmaceutique de privilégier les profits avant la santé publique. Il critique également l’industrie agroalimentaire, soulignant l’utilisation massive de produits chimiques dans les aliments transformés, qui peuvent avoir des effets néfastes sur notre santé.
Kennedy met en lumière le Projet Mockingbird, une opération présumée de manipulation médiatique par la CIA, visant à influencer l’opinion publique.
Il alerte sur les dangers des pesticides et leur impact sur la biodiversité ainsi que sur la santé humaine, appelant à une régulation stricte pour protéger les consommateurs.
Son combat pour plus de transparence et une meilleure régulation des industries montre son engagement pour la santé publique et la lutte contre les abus des grandes entreprises. Kennedy appelle à une prise de conscience face aux dangers des colorants alimentaires, des huiles de graines toxiques, et d’autres substances présentes dans notre alimentation quotidienne.
Kashyap Pramod Patel, dit Kash Patel, né le 25 février 1980 à Garden City (État de New York), est un avocat américain d’origine indienne. Chef de cabinet au Pentagone durant la première présidence de Donald Trump, il est choisi pour prendre la tête du Federal Bureau of Investigation au sein de sa seconde administration. Sa nomination, qui fait l’objet de controverse, est confirmée par le Sénat le 20 février 2025 par un vote de 51 pour et 49 contre.
Article de Europe 1 (en PLS 🤣 ) du 6 décembre 2024 :
Kash Patel, une figure du mouvement complotiste QAnon à la tête du FBI
Conseiller de Donald Trump lors de son premier mandat, Kash Patel prendra les commandes du FBI à partir du 20 janvier prochain [2025]. Le choix d’un partisan de la mouvance complotiste d’extrême droite QAnon, considérée par la police fédérale comme susceptible d’inciter à la violence, inquiète.
Choisi par le président élu Donald Trump pour diriger le FBI, cet ancien avocat n’est pas étranger à la mouvance complotiste d’extrême droite QAnon, considérée par la police fédérale comme susceptible d’inciter à la violence. Kash Patel, 44 ans, a déclaré par le passé que le mouvement conspirationniste, fondé sur l’idée selon laquelle Donald Trump mènerait une guerre secrète contre un réseau mondial de pédophiles adorateurs de Satan, avait « beaucoup de bons côtés ». La mouvance QAnon prétend également qu’il existerait une sorte d’État parallèle, le « Deep State », tirant les ficelles du monde au profit d’intérêts de groupes privés.
[…]
Kash Patel, qui a occupé plusieurs postes de haut niveau sous le premier mandat de Donald Trump, dont un poste de responsabilité au sein du Pentagone, est érigé en héros par les adeptes de QAnon. Un internaute très suivi au sein de la mouvance QAnon s’est d’ailleurs félicité sur X du choix du milliardaire républicain. « Kash Patel a ouvertement chanté les louanges de Q », dit un post. « Imaginez un directeur du FBI qui envisage QAnon sous un jour positif ». [NDLR : ça y est, c’est fait ! 🤣 ]
L’arrivée de Kash Patel rebat les cartes
D’autres adeptes ont partagé des photos prises avec Kash Patel, qui a su gagner les faveurs de Donald Trump notamment grâce à ses livres pour enfants racontant l’histoire du « roi Donald ». Certains exemplaires de ces livres ont été signés d’un « WWG1WGA », abréviation du slogan de QAnon, qui signifie « Là où l’un d’entre nous va, nous allons tous ». Kash Patel a souvent participé à des shows sur le web faisant la promotion de QAnon.
Dans une interview de 2022, il s’est dit d’accord avec un hôte assurant que « Q », l’utilisateur anonyme dont les messages sur des forums en ligne ont donné naissance à cette théorie du complot, « avait eu raison sur beaucoup de choses ». Kash Patel avait ajouté vouloir « intégrer » ce mystérieux utilisateur « dans nos campagnes de communication, parce que cette personne, quelle qu’elle soit, a su capturer l’essence de MAGA », le mouvement de Donald Trump (« rendre sa grandeur à l’Amérique »). Sur Truth Social, la plateforme de Donald Trump, Kash Patel s’était également affiché en photo, posant devant la lettre « Q » en proie aux flammes.
« Conspirationnisme et paranoïa »
En 2023, Kash Patel avait assuré à Steve Bannon, idéologue d’extrême droite que, s’il était amené à prendre la direction du FBI, les agences de police « s’en prendraient » aux journalistes et ainsi qu’aux responsables du gouvernement. Après l’élection de 2020, il avait appelé un membre du ministère de la Justice pour s’enquérir d’allégations selon lesquelles des satellites italiens avaient altéré les votes, selon le témoignage du responsable en question devant le Congrès.
Alex Pfeiffer, porte-parole de l’équipe de transition de Donald Trump qui prendra ses fonctions le 20 janvier, a rejeté ce qu’il a qualifié de « calomnies sur Kash Patel » dans un communiqué adressé à l’AFP, sans toutefois étayer cette affirmation. « Il va rétablir l’intégrité du FBI », a-t-il ajouté, en soulignant que Kash Patel avait travaillé au ministère de la Justice sous Barack Obama. Pour Mike Rothschild, auteur de « The Storm is Upon Us » (« La tempête est sur nous »), un livre sur QAnon, le choix de Kash Patel montre « à quel point le conspirationisme et la paranoïa ont consommé le parti républicain traditionnel ».
Cette idée selon laquelle Trump combattrait « l’État profond » constitué entre autres de fonctionnaires non élus s’est muée en « doctrine au sein du parti Républicain », déclare l’auteur à l’AFP. « Toutes les théories du complot sur le Covid, l’élection de 2020, la vaccination et les réseaux de trafiquants découlent de ce combat sans fin, et les adeptes de Q pensent que Kash Patel, en tant que directeur du FBI, va l’emporter », conclut Mike Rothschild.
Extrait de l’article de BFM TV du 21 février 2025 :
Qui est Kash Patel, le nouveau patron contesté du FBI choisi par Donald Trump ?
Fils de migrants indiens, Kash Patel a occupé plusieurs postes à responsabilité lors du premier mandat de Donald Trump. […]
QAnon et « état profond »
Ancien procureur fédéral de 44 ans, Kash Patel est un soutien farouche de Donald Trump, vivement contesté par l’opposition démocrate, notamment pour sa défense des émeutiers du Capitole et son soutien exprimé par le passé à la mouvance complotiste d’extrême droite QAnon.
Comme le rappelle la BBC, au cours de son audition au Sénat le mois dernier, Kash Patel a nié avoir une « liste d’ennemis » et avait assuré que « tous les agents du FBI (seraient) protégés contre des représailles politiques ».
La liste de 60 noms comprend notamment l’ancien président Joe Biden, l’ancien procureur général Merrick Garland et l’ancien conseiller à la sécurité nationale John Bolton.
Fils de migrants indiens et d’ailleurs auteur d’un livre sur « l’État profond », il a occupé plusieurs postes à responsabilité lors du premier mandat de Donald Trump (2017-2021), notamment comme conseiller à la sécurité nationale ou encore chef de cabinet au Pentagone.
« Kash a fait un travail incroyable pendant mon premier mandat », avait alors affirmé Donald Trump, ajoutant que Kash Patel aurait la tâche de « mettre fin à l’épidémie croissante de criminalité en Amérique, démanteler les gangs criminels et mettre fin au fléau maléfique de la traite des êtres humains et du trafic de stupéfiants à travers la frontière ».
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Dans un autre échange avec l’ancien stratège de Donald Trump Steve Bannon, il avait assuré vouloir s’en « prendre à ceux qui, dans les médias, ont menti sur les citoyens américains qui ont aidé Joe Biden à truquer les élections présidentielles ».
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Le FBI, à l’image de l’administration fédérale dans son ensemble, est vivement secoué depuis le retour au pouvoir de Donald Trump il y a un mois.
La presse américaine rapporte une purge en cours au sein de la police fédérale, entre hauts responsables écartés, poussés à la démission, à la retraite, ou limogés, et licenciements ou sanctions en préparation pour des dizaines d’agents ayant participé aux enquêtes judiciaires relatives à l’assaut contre le Capitole du 6 janvier 2021 et à la rétention par Donald Trump de documents classifiés après son premier mandat.
Ainsi, Tulsi Gabbard, femme courageuse et intègre, fidèle à ses valeurs, ancienne militaire qui dénonce l’OTAN et les va-t-en-guerre dans le conflit russo-ukrainien ; Robert Kennedy Jr. qui lutte pour la santé et dénonce le manque de sécurité des vaccins ; et Kash Patel qui a validé de façon à peine voilée, les thèses QAnon, constituent un trio en béton pour l’attaque coordonnée finale qui mettra à terre l’État Profond.
À cette équipe de choc, on pourrait ajouter le trublion Elon Musk qui met en PLS la presse main stream en inondant son réseau social X de pilules rouges et en restaurant la liberté d’expression en ligne, et Jay Bhattacharya, médecin et professeur de politique de santé à Stanford, qui a critiqué ouvertement les politiques en matière de COVID-19 pendant la pandémie, qui est co-signataire de la déclaration de Great Barrington en octobre 2020 demandant l’arrêt de la vaccination de masse, et qui vient d’être choisi par Trump pour diriger les NIH.
Seuls ceux qui ne veulent pas voir ne voient toujours pas que les Patriotes ont le contrôle. Et ce qui se passe aux US finira tôt ou tard par atteindre l’Europe. L’affaire « Brigitte » exposée par Candace Owens est une parfaite illustration la porosité entre nos deux continents et n’est qu’un élément de plus de l’attaque coordonnée des White Hats pour exposer et faire tomber le Deep State. Haut les cœurs, nous sommes en train de gagner !!